Parodie De Phedre

prendre pour modèle par exemple la Pléiade et le Parnasse pour le modèle antique, le XVIIe pour les règles classiques fixées pendant l'Antiquité et qui concerne surtout la poésie et le théâtre, La Fontaine qui a pris pour modèle les fables d'Esope et de Phèdre. Je pensais aussi parler du cinéma (les remakes de films comme "La Guerre des Mondes" (eux-mêmes inspirés de livres) ou l'art figuratif qui imite le réel). Est-ce possible ? → l'imitation peut prendre différents aspects : imitation des formes, reprise

Autour de la représentation : « public » (p188, 370), « spectateurs » (p267), « spectacle » (p40), « applaudissements » (p215) Citations de pièces de théâtre et de lieux de représentation: Quelques tragédies mais avant tout des comédies : - Phèdre, p147 + Britannicus, p180 - Le méchant (Gresset), p159 + Nanine (Voltaire), p272 + La Métromanie (Piron), p121 lieux de représentation : - « l'Opéra », p109, p376 - « la Comédie italienne », p451, « aux Italiens », p130, « aux Français »,

d'Anne de Beaugency, de Charles de Brabant de Zézette d'Orléans sont parmi les plus célébres . Avec cet effroyable cynisme d'emperruqué mondain qui le caractérise , La Fontaine n'hésita pas à puiser largement dans les ysopets des autres pour les parodier grossièrement et les signer de son nom. Grâce à quoi , de nos jours encore , ce cuistre indélicat passe encore pour un authentique poète , voire pour un fin moraliste , alors qu'il ne fut qu'un pilleur d'idées sans scrupules, doublé d'un courtisan

soir-là, Sarah Bernhardt jouait le rôle de Phèdre, dans la pièce éponyme qui est un grand classique, devant deux mille personnes, cela ne change rien à la qualité d’Ubu Roi, cela est même un contraste entre les pièces classiques et la votre. Pour conclure cette lettre, je dirais que vous venez de créer un nouveau style théâtral, surréaliste et absurde ; votre œuvre, que l’on pourrait qualifier de farce est un mélange de provocation, de satire, de parodie et d’humour ; et cela est agréable de voir

genre: la fable. Il publie en effet un recueil intitulé Fables.   Eléments pour une introduction: La fable, genre ancestral, semble se prêter particulièrement bien aux réécritures. Si Jean de La Fontaine s'inspire en effet abondamment d'Esope ou de Phèdre et de Pilpay au XVII°, Anouilh ou Charpentreau donnent une seconde vie aux fables de La Fontaine dans de nombreuses réécritures au XX°. Ainsi, Jean Anouilh propose-t-il une reprise de l'apologue "Le Chêne et le Roseau" dans son recueil de Fables publié

verrons un ou deux auteurs particuliers, nous en lirons quelques textes et analyserons ceux de La Fontaine à partir des paramètres vus lors du dernier cours. Les différents auteurs et textes choisis sont les suivants : - L’Antiquité : Esope jouant de Phèdre ainsi que Le corbeau et le renard d’Esope ; - Le Moyen Age : Le loup et l’agneau de Marie De France ; - La Renaissance : La cigale de Jean-Antoine De Baïf ; - La période classique :

délaissent des émotions. 27/ LA1 : affrontement entre C et Valvert. LA2 : rejet de C, il préfère être seul que d'avoir la gloire. LA3 : C. chuchote à Ch. ce qu'il doit dire à R. au balcon. 28/ Autres pièces de théâtre : Roméo et Juliette (Shakespeare), Phèdre (Racine). 29/ La " bataille de Hernani ", nom donné à la polémique suite à la pièce " Hernani ". 30/ Scène d'exposition : La ou les 1er scènes qui exposent les 1er éléments de l'intrigue. 31/ Dramaturge : Auteure de pièce de théâtre. 32/ Didascalie

animaux,objet et végétaux pour parler de personnage. LF un évenement est pertubateur et de péripétie qui mettent d'étapes final. La cour du Lion fable 7 du livre 7, la FT à publié 3 recueil en 1678. Auteur du 17em siècle s'inspire des anciens comme Phèdre, Escape et Pilpay sont les trois sabulistes qui influence JF et remet la fable au bout du jour. Il joué aussi d'une grande liberté pour son époque. Nous allons voir comment La Cour du Lion fable 7 livre 7 publié en1678 et dédié à la femme de Montospen

la comédie , soit vers la tragédie . Cependant , Uranie considère que les deux genres ont leurs lettres de noblesse . La tragédie peut nous séduire par sa beauté formelle , par la splendeur de sa syntaxe , par ses alexandrins envoutants . Quand Phèdre , prototype du personnage racinien , s'avance sur la scène pour déclamer " Je suis la fille de Minos et de Pasiphaé " , le spectateur est sous le charme . Et bien d'autres alexandrins magnifiques restent gravés dans la mémoire collective: " Et le

suivies de nombreux procédés rhétoriques particuliers dont l’alexandrin qui reste le vers tragique par excellence ainsi que de nombreux procédés d’amplification qui visent à rendre les personnages héroïques (“Hé bien! Connais donc Phèdre et toute sa fureur” Texte D, Phèdre de Racine) mais aussi d’opposition qui permettent créer des images frappantes (“Ces jours, si longs pour moi, lui sembleront trop courts” Texte C, Bérénice de Racine). La tragédie propose un spectacle dont le fond est esthétique