Paradoxes de Zénon

cette confusion entre mouvement et espace parcouru que sont nées, selon Bergson, les illusions des Eléates. Dans le paradoxe d’Achille et de la tortue, Achille ne rattrapera jamais la tortue car le mouvement de chacun est confondu à l’espace parcouru et que cet espace est divisible à l’infini et donc que la tortue aura toujours un intervalle infiniment petit d’avance sur Achille. Zénon décompose le mouvement en portions d’espace parcouru et confond l’acte indivisible du mouvement avec l’espace homogène

enlève tout sens à l’action et rend celle-ci inutile· le déterminisme rend impossible le libre arbitre et la responsabilité morale C’est surtout CHRYSIPPE (figure de l’Ancien Stoïcisme, à la tête de l’école stoïcienne du Portique, après Zénon de Citium et Cléanthe) qui a formalisé les arguments sur le DESTIN et la LIBERTE ; les positions de Chrysippe sont rapportées et exposées par Cicéron dans le De Fato (Traité du Destin) et Aulu-Gelle. Le FATALISME =

qu’on a.     3) Comment ne pas être une marionnette secouée par les désirs ?  (le nécessaire travail sur ses désirs) A. Le stoïcisme : guerre déclarée aux désirs Doctrine morale qui dit comment atteindre le bonheur. 3 siècles avt JC (Zénon de Cittium)-2 siècles ap (stoïcisme romain : Sénèque, Marc-Aurèle, Epictète-esclave « stoïque » sous la torture) les « philosophes du portique » (stoa = portique) Il convient de ranger les choses en deux catégories : ce qui dépend de nous / ce qui

et les liens engendrés par la propriété privée (le contrat). Cette évolution peut s’expliquer par le fait que juste avant la chute de la civilisation grecque, deux doctrines prévalaient : l’épicurisme d’Epicure (341-270) et le stoïcisme fondé par Zénon (336-264). La sacralisation des lois et des institutions Grecques a perdu de son importance chez les Romains. Dans l’époque romaine, la vie spirituelle de l’homme à travers les institutions de l’état a enregistré un net recul. Toutefois, cela ne signifie

présence de la caméra. Si le requin baleine de Kon-Tiki est si exceptionnel c’est qu’il ne dépend en aucun cas de la présence de la caméra (comme pour les images d’actualités et notamment celle du 11 septembre). Ce que remarque ici Bazin, c’est tout le paradoxe du documentaire : si l’on film un indien coupeur de tête c’est précisément que celui-ci n’as pas coupé la tête du caméraman. Bien qu’intéressante, ça remarque n’as pas le mérite d’être un reproche. CHAPITRE V : M. Hulot et le temps (tiré d’Esprit

saisir… par la pensée » (l. 2), la concevoir assez distinctement. Pour cette claire concision les mots manquent, alors que, avons-nous vu, notre familiarité à l’égard du temps est principalement attestée par le flux de nos paroles. C’est là un paradoxe, d’autant plus que pour Augustin, comme pour Platon, c’est au-dedans de soi, dans la pensée pure, que l’on comprend le langage (cf. ch. 3 et De Magistro4). Mais ce 3. La numérotation des lignes indiquée entre parenthèses renvoie toujours au texte

non industrio » (l.14) sont deux questions oratoires qui animent le propos, tout en étant un moyen de persuasion, car elles donnent un caractère d’évidence à des propositions qui ne vont guère de soi pour le non-sage. 2. Le recours aux paradoxes. Le paradoxe entre la question initiale et les réponses données doit interpeller car il joue sur une affirmation (« multa bonis uiris aduersa eueniunt », l. 1) et sa rétractation immédiate (« Nihil accidere bono uiro mali potest », l. 2), avec un passage

science. Dans ses lettres que Descartes va analyser conception du souverain bien. En 1645, lettre à Elizabeth : D compare Aristote, Épicure, Zénon sur souverain bien. Reprend comparaison pour lettre à Christine de Suède : comparaison seulement entre Épicure et Zénon. Il y a Zénon qui place le souverain bien dans la vertu, mais pour Descartes, vertu dont parle Zénon est si sévère et si ennemie de la volupté qu'elle devient trop stricte et ne peut plus causer de bonheur. Épicure parle de la volupté en

Comprendre l’univers de Beckett p.9 Le personnage beckettien p.11 Un espace temps indéfinissable p.12 La perte du corps p.13 La force comique p.15 Fin de partie p.15 Genèse p.16 Résumé p.17 Pistes de réflexion p.17 L’Arche de Noé p.19 Le paradoxe des grains de mil p.20 Influence de Baudelaire p.21 Hamm et Clov : les pions d’un échiquier ? p.22 La mise en scène p.22 Exemples de mises en scène antérieures p.22 Celle mythique : Roger Blin p.24 Celle polémique : Gildas Bourdet p.26

’elle était à  quelque chose qu’elle n’est pas encore. A proprement parler, le changement n’est donc  rien. Parménide l’appelle non être. Héraclite affirmait donc que ce qui est (le  changement), c’est le non être. Pour Parménide, il s’agit d’un paradoxe, d’une  contradiction. On comprend que Parménide aborde le problème de façon logique : pour  lui il faut dire « l’Etre est, le non‐être n’est pas ». Il découvre ainsi, sans probablement en  avoir conscience, le principe d’identité. Notre raison recherche l’identique