Parlement d'Aix

FRANÇAIS : L ARGUMENTATION Texte : Quelle espèce de despotisme les nation démocratiques ont craindre (livre 2,chap. VI) Problématique : Comment la démocratie parvient-elle a réduire le libre arbitre et a abêtir les personnes ? Vocabulaire : Despotisme : pouvoir absolue et arbitraire oppressif du despote Despote : souverain qui gouverne avec une autorité arbitraire et absolue Libre arbitre :faculté de se déterminer sans autre cause que la volonté Introduction : Alexis de Tocqueville

cause par la suite, il a pris fin en 1946 au sortir de la guerre, après de nombreuses crises d’instabilité. La loi était alors considérée comme l’autorité suprême, insusceptible de remise en cause par un quelconque autre pouvoir. L’importance du Parlement a donc constitué l’aspect primordial de la IIIe République, et des régimes suivants avant que la Constitution de 1958 ne vienne le remettre totalement en cause. La République est proclamée le 4 septembre 1870, régime que des députés républicains

Rééquilibrage des institutions et revalorisation du Parlement : Quelles solutions » ? « Après l’expérience que nous fîmes, sous la IVème République, il était inévitable et sans doute indispensable que, dans les débuts de la Vème, le Parlement se trouvât resserré dans un lacis de contraintes, d’autant plus étroit qu’il avait été établi avant la réforme de 1962, qui assure au pouvoir présidentiel la force incomparable de l’investiture nationale directe. Le cumul de ces deux dispositifs de sécurité

France Au printemps 1848, un vent de révolte et de libération des nationalités traverse l'Europe. En France, cela aboutit à la chute de la monarchie de Juillet et à l'instauration de la IIe République. Ce régime éphémère qui a duré à peine plus de trois ans dans sa forme démocratique, suscita cependant de grands espoirs et resta comme une date fondamentale dans l'histoire de France et la mémoire collective. En effet elle apparait comme un intermède de liberté entre la monarchie de Juillet

logique concorde avec la volonté des constituants de 1958 qui ont « l’ambition de créer un régime parlementaire » selon le discours de M. Debré du 28 août 1957. Comme dans tout régime parlementaire, le gouvernement apparait responsable devant le parlement par le jeu de l’article 49 alinéa 1, 2 et 3 et, en aucune façon devant le président de la République qui, bien qu’il mette fin à ses fonctions par l’article 8 alinéa 1 de la Constitution, ne peut pas le renvoyer, le premier ministre devant présenter

prévôts royaux (juges ordinaires, du Tiers état), puis les baillis et les sénéchaux (apparaissent au XIIs.), et XIIIs. le Parlement. Ce dernier est un démembrement de la Cours du roi curia imparlamentum. Elle s'est lentement détachée de la Cours du roi pour devenir la plus haute instance judiciaire du royaume. C'était la Cour souveraine du Parlement installé à Paris. D'autres parlements devaient apparaître en province (Toulouse 1423) ils constituaient le dernier degré de la justice déléguée. À côté de

dispositions ont pour objectif général de faire disparaître de la législation toutes les lois non normatives ou dénuées de sens ou nuisant a l'intérêt général de la société. Les hautes institutions comme le conseil constitutionnel ou depuis 2008, le Parlement expriment donc par la prévention un avertissement aux législateurs créateurs de loi non normatives. Ils voient en cela un moyen de dissuasion, un moyen de faire disparaître ces lois à l'origine de la crise de la loi, à l'origine du mal législatif

républicain » après son élection à la présidence : le paradoxe apparaît déjà. L’article 20 ajoute que le gouvernement dispose de l’administration et de l’armée, conduisant ainsi la politique de l’état, et qu’il serait responsable politiquement devant le parlement, qui contrôle ainsi son action et peut décider de le limoger. Du fait de son élection au suffrage universel, la fonction présidentielle est renforcée et le déséquilibre s’accentue entre Chef d’état et Chef de gouvernement, ou premier des ministres

pouvoir. Pour finir nous observerons le retour de la droite au pouvoir. Le général de Gaulle et ses successeurs (1958-1981) La Constitution de 1958 bâtit un régime différent du précédent. Le président de la République, élu pour sept ans par le Parlement, a l’essentiel des pouvoirs. Il nomme le gouvernement et peut dissoudre l’Assemblée National. Il est le chef de l’armée, il peut décider d’un référendum et obtenir des pouvoirs extraordinaires (article 16) en cas de menace. Enfin, il contrôle le

et IVème République, l’histoire de celles-ci montre que la pratique des institutions a mis en place un net déséquilibre des pouvoirs au profit du Parlement. En définitif, plutôt que de régime parlementaire à propos de la IIIème et IVème, on peut parler de régime d’assemblée, de régime politique où un déséquilibre des pouvoirs joue en faveur du Parlement. Chapitre I L’héritage constitutionnel Section I – La IIIème République Entre 1789 et 1870, le mariage entre République et régime parlementaire