Pascal Pensée Les Deux Infinis

n’interviennent aucunement. Deux notions principales interviennent dans la problématique posée, celle de servitude et bien entendu celle de volonté. Il est vrai que les deux notions paraissent assez contradictoires, ou du moins, leur rapprochement paraît contradictoire. Pour quelles raisons peut-on avoir envie de « vouloir servir » ? On retrouve ce conditionnement volontaire à travers l’obéissance aux lois. Il serait nécessaire de dire que « obéir » et « servir » ont tous deux une connotation assez

Épictète, Ier siècle. Dans la pensée bouddhiste, c'est la fusion avec la nature qui permet de dépasser notre subjectivité pleine de désirs. C'est une existence libérée du désir des sens, du désir de vivre et du désir de mourir. Pour Schopenhauer, seuls la mort et l'art peuvent nous libérer de la torture du désir. Car l'art est un regard esthétique et désintéressé sur le monde. Il semble impensable de se libérer du désir s'il est le moteur de la vie. Pascal dit ainsi : « qui veut faire l'ange

m’aimes-tu ?ARLEQUIN : Pardi, oui ! En changeant de nom tu n’as pas changé de visage Ce dialogue entre Arlequin et Lisette, dans le Jeu de l’amour et du hasard de Marivaux, montre qu’aimer n’est pas un jeu : les deux personnages ont beau se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas en endossant le rôle de leurs maîtres, les sentiments qu’ils partagent restent les mêmes. Pourtant aimer est souvent apparenté au jeu. Aimer inclut un jeu de séduction, de charme

Blaise Pascal, né le 19 juin 1623 à Clairmont (aujourd'hui Clermont-Ferrand) en Auvergne, mort le 19 août 1662 à Paris, est un mathématicien, physicien, inventeur, philosophe, moraliste et théologien français. Enfant précoce, son père l'éduque. Les premiers travaux de Pascal concernent les sciences naturelles et appliquées. Il contribue de manière importante à l’étude des fluides. Il a clarifié les concepts de pression et de vide, en étendant le travail de Torricelli. Pascal a écrit des textes

l'expérience sensible première où nous croyons que le ciel est bleu, le soleil tourne autour de la Terre et que les espèces ont toujours existé telles qu'elles sont). Et l’opinion est assimilée à une prison pour deux raison : - sa relativité, son perpétuel devenir et sa multiplicité infinie d’objets dont il semble impossible de sortir et dont on ne peut finalement rien dire. Finalement tout discours est de ce fait impossible. - La croyance dans le sensible est liée au caractère corporel de

l’infiniUtilisé dans les mathématiques, pour la puissance des espaces infinis, on parle des Aleph dans la théorie des ensembles. À propos du labyrinthe dans lequel réside AstérionSortir du labyrinthe, surmonter des épreuves. 3. Les deux épigraphes : citations au début d’un chapitreLa 1e est une citation de Hamlet et la 2e du Léviathan de Hobbes.Hamlet : Ô dieu je pourrais être enfermé dans une coquille de noix et me sentir encore roi de l’espace infini. Référence L’étranger de Camus.Hobbes : Mais ils veulent

Renaissance) supériorité des Anciens : on ne peut qu’essayer de les égaler mais impossibilité de les dépasser. « La belle antiquité fut toujours vénérable; Mais je ne crus jamais qu'elle fût adorable. » CP estime que possibilité de comparer car tous deux hommes de même niveau (anciens ≠ dieux)  Fontenelle un des 1e à marquer passage d’un progrès de littérature jusqu’à question des connaissances classique original _constance nature humaine _ conscient de l’héritage artistique que les anciens

pourvu. - Quels sont donc alors, Diotime, m'écriai-je, ceux qui s'emploient à philosopher, si ce ne sont ni les sages, ni les ignorants ? - La chose est claire, dit-elle, et même déjà pour un enfant! Ce sont ceux qui sont intermédiaires entre ces deux extrêmes, et au nombre desquels doit aussi se trouver Amour. La sagesse en effet est évidemment parmi les plus belles choses, et c'est au beau qu'Amour rapporte son amour; d'où il suit que, forcément, Amour est philosophe, et étant philosophe, qu'il

arbitrairement sa croyance dans les limites étroites de ce qu'on aperçoit directement, on étouffe dans ces limites, on en veut sortir à tout prix, et on invoque quelque autre moyen de connaître. On n'avait pas osé admettre l'existence d'un Dieu invisible et infini sur la seule autorité de la raison naturelle, et voilà maintenant qu'on aspire à entrer en communication immédiate avec lui, comme avec les objets sensibles et les objets de la conscience. C'est une faiblesse extrême pour un être raisonnable de douter

donc leur seul mérite sera de résister au mal. Au fond la liberté du chrétien c’est de librement s’en remettre à la liberté divine : « Que ta volonté soit faite » POURTANT : idée d’un idéal de mesure juste qui vient nourrir la confusion entre les deux différentes grammaires. Un idéal commun dans la justice du droit commun, social, politique de la justice au sens moral du terme. Le contentement : forme morale d’un accord avec soi-même Textes de Kant : (cripu/crirprat/crifju) / « fondement de la