Pax Americana

ejercer un consumo y una inversión responsables. En 1928, la Iglesia Metodista americana creó la “Fundación Pionera”, que siguiendo los criterios morales de su religión, excluía a las empresas productoras de alcohol, tabaco o armamento para invertir en base a su moral y a su ética. Más tarde, en 1971, Luther Tyson y Jack Corbett, que coordinaban proyectos de la Iglesia Metodista, promovieron la creación del primer FISR “Pax World Fund”12 insistiendo en la idea de incorporar nociones éticas a las actividades

évidemment obtenir cette hégémonie qui la consacrerait comme superpuissance sans conflit avec les USA. Mais un conflit ne lui fait pas peur. La nouvelle position américaine est la suivante : si la Chine, dont les ambitions semblent démesurées, rompt la pax americana dans le Pacifique, ce sera un casus belli. L'administration Bush entend que la Chine reste une "puissance intermédiaire", comme l'Inde ou le Japon. Or, les Américains ont commencé à passer à l'offensive : on se souvient du bombardement "accidentel"

|Sous la houlette des Etats-Unis : après | | | | | |d’une aire continentale |la Pax americana, ouverture des | | | | |- en termes géo-économiques : puissance de l’ALENA (mais état| |frontières commerciales (ALENA)

pacifique » et la « détente » (1953-1975) 3. La « guerre fraîche » : le renouveau des tensions III. Depuis 1991 : la recherche d’un « nouvel ordre mondial » 1. L’hyperpuissance américaine et la recherche d’un ordre 2. Les remises en question de la Pax Americana 3. Les puissances nouvelles et les tentatives de stabilisation 3 I. Le monde d’après-guerre : bilan et espoirs 1. Les traumatismes du bilan *Le bilan humain est lourd : plus de 50 millions de morts, pour la première fois en majorité des civils

multinationales occupent une place centrale dans le leadership mondial d’hégémon dont ils ont besoin afin d’entretenir des affaires à l’échelle globale. Par exemple, la pax americana est nécessaire aux sociétés multinationales originaires des Etats-Unis. De la même façon, au 19ième siècle, l’empire britannique avait besoin de la pax britannica basée sur l’idée du commerce international colonial. En d’autres termes, dans le leadership global successif de ces deux puissances hégémoniques, l’ordre économique

nous possédons. Plus important encore, aucune autre nation sur terre n’a la confiance en soi que nous possédons »2. Ce statut militaire unique permit à l'Amérique de « jouir d'une domination militaire mondiale combinant la portée transocéaniques de la Pax Britannica avec la puissance militaire de la Rome impériale à l'apogée de sa puissance»3. 2.3.2 La puissance économique L'hégémonie n’est pas seulement une question de puissance militaire, mais aussi de puissance économique. Comme l’écrit Robert

1848-1945) se chevauche avec le « siècle des révolutions de développement national » (1918-1989) et la lutte pour la suprématie capitaliste mondiale entre les puissances centrales. Cette lutte s’achève définitivement en 1945 avec le début de la « Pax Americana ». Après la Seconde guerre mondiale, l’ensemble de ce processus se manifeste dans la configuration de « trois mondes » qui déterminera la seconde moitié du XXe siècle : notamment le « Premier Monde » ou l’ancien centre capitaliste désormais sous

monnaie internationale : le bancor. Qui serait émise par une banque centrale internationale, qui militait en faveur de taux de change flottant qui reflèterait la bonne ou la mauvaise santé des économies. Le plan adopté est le plan White, c’est la pax americana. On retient 4 grands types de décisions de Breton Woods : * Mise en place d’un système d’étalon de change or qui instaure des taux de change fixes ou quasi fixes. Chaque monnaie a une parité officielle qui est déclarée au FMI, qui est défini

décennie écoulée, elle a assuré le cadre géopolitique d’une large croissance économique et la diffusion des principes américains de liberté et de démocratie. Cependant, on ne peut jamais figer la politique internationale dans le temps et même une Pax Americana mondiale ne saurait s’auto-protéger. édition du 09/06/08 Il ne s’agit pas là d’un paradoxe mais de l’inévitable conséquence d’une incapacité à faire cadrer les moyens militaires avec les fins géopolitiques.  Reconstruire les Défenses

frontières et les fronts politico-culturels Troisième partie - Les périls du monde actuel (Explosions à craindre et réformes envisagées) (17) - La machinerie du monde actuel. (18) - Un monde dénaturé ? (19) - Des crises d'un genre nouveau ? (20) - La pax americana (21) - Révoltes et révolutions (22) - Quelques garde-fous autour du marché ? (23) - Quelques boucliers, mais contre quoi ? (24) - Quelques avancées culturelles ? Quatrième partie - Civiliser les Etats-Unis (Une nouvelle stratégie, pour un monde