Paradoxe de Russell

collaborateurs dans les années 50, deux axes orthogonaux ont été définis pour pouvoir rendre compte de l’émotion : l’axe de l’hédonie entre plaisir et déplaisir et l’axe de l’activation entre bas et haut niveaux d’activation (Eysenck, 1982 ; Russel, 1980 ; Russel, Mehrabian, 1975 ; Thayer, 1989 ; Watson Tellegen, 1985). Trois générations des modèles de la motivation se sont succédés sur ces deux axes de l’hédonie et de l’activation. Les théories de la « réduction de tension » (Dollard, 1939 ; Freud

s’accusait toujours de la non volonté de comprendre quand il ne comprend pas quelque chose. N’arrivent pas à tout expliquer, il culpabilisait et sombrait dans une spirale de dépression. Mais suite à la lecture de Russel il a compris que c’est l’ambiguïté de la langue qui cause ce paradoxe. Isore une jeune fille en architecture, décida d’étudier des œuvre philosophiques, mais lorsqu’elle est parti du faite que le vide peut être travaillé comme la matière elle a vite sombré dans le désespoir et devenue

Innovation dans la distribution Les paradoxes de la prospective Par Marc DUPUIS Professeur à ESCP-EAP Président du CERIDICE dupuis@escp-eap.net Résumé Cet article rappelle et défend dans une première partie l’idée d’une approche spécifique de l’innovation commerciale jusqu’alors niée par de nombreux économistes et statisticiens. Son auteur distingue les innovations de concept, de flux, d’organisation et de relation dont le mix constitue une architecture innovatrice souvent décisive dans la compétition

en effet s’imposer dès lors que nous entérinons la différence entre la stabilité des choses autour de nous et la variation presque infinie des sensations qu’elles nous procurent (voir ce cours). Il n’existait ici nulle difficulté, et, qu’on cite Russell, Sextus Empiricus, Descartes ou encore Platon, les auteurs de référence ne manquaient pas pour approfondir. Bergson ajoute tout de même une précision : l’écart entre le monde et la représentation que nous nous en faisons, qui correspond exactement

relative indétermination; il y a une difficulté intrinsèque à saisir l’identité, sur les plans les plus divers – logique et métaphysique, psychologique, anthropologique – et l’explication de l’identité consiste à mettre en évidence un certain nombre de paradoxes. Ainsi que l’a écrit John Austin (Truth , 1961), «même», «réel» ou «entité» sont des mots dont l’usage négatif est mieux repérable que leur emploi directement assertif. Ils fournissent les soubassements de la sémantique de la langue – de la compréhension

ou sembler en relever. Il pourrait donc exister entre savoir et croire une simple différence de degrés. Mais il est nécessaire de se demander si la réciproque de cette affirmation est vraie elle aussi pour tenter de comprendre plus précisément le paradoxe du sujet et de voir si cette différence ne peut pas être de nature. En effet le savoir est plus que la croyance. Premièrement car s’il y a savoir il n’y a plus lieu d’y avoir croyance. En effet lorsque l’on sait prouver quelque chose, qu’un carré

peuvent jamais devenir preuve pour des vérités de raison éternelle; et aussi [...] que le passage par lequel on veut construire une vérité éternelle sur une information historique est un saut14.» ------------------------------------------------- Le paradoxe de la foi[modifier] Jürgen Habermas écrit que la pensée de Kierkegaard, « renforce l'établissement d'une frontière entre la raison et la religion, mais cette fois du côté de la foi en la révélation15.» et que le saut proposé par Kierkegaard indique

d’Aristote, notamment celle de Porphyre et de Boèce. Homme se dit de Socrate mais ni Socrate ni Kalias ne se confondent avec cette pragmata. Ce débat est réapparu au XXème siècle avec un article de Russel qui s’appelle « On the relation of universals and particulars » (1912). Dans cet article, Russel admet deux classes d’entités réelles : les particuliers d’une part (objets physiques, sensations) et les universaux (prédicats, relations…). Il définit la réalité comme un ensemble de faits et les faits

Schooling in Capitalist America, New York, Basic Books, 1976. - Brookover W.B., Sociology of education : a definition, American Sociological Review, 1949, n°14, p.407-415. - Bulle N., Sociologie et éducation, Paris, PUF, 2000. - Cherkaoui M., Les Paradoxes de la réussite scolaire, Sociologie comparée des systèmes d’enseignement, Paris, PUF, 1979. - Chubb J.E. et Moe T.M., Politics, Markets and America’s Schools, Washington D.C., The Brookings Institution, 1990. - Coleman J.S., Equality and Achievement

Schooling in Capitalist America, New York, Basic Books, 1976. - Brookover W.B., Sociology of education : a definition, American Sociological Review, 1949, n°14, p.407-415. - Bulle N., Sociologie et éducation, Paris, PUF, 2000. - Cherkaoui M., Les Paradoxes de la réussite scolaire, Sociologie comparée des systèmes d’enseignement, Paris, PUF, 1979. - Chubb J.E. et Moe T.M., Politics, Markets and America’s Schools, Washington D.C., The Brookings Institution, 1990. - Coleman J.S., Equality and Achievement