Paradoxe Relativisme Culturel

soit notre projet, le rocher est bel et bien là, indépendamment de notre bon vouloir. • La situation a deux dimensions principales : o une dimension historique : chacun est issu d'un certain milieu familial, socio-professionnel, culturel, etc. qui a façonné sa manière d'être. En avoir conscience permet de prendre distance par rapport à cette origine, mais n'enlève rien à la situation dans laquelle notre liberté s'est construite. o une dimension structurelle : il s'agit

diffuse, enfin, reprend toutes ces explications mais de manière moyenne, non affirmée. Aucun facteur n'est plus présent ici qu’ailleurs; aucun facteur n'est clairement rejeté. Toutes les explications semblent jouer un peu, mais un peu seulement. Ce relativisme causal concerne près d’un individu sur cinq dans cet échantillon. Je dirais d'abord, d'abord la famille, qui n'arrive certainement à maîtriser ce que font leurs enfants. Et ensuite, certainement la société, qui joue un grand rôle, et les copains

l’utilitarisme serait d’ordre plus rationaliste. En effet, selon cette doctrine, ce qui serait rationnel pour un individu l’est pour l’ensemble de la société. Or, cette idée a été invalidée par l’économiste français Maurice Allais via le « paradoxe d’Allais[6] ». Ce paradoxe a conduit à toute une interrogation critique sur les capacités prédictives des théories de la décision rationnelle mais également des théories dites de « l’utilité espérée » (c'est-à-dire ce que l’on devrait attendre si l’on partait

transformations, c’est-à-dire de "traitements". Cette approche quantitative échoue sur un point essentiel en ce qu’elle ne permet pas de rendre compte du sens du message, ni pour l’émetteur ni pour le récepteur. Sous cet angle, elle est à l’origine du paradoxe selon lequel un message bruité serait porteur d’une quantité d’information plus grande que le même message non bruité. Quantité d’information et réduction de l’incertitude du récepteur paraissent varier en sens contraire : " trop d’information tue

France dans l’enquête PISA1. On sait bien que la question des technologies de l’information et de la communication ne peut être traitée que dans le cadre plus large d’une réflexion sur l’École, laquelle à son tour se situe dans un horizon social, culturel, politique, et que tout cela entremêle la théorie et la pratique, les faits et les normes, les rêves, les nostalgies, les utopies, les idéologies. Le groupe Compas, qui s’est constitué en 2006 autour d’un petit noyau de chercheurs de l’École normale

2001 ; J.-N. Jeanneney, Une histoire des médias, Seuil, 1998 ; J. Lazar, Sociologie de la communication de masse, A. Colin, 1991 ; P. Le Floch, N. Sonnac, Économie de la presse, La Découverte, 2005 ; E. Maigret et E. Macé (dir.), Penser les médias culturels : nouvelles pratiques et nouvelles approches de la représentation du monde, A. Colin/INA, 2005 ; M. Mathien, Économie générale des médias, Ellipses, 2003 ; M. McLuhan, La galaxie Gutenberg, Gallimard, 1977 ; M ; McLuhan, Pour comprendre les médias

moi-même ? (Représentation) Comment juger de la légitimité d'une représentation? (Représentation) Icône et idole (Représentation) Une représentation peut-elle être fausse? (Représentation) Le pouvoir de la représentation (Représentation) Y a-t-il un paradoxe de la représentation? (Représentation) Doit-on parler du pouvoir de la représentation ou du pouvoir d'être représenté? (Représentation) Toute représentation est-elle nécessairement trompeuse ? (Représentation) Peut-on représenter l'abstraction ?

Dès lors, Durkheim va essayer de savoir comment il faut faire pour qu’une société divisée en d’innombrables socialistes puisse produire un minimum de cohésion social. Comment une collection d’individu peut-elle constituer une société ? Il part d’un paradoxe : comment se fait-il que l’individu soit à la fois plus autonome et plus dépendant des autres et de la société ? Ici, il n’y a pas d’opposition entre individualisme et collectivisme. C’est le social qui permet au « je » de se développer. Il ne

Shakespeare est devenue pour John le moyen de se sentir supérieur aux garçons du village qui se moquent de lui. Bernard et John, affirmant tous deux une individualité émotive dérangeante, sont rejetés par leur milieu respectif malgré un référentiel culturel proche. Quelle est la société la plus cohercitive ? Bernard, comprenant le parti qu’il peut tirer de John dans sa lutte pour éviter sa mutation en Islande, propose à John de le ramener avec lui à Londres. John accepte à condition que Linda sa mère

droits. Pour la première génération, on parle de droit-liberté, droit de faire quelque chose, droit négatif, droit barrière, des droits-créances qui sont aussi parfois des droits à..., des droits sociaux aussi ou des droits économiques, sociaux et culturels. La grande nouveauté des droits de deuxième génération est qu'il s'agit de droits-créances qui ont été proclamés dans des textes dans un contexte historique soit différent, soit différemment perçus, qui correspond à des conditions socio-économiques