Pérégrin

règne des Julio-Claudiens, mais on constate que, vers 50 de notre ère, la Gaule est dotée | |d’un tissu urbain dense et complexe, formé de villes aux statuts juridiques variés, des colonies romaines où l’on est citoyen romain aux | |cités pérégrines où l’on ne bénéficie d’aucun des droits accordés par les Romains. Elles portent des noms d’origines diverses, mais elles ont| |toutes en commun d’avoir été fondées par le conquérant, sur l’emplacement des agglomérations gauloises ou mieux, à distance

trop de travail et demanderont à être déchargés donc mise en place de magistrats judiciaires chargés de trancher les procès : les préteurs qui donnera prétoire (synonyme de tribunal). Un préteur pour les romains (urbains) et un préteur pour les pérégrins (étranger à Rome) En cas de crise grave, de menace contre le cité romaine et d'atteinte à la Respublica, le Sénat peut confier le pouvoir à un magistrat extraordinaire : le dictateur, nommé pour 1 an qui exerce les pleins pouvoirs mais il gouverne

la Jus civile, cad le droit de la cité. * Les pérégrins sont les sujets de Rome issus des peuples conquis ils répondent au Jus gentium, cad le droit des gens. Ce dernier est un d commun à tous les peuples constitués de principes proches du droit naturel qui s’accommodent des systèmes juridiques d’origine du peuple conquis. En 212, l’évolution devient majeure avec l’Edit de Caracalla. Cet empereur accorde la citoyenneté à tous les pérégrins. Le Jus civile s’impose dans tout l’Empire entier

vie civilisée existe déjà avant l’arrivée de la cité, mais pour occident non) Statuts des cités => a/ cités pérégrines = étrangères, elles conservent leur propre droit.au départ c’est le cas de la majorité des provinces. Elles sont stipendiaires elles payent un tribut à Rome, mais elles sont libres (théoriquement autonomes)/ b. Les municipes= elle succède à une cité pérégrine, instauration du droit romain ou latin, certains sont citoyens romains à part entière. c. les colonies = fondation

territorialité des lois qui suppose, qui implique l’application des mêmes droits à tous les résidents d’un même territoire. A) La tradition romaine de la personnalité des lois : 1. Les pérégrins Les conquêtes romaines n’ont pas fait disparaitre les droits locaux des pays conquis. Les pérégrins, les étrangers conservaient leur propre droit. Etranger à la citoyenneté romaine, ils ne bénéficiaient pas du droit civil romain. Au contraire le citoyen romain peut réclamer partout dans l’Empire

se sont assimilés aux lois. * L’assemblée des citoyens Les romains sont citoyens par la naissance. Un esclave affranchi devient automatiquement citoyen romain. Politique d’extension progressif de la qualité de citoyen. Les étrangers, les pérégrins, sont devenus progressivement des citoyens. On a connu une étape intermédiaire où on permettait aux citoyens des autres cités d’Italie d’obtenir la qualité de citoyen mais réduit, sauf s’ils viennent s’installer à Rome, là ils auront des droits politiques

magistrats, les gouvernants, en dessous, on va trouver ceux qui participent au pouvoir politique, qui pourront être les aristocrates, soit les citoyens. Sous le citoyen, l'homme qui n'a pas de qualités particulières, on range dedans les femmes, les peregrins(les étrangers), les enfants, les esclaves. Plus on est en haut de l'échelle, et plus on a des devoirs : celui de payer l'impôt, mais aussi en cas de guerre, de défendre la cité : obligation financière et obligation militaire. 2) Le droit naturel

la rue gentil avocat:gentil, bien élevé, bien éduqué. L'escrime:l'art de tuer lieux ordonnés:lieu où on se combatte évidence:preuve arboriser:tracer les arbres et végéter drogueur:pharmacien axunges pérégrines:axunge, un genre de crème. pérégrine, exotique adultérer:transformer « bataleurs, tréjectaires, thériacleurs »:charlatan geste:action ruse:intelligence mis au service du mal jaseur:parleur. jaser, parler du mal de qqn. viande:nourriture déssicative:se détruire exténuante:extrêmement

de soufre, qui ensuite mis dans l’eau donne de l acide sulfurique. Cependant ce processus étant trop couteux il n’a pas pu être réalisé à grande échelle. Aujourd’hui tout le monde utilise le procédé de contact de l’acide sulfurique inventé par Peregrine Phillips pour en produire. L’acide sulfurique portait aussi le nom de vitriol ou huile de vitriol. En français, à la fin du XI° s. "vedriol" apparaît, pour désigner le sulfate de fer. Le mot vitriolum désigne au Moyen Âge et à la Renaissance diverses

raisons qui nous y poussent semblent multiples : désir d’aventures, conquête d’une nouvelle terre, observations ethnographiques, tourisme, migrations climatiques... Pour autant, ces causes multiples ne correspondent-elles pas toutes à des façons de pérégriner, à des buts assez similaires ? Le monde, l’espace même, ne sont-ils pas des « invitations au voyage » ? Nous nous demanderons ainsi quelles sont les raisons pour lesquelles nous entreprenons un voyage. Si voyager peut correspondre à un goût pour