Particularisme Du Contrat Commercial

  Exposé : le contrat  de  commission        Plan   Première partie : l’identification et la qualification du contrat de commission     Section 1 : les caractères généraux du contrat de commission                 Paragraphe 1: La nature juridique du contrat de commission       Paragraphe 2 : Les conséquences de cette nature       Section 2 : Une réalité spécifique révèle l’originalité et le particularisme de l’opération de la commission         Paragraphe 1: L’agissement en nom du

affaires : I- Du droit commercial au droit des affaires 1) Domaine du droit des affaires : Le commerçant est une personne qui fait des actes de commerce à titre de profession habituelle. La non immatriculation n’empêche pas la qualification de commerçant. Deux type de commerçants : * Commerçant de droit : celui qui est inscrit au RSC (= Fait les choses légalement) * Commerçant de fait : il lui manque une immatriculation. Il exerce donc une activité commerciale mais illégalement.

...7 Les caractéristiques du droit des affaires ......................... 12 Histoire du droit des affaires ......................................... 18 Les sources du droit des affaires .................................... 25 Les juridictions commerciales ........................................ 33 La procédure consulaire ................................................ 41 La justice arbitrale ...................................................... 47 Les actes de commerce ......................

ntroduction I) Nature juridique du contrat de distribution exclusive 1) Particularisme du contrat a) Le contrat-cadre b) La clause d’exclusivité 2) Intérêt du contrat a) Régulation de l’offre et de la demande b) Intervenants au sein du contrat II) Pratique du contrat de distribution exclusive 1) Accords de spécialisation a) Contrats d’approvisionnement et de fournitures exclusifs b) Contrats de franchise 2) Corrélation avec les atteintes à la concurrence a) Interdiction des

réparation conjointe : application du droit interne et du droit communautaire Le préjudice concurrentiel dont se prévaut la victime ici résulte des pratiques anticoncurrentielles régies aussi bien par le Règlement CEMAC N° 1 réglementant les pratiques commerciales anticoncurrentielles que par la loi n° 98/013 du 14 juillet 1998 relative à la concurrence. A l’analyse des ces textes, les organes compétents pour connaître des préjudices résultant de ces infractions sont la Commission Nationale de la concurrence(a)

-Il y a des contrats généraux, mais, nous allons étudier les contrats spéciaux. -Certains contrats ont des caractéristiques qui se distinguent des contrats généraux. -La question qui se pose est celle de savoir la place de ces contrats ? -Un contre spécial n’est pas forcément un contrat commercial. -Le contrat commercial n’est pas un contrat spécial. -C’est-à-dire, que c’est un contrat qui a recours à des règles particulières. -Autrement un contrat spécial est appliqué par des règles spéciales

qui représente une autre personne et qui lui cherche de la clientèle sous un contrat de mandat, de représentation. Cela nous renvoie à 3 professions différentes : le courtage ou le courtier : un courtier c’est quelqu’un qui met en rapport deux personnes afin de faire des affaires ensembles. Il existe du courtage dans l’assurance, le domaine du transport. Le commissionnaire : c’est une personne qui conclut des contrats en son propre nom pour le compte d’un client. Le client s’appelle le commettant

travers le travail. Le droit des affaires est aussi un droit de l’entreprise, du risque, de la vie économique. I- Histoire du droit des affaires Au temps de Louis 14, on aurait parlé de droit des marchands. Il y a 1 siècle, on parlait de droit commerciale et de nos jours, on parle de droit des affaires. A. Le droit des marchands Pour qu’un droit des marchands apparaisse, il faut que les sociétés soient marchandes et non plus agricoles. Cela correspond à la Phénicie, la Mésopotamie. Cela ne

1950, les juristes se demandent ce que doit être le droit commercial, comment il s’exprime à l’heure actuelle ? Est il le droit des commerçants, le droit des opérations commerciales, c’est en essayant de répondre à ces questions que l’expression « droit des affaires » est née. Toutefois, cette expression ne fait pas l’unanimité en doctrine puisqu’une partie des auteurs et des enseignants estiment que « droit des affaires » et « droit commercial » recouvrent une même réalité et d’autres part parce que

nécessairement laisse de côté des activités qui reposent sur la production, agriculture et activités intellectuelles (production de l’esprit, médicale, artistique etc). Cela repose on va le voir sur le passé. La conception d’activité commerciale opposée à l’activité non commerciale est aujourd’hui dépassée, désuète. On l’oppose aujourd’hui à un autre critère, opposition entre activité professionnelle et non professionnelle (droit des procédures collectives, surendettement etc). Ce droit participe de réalisation