Pax Americana

joie ici ou là dans le monde devant la chute des « Twin Towers », symbole de l’hyperpuissance touchée en son sein. On a alors reparlé aux États-Unis de Brand America. Comme l’écrivit John Quelch de Harvard dans le Sunday London Times (2003) : Pax Americana menaçait Brand America. Notons dans les deux exemples ci-dessus qu’il s’agit de mieux manager la communication. Or la marque va bien au-delà : pour tout chef d’entreprise, la marque n’est pas la communication, elle est un processus de mobilisation

historiographiques autour du « nouvel ordre mondial » II. « Le nouvel ordre mondial » : comme histoire des tentatives d’ une régulation des relations internationales par l’ hyperpuissance américaine: A. Hyperpuissance américaine et projet d’ pax américana une B. Les tentatives de régulation américaine face à l’ affirmation d’ autres pôles de puissance C. Le désir d’ une gouvernance globale par refus d’ ordre fondé sur l’ un hyperpuissance américaine III. « Le nouvel ordre mondial » comme histoire

les grands moments de stabilités de l’Histoire sont incarnés par les périodes où des grandes puissances dominent et imposent leur dicta. Il en est ainsi selon lui de la «pax romana » sous l’égide de l’Empire Romain, de « la pax Britannica » lorsque l’Empire Britannique contrôlait les grandes routes maritimes, et de la « pax americana » dans la période qui suit la seconde guerre mondiale où les Etats-Unis d’Amérique imposait/impose leur domination. (Battistella, p. 155, 2012) 1.2.Le concept de « sécurité

Washington était la possibilité pour ces nouveaux pays (issus principalement de l’effondrement du bloc soviétique) d’étendre le développement la règle du droit, l’ouverture du marché et d’appréhender l’avènement de la démocratie. Avec l’idée d’une Pax Americana, l’image des Etats-Unis se donne à voir comme le flambeau permettant à toutes ces démocraties émergentes de sortir des ténèbres et d’être invitées à la table des « nations éclairées ». Seulement, Walt annonce que les problèmes d’accession à la

l'expansionnisme américain et ne peuvent être séparées des objectifs plus larges de la politique extérieure américaine; les liens de sécurité entre les États-Unis et l'Europe occidentale facilite l'expansion outre-Atlantique des entreprises américaines; la pax americana fournit le cadre politique à l'intérieur duquel ces activités économiques et transnationales ont lieu ». Dans l'école néo-réaliste, les multinationales n'existent que grâce et pour les États, et ne serait donc pas des acteurs autonomes. Ce sont

non plus « d'intérêts vitaux à défendre », se tiennent en marge ; mais en 1995, devant la gravité de la situation, dans le cadre de l'OTAN et non celui des Nations Unies, ils procèdent à des raids aériens avant d’engager le processus de Dayton. Pax Americana dont l'ONU se voit purement et simplement écartée, mais il n’est personne pour ne pas se féliciter que soit mis fin à trois ans et demi de guerre. Pour autant, Dayton ne signifie pas la paix, ni la naissance d’un Etat indépendant mais une étape

États-Unis ont mené une politique interventionniste dans un monde marqué par le désordre, et par une multiplication des conflits qui n’obéissent plus à la seule logique d’un monde bipolaire. Ils ont perçu rapidement la difficulté d'établir une pax americana fondée sur le respect des valeurs démocratiques, du droit international et surtout du multilatéralisme. Le monde depuis 1991 n’est pas un monde plus sûr. La fin de la Guerre froide n'a pas mis fin aux conflits dans le monde, d'une part, parce

Research Council, New York. - New York : New Press, 2002. - VIII, 290 p. ; 24 cm. - Includes bibliographical references (p. [243]-272) and index. - ISBN 1-56584-771-7. Cote : 327.092-HER-2002Czempiel, Ernst-Otto. - Weltpolitik im Umbruch : die Pax americana, der Terrorismus und die Zukunft der internationalen Beziehungen / Ernst-Otto Czempiel. - München : Beck, 2002. - 229 p. ; 19 cm. - (Beck'sche Reihe). - Notes bibliogr. Index. - ISBN 3-406-49416-1. Cote : 12° 042.309David, Dominique. - Un an après

Moves for Peace   In June of 1963, Kennedy delivered his famous “Peace Speech” in which he discussed “the most important topic on earth: world peace.” Kennedy continued:   "What kind of peace do I mean? What kind of peace do we seek? Not a Pax Americana enforced on the world by American weapons of war. Not the peace of the grave or the security of the slave. I am talking about genuine peace, the kind of peace that makes life on earth worth living, the kind that enables men and nations to grow

et si on n’y arrive pas par la négociation, on utilise la guerre pour imposer ça vision des choses. Et là, c’est la loi du plus fort qui s’applique. Plusieurs formes d’hégémonies mondiales en découlent : la pax Romana sous l’antiquité, la pax Britannica au XIXe siècle, pax Americana au XX. Pax = la paix. « Sa constatation de la paix ». Cette vision réaliste c’est celle qui prévaut dans un certains nombres de cas : c’est la real politique d’aujourd’hui. Je reconnais les droits de l’homme mais je