Pensée Peur Kant

matérielle) Ce problème là renvoie aux droits et à la politique : Les lois auxquelles j'obéis sont – elles l'expression de la volonté d'un chef ou bien l'expression de la volonté du peuple ? 'autres part qu'est ce qui me pousse à obéir aux lois ? Est – ce la peur de la répression ou bien l'idée que ce que je fais est juste ? Domination/ soumission Ainsi il faut distinguer la nécessité, l'obligation et la domination, c'est trois mots s'opposent à l'idée de la liberté. ➔Troisième niveau : La liberté intérieure

un argument ou une preuve ontologique de l’existence de Dieu. Parce qu’il est parfait, il ne peut pas ne pas être. Seulement, l’argument ontologique réduit à néant la distance qui sépare le possible du réel et, par-là, la logique de l’existence. Kant fera l’analyse de la preuve ontologique et montrera qu’elle repose sur une confusion entre l’être comme copule qui concerne l’être de l’essence et ses déterminations (Dieu est bon, Dieu est parfait, …) ; et l’être comme prédication, comme attribution

biologique serait négative pour la société, d’un point de vue déontologique. D’après ce qu’on a vu en classe, la théorie d’Immanuel Kant prétend qu’on ne devrait pas continuer avec ce projet, car cela enfreindrait la loi universelle, soit que l’universalisation de l’action va à l’encontre des intérêts fondamentaux de tout être raisonnable. Cela est défendable quand on pense que si tout le monde doit modifier son embryon dès que cette cellule a une quelconque maladie se trouvant dans ses gènes, il finirait

qui est liée a l'accomplissement de devoir. Augmenter savoir= rapprocher des Dieux Faire son devoir: contrainte, obligation. Désagréable, fondé sur l'exteriorité. Obligare: règle que l'on s'impose a soi même. Kant: agir conformément au devoir. Agir par simple LEGALITE= ex peur de l'arrestation = heteronomie de la vonlonté= volonté déterminée par des causes extérieures. Opposé a autonomie. « Agir par devoir c'est agir par respect pour la loi morale » Fondement de la morale= « Agis toujours

ont continué l’aventure. Maintenant avec une technologie et des connaissances des sciences qui évoluent la question est posée: La machine a remonté le temps réalité ou utopie ? I°) L a notion du temps ? De nombreux hommes on étudié, pensé, et imaginé au voyage dans le temps et a notre vision du temps. Mais ce « projet » fou n’est pas qu’une idée de scientifique. De grand philosophe, écrivain si sont penchaient. Mais le temps, savons nous ce que c'est ce qu'il renferme, sommes nous capable

représenter la valeur morale de nos actes. La conscience suppose l’usage du « je » par lequel l’homme se découvre lui-même et agit volontairement sur le monde. L’homme pense et sait qu’il pense. Le « cogito ergo sum » (« je pense donc je suis ») de Descartes est une certitude indubitable. La conscience surgit lorsque l’enfant dit et pense « je » pour la première fois, c’est un changement radical. Ce surgissement le sépare à jamais du monde mais cette rupture va permettre l’émergence de la réflexion.

pouvoir de conduire des raisonnements. Raisonner est un mode de connaître discursif, qui procède par enchaînement de vérités. Raison se disait en grec logos , qui désignait aussi le langage. On voit par là que raison désigne toute pensée articulée, tout enchaînement de pensée. Mais alors, la raison a t-elle toujours raison? Tout d’abord nous verrons pourquoi la raison semble avoir toujours raison sur le plan de la connaissance, puis pourquoi elle semble avoir toujours raison sur le plan moral. Enfin

action ». Si nous mentons, c’est parce que nous avons jugé que la réalité d’une chose nous concernant ne nous convenait pas et/ou parce que nous savons qu’elle ne plairait pas à autrui, au préalable. Nous avons donc peur de nous heurter au jugement d’une personne ou d’un groupe. Cette peur vient du fait que la vérité ou la réalité peuvent constituer des obstacles à notre désir d’être aimé, admiré, estimé, reconnu par les autres, d’atteindre des buts que nous nous sommes fixés, en somme d’être heureux

convenable ? Car en effet, suis-je certain de mon existence et de mon unité en tant que sujet ? En effet, en tant que sujet je me définie par la conscience aussi bien de moi (conscience réfléchie) que des objets (conscience spontanée); la conscience de ma pensée, de mes actes et de mes sentiments. Or quand je dors, je ne suis pas conscient. Il ne serait donc pas totalement absurde et bien au contraire d'admettre qu'en l'instant même ou je dors, ma conscience m'échappe, et que puisque je suis défini par la

commune a chaque secte : - conditionnement de l'esprit a travers la manipulation mentale, l'obéissance et l'investissement personnelle du fidèle - l'adepte subis la rupture du lien sociale , a savoir une lente désintégration de son système de pensé ( valeur et norme ) rupture du lien familiale, perte de toute insertion sociale - usurpation a la fois de ces idées, de ces valeurs morale, usurpation économiques , nous pouvons donc en conclure que la religion a l'encontre de la secte préserve