Paradoxe de Jevons

de formation-sensibilisation pour dirigeants. Cet intérêt soudain que l’on porte explicitement à ce thème ne doit pas masquer les origines anciennes du concept de valeur. La théorie néoclassique ou marginaliste de l’économie notamment, fondée par Jevons définit la valeur non par rapport aux coûts, mais par référence à la demande ; c’est l’utilité marginale d’un bien qui détermine sa valeur. La demande résultant de cette utilité marginale d’un bien fonde alors la valeur d’échange. La valeur doit donc

taux de profit va conduire à l’état stationnaire. 2.1. b Les écoles néoclassiques A partir de 1870, la théorie économique va être renouvelée par 2 nouvelles écoles de pensée appelée les écoles néoclassiques et représentées par Stanley Jevons (britannique), Carl Menger (autrichien) et Léon Walras (français). 2.1. b.1 Les fondements des marginalisme C’est la fonction d’utilité et la satisfaction marginale. Pour les néoclassiques, le fondement de la valeur est l’utilité

noms de la science économique s’y intéresser. Suite à un article de Hicks (1981), nous distinguerons cinq grandes périodes dans l’histoire des cycles :  1820-1870 : période qualifié par Hicks de « jevonienne » du nom de l’économiste anglais Stanley Jevons, qui proposa une théorie des cycles entre 1874 et 1877. Les crises de cette période sont des crises financières, dont le déroulement d’ensemble est le suivant : une phase d’expansion s’accompagne de hausse des prix, puis des taux d’intérêt et mène

économique à la valeur-travail, Marx pense que le capitaliste exploite le travailleur en lui subtilisant une plus-value (c’est le « sur-travail »). 3- l’école néo- classique • les trois pères fondateurs du mouvement sont : Carl Menger,William Stanley Jevons, Léon Walras • L’école néoclassique est un courant de pensée économique qui naît dans la seconde moitié du XIXe siècle. Elle se fonde sur trois postulats : o les agents sont rationnels, leurs préférences peuvent être identifiées et quantifiées,

En 1871, William Stanley Jevons introduit la notion de connaissance parfaite des conditions de l’offre et de la demande. Francis Ysidro Edgeworth est le premier économiste [12] à définir de façon rigoureuse ce que peut être une concurrence parfaite. Pour George Stigler[14], la longue liste de conditions énoncées peut se réduire à deux : un nombre important de concurrents (déjà énoncée par Augustin Cournot), et l’information parfaite déjà aperçue par William Stanley Jevons. La particularité d’Edgeworth

la réalité). Lorsqu’on simplifie, on cherche à montrer la généralité de ce comportement. Une théorie correspond à un cadre d’hypothèses. On suppose que les entreprises qui sont en compétition n’ont pratiquement pas de stratégie autonome de prix → paradoxe → c’est donc bien une hypothèse. Ces hypothèses sont des assertions, des postulats, dont on suppose qu’elles sont vraisemblables et qu’elles décrivent le mieux possible la réalité des comportements ou des phénomènes observés. 2) Il construit

suppose l’existence d’un savoir sur le savoir, d’un méta savoir. Ce savoir d’un degré de complexité supérieur au savoir, n’est pas un savoir comme les autres, même s’il lui ressemble en apparence et de nom. La confusion entraînerait la création de paradoxes. L’épistémologie s’intéresse à l’origine des savoirs et à leur preuve, partie émergente de l’iceberg, mais il faut aussi s’intéresser parallèlement à celles des ignorances, partie immergée. Chacun devrait s’interroger sur ce que valent ses représentations

rapports de force aussi mais pas inscrit dans une institution dans laquelle les gens appartenait. Parler d'organisations c'est parler indirectement du pb de la liberté humaine. Pb du libre-arbitre. Civilisation fondée sur les droits de l'homme or paradoxe, société d'organisations qui nous impose des règles, un supérieur (soumission aux patrons inscrite dans le contrat de travail). On est tous libre mais aussi tous inscrit dans des organisations qui nous contraignent parfois physiquement. L'Etat par

créer plus de valeur que sa propre valeur. L'évolution des conditions de production sous la pression de la concurrence conduit à une baisse du taux de profit: loi de la baisse tendanciel du taux de profit. 3- L'analyse néoclassique Stanley Jevons (1835-1882) Léon Walras (1834-1910) Carl Menger (1840-1921) La vision de long terme des classiques au sens large mettait l'accent sur l'accumulation du capital et sur les perspectives de croissance. Avec ces nouveaux auteurs l'objet de l'analyse

qu’il soit partiel ou général. 2) La place de la théorie de l’équilibre général dans l’histoire de la pensée économique. La théorie de l’équilibre général de L. Walras s’inscrit dans la pensée néoclassique : École néoclassique École anglaise : S. Jevons École autrichienne : C. Menger F. von Wieser E. von Böhm-Bawerk École de Lausanne : L. Walras W. Pareto Léon Walras a écrit trois œuvres majeures, qui forment un ensemble parce qu’elles se complètent ; chacune porte sur un aspect particulier