Parlementarisme Moniste De Type Majoritaire

l’inutilité de renverser l’ordre établi constituent des facteurs déterminants. Ces éléments psychologiques ne sont pas exclusifs c’est-à-dire qu’il y en a d’autre car la coercition effective ou potentielle s’ajoute toujours et nécessairement. L’autre type de contrainte est la contrainte matérielle qui ne fonde pas obligatoirement le pouvoir politique mais sert à le maintenir et elle lui est indissociable. Il est initial en ce que tout part des gouvernants. Certes il existe des pouvoirs autres que politique

ils portent la voix du peuple. Rédiger la nouvelle constitution : la convention de Philadelphie : adopte la constitution des UE. C’est aussi un assemblé législatif : elle adopte des lois qui répondent au quotidien. En France c’était souvent ce type d’assemblé ! Le peuple intervient pour élire l’assemblé constituante, puis elle rédige la constitution, et cette dernière est soumise a l’avis du peuple, par référendum : Mis en place en 1893 (mais elle n’a jamais était appliquer.) En 1946 : le peuple

partisanes  Pourquoi et comment devient-on militant ?  Récompenses et gratifications B/ La classe politique  Qui fait de la politique ?  Les facteurs personnels  Les conditions favorables C/ Elites et société  Notion d’élites 6  Analyse moniste  Analyse pluraliste  Permanence et circulation des élites  L’ère des organisations  Classe dirigeante et pluralité des élites D/ Des acteurs politiques peu représentatifs  La professionnalisation de la politique : Dominique Chagnollaud

sociaux. La science politique finalement est un regard sur la politique, sur les problèmes politiques qui doit ê distingué d'abord du regard militant. Un regard militant est fait pour justifier l'action, l'opinion. Il se distingue aussi d'un autre type de regard, dans les médias le traitement des problèmes politiques se fait à partir de l'évenement. L'objectif d'un regard de science po est de s'éfforcer à dévoiler la réalité sociale et politique. 2) " Politique ", un terme androgyne et polysémique

reste l’organe suprême détenant la souveraineté. Sous la IIIème République et la IVème République il y a donc une souveraineté parlementaire. R. Carré de Malberg va conceptualiser la souveraineté parlementaire. On est donc dans une logique de « parlementarisme absolu » selon Carré de Malberg. Tous les instruments de rationalisation parlementaire vont tomber en désuétude. Le premier Président du conseil se présente en 1947 (Ramadier) devant les députés. Il sollicite l’investiture sur son programme et

par une très grande instabilité. La moyenne des régimes politiques est de 15 ans. Deux régimes ont dépassés les 20 ans (1870-1940), 3ème république et notre république. Il y a une relative facilitée à réviser la constitution. Apparaît le fait majoritaire sous la Vème république, le fait que les gouvernements disposent à l’assemblée nationale d’une majorité stable, discipliné, cohérente. Sous les républiques précédentes il y avait des majorités de coalitions qui se faisaient et se défaisaient

essentiel ce n'est pas tellement que les gouvernants se mettent a respecter le droit car en principe cette soumission est acquise depuis le XVIIIe. Ce qui a consisté un changement plus important est le type de règle auquel les gouvernants se sont trouvés soumis. C'est là que le changement est intervenu. A quel type de règles sont ils soumis ? On peut s'appuyer sur l'exemple français car finalement il reprend un schéma qui a prévalu dans toute l’Europe et qui voulait que jusqu'à la 1ère moitié du Xxe on se

opportuniste. Deuxièmement, le vote était un d’allégeance : il se développe à partir du suffrage universel masculin. Le premier type d’allégeance est celui envers une famille, un clan défini. Ici aussi, c’est un vote d’échange : on distribue des terres, on contribue à la protection juridique… Il y a un sentiment de liaison au clan, il serait amoral de voter contre lui. Le deuxième type est le vote en fonction de l’identité communautaire : religieuse, territoriale, socioprofessionnelle… L’Eglise catholique

Bundeslnder. Tout ne provient pas des organes centraux, car le pouvoir est partag dans les diffrentes rgions, et nest pas concentr. Il y a plus dautonomie. La population est rarement homogne. Il peut y avoir de fortes particularits centrales. Avec ce type de pays, si le pouvoir tait centralis et que la population tait vue au niveau national, tous seraient considrs comme des minorits (langue, croyances, coutumes, etc.) Mais au niveau local, ils ont de limportance. Cette dcentralisation du pouvoir est

faite par Carré de Malberg dès le début des années 1930. Section 2 : l’article 3 de la constitution de 1958 L’alinéa 1 dispose de la conception de la souveraineté. une absence de choix tranché Les anciennes constitutions proclamaient leur type de souveraineté comme par exemple en 1791 où la souveraineté est nationale. Mais le constituant n’allait pas au bout de la théorie. Exemple dans la constitution de 1793 la souveraineté est populaire donc le suffrage est universel, la démocratie est