Pascal Pensées

Dans Variation sur une pensée Paul Valéry émet sur Les Pensées de Blaise Pascal une critique très négative dans laquelle il dénonce l’ « horrible mélange de méthode et de stratagèmes », sa manière de combiner sentiments et syllogismes et ses promesses et menaces successives. On peut alors se demander si Pascal, dans ses Pensées, mêle en effet sciemment raisonnements logiques et convictions personnelles dans un but de persuasion. Nous verrons dans une première partie comment Pascal use à la fois d’arguments

Explication de texte : Blaise Pascal, Pensées (1670), Ed. Flammarion, coll. "GF" 1976, Problème : Sur quoi le détenteur de l'autorité politique fondera la gestion, l'administration du monde qu'il veut gouverner ? Est-ce que ce sera sur la justice ? Est-elle universelle, et sur quoi repose t-elle ? Thèse : Pascal répond, dans un extrait des Pensées, que des lois naturelles existent, mais que la justice universelle n'est pas connue des Hommes. Il pense que la coutume fait la justice, car c'est

Pascal, Pensées , segment 94, Misère (jusqu’à « tout corrompu »). IntroductionPensées = recueil publié posthume de Blaise Pascal en 1670 ↪ ouvrage atypique : mélange de morceaux bien conçus / achevés + ébauches désordonnées → alliés lors de la publication posthume Liasse misère : celle-ci se concentre sur les disproportions de l’Homme et ses situations d’impuissance, ne pas pouvoir

------------------------------------------------- Sujet : Que pensez-vous de cette pensée de Pascal : Tout ce qui se perfectionne par progrès périt aussi par progrès. Introduction : Blaise Pascal, l’auteur des Pensées, ouvrage posthume paru en 1670, semble s’inscrire à contre-courant de certains philosophes et scientifiques de son époque. En effet, l’idée exprimée dans cette citation s’oppose de manière totale à la pensée cartésienne. Il associe, paradoxalement, les notions de progrès et de perfectionnement

I) Dans le premier moment, Pascal fait un constat et expose sa thèse qu’il développe ensuite. Il emploit pour cela un présent de vérité génrale car il a observé ce constat sur tous les hommes.Sa thèse est la suivante : « nous ne nous tenons jamais au temps présent ».Le verbe « tenir » doit s’entendre en plusieurs sens et ce sont tous ces sens que Pascal entend reprendre ici.-« tenir » c’est d’abord « se tenir en place » en quelque sorte, être. Nous ne nous tenons jamais dans le temps présent car

Citations des Pensées et des Trois discours sur la condition des grands de Pascal (édition Brunschwicg, GF n° 1474) 40, p. 44 « Car on trouve toujours obscure la chose qu’on veut prouver, et claire celle qu’on emploie à la preuve. » 57, p. 47 « Ou on vous entraîne, ou on vous irrite. » 66, p. 50 « Il faut se connaître soi-même : quand cela ne servirait pas à trouver le vrai, cela au moins sert à régler sa vie, et il n’y a rien de plus juste. » 69, p. 51 « Deux infinis, milieu. –Quand on lit trop

Pascal écrit ses Pensées à la fin de sa vie ; c’est un mélange de notes qui furent rassemblées après sa mort. Cet ensemble est en parti une apologie du christianisme inachevée. Pascal cherche à convaincre les incroyants que Dieu est la seule chose importante à l’homme, la seule condition à son bonheur. Dans cet extrait du 139e fragment, appartenant à la section "Divertissement" des Pensées, et à la partie « Misère de l’Homme sans Dieu », Pascal analyse le divertissement

L’imagination et les pensées du personnage sont alors montrées

Pourquoi Pascal accorde t-il un long développement à l’imagination ? L’imagination est le sujet d’un long fragment de la liasse Vanité, le (41) est un fragment exceptionnellement long. La question de l’imagination s’inscrit dans une réflexion sur les moyens de l’homme pour accéder à la connaissance et à la vérité. 1) Une puissance trompeuse « Maîtresse d’erreur et de fausseté » : Une force négative qui empêche l’homme d’atteindre la vérité et qui constitue un aspect de sa vanité. - Elle

Explication de texte philosophie Pascal I) La séparation de la vérité du cœur et la vérité de la raison II) Explication III) Conséquence Un traité qui fait l’apologie de la religion chrétienne. On  n’est pas étonné que Pascal y défende la valeur de la croyance et de la foi contre les rationalistes qui veulent une évidence provenant de la raison. Pascal distingue la faculté de la raison avec une autre, qui est selon lui, qui doit être une faculté de connaissance : le cœur Première