Pessimisme Ionesco

« Il arrive un jour… et il arrive de bonne heure pour beaucoup, où c’est fini de rire, comme on dit, parce que derrière tout ce qu’on regarde c’est la mort qu’on aperçoit. » Maupassant, Bel-Ami Guy de Maupassant, auteur réaliste et fantastique du XIXe nous propose une réflexion d’ordre philosophique sur la conscience de la mort dans la vie des hommes. Cet énoncé nous révèle qu’il arrive un moment dans la vie de chaque homme où celui-ci se rend compte de sa condition de mortel. De plus, cette vision

dans la version définitive. Le plan imaginé par l’auteur changea très vite d’aspect, l’histoire fut considérablement réduite et il se concentra sur un personnage essentiel. Son appréhension quant à son talent de romancier se traduit par un profond pessimisme et un découragement dissimulé. Ce roman est le premier œuvre de Maupassant. L’histoire se passe entre 1819 et 1848. C’est l’histoire d’une jeune fille appelée Jeanne issue d’une famille aristocrate. Au début du récit, elle a 17ans et semble

respectives, deux jeunes filles habitant au Québec avec des situations familiales difficiles, ont la même vision de l’enfance. Cette vision est représentée par la façon dont est effectué le passage de l’enfance à l’âge adulte, l’expression de leur pessimisme face à la vie et l’envie de vivre une vie différente. L’extrait du roman « Je voudrais qu’on m’efface » d’Anaïs Barbeau-Lavalette montre aux lecteurs le genre d’existence que mène Mélissa, le personnage principal de l’histoire. Au tout début de

Que ce soit au Moyen-âge ou de nos jours, les auteurs se sont inspirés de faits divers pour écrire leurs œuvres, quelque soit le but même de leurs récits. Mais est-ce qu’un roman ou une pièce de théâtre doit ouvrir les yeux du lecteur sur la vie ou bien au contraire permettre d’échapper à la réalité ? Guy de Maupassant, dans Une vie a choisi de plutôt se concentrer sur la réflexion du lecteur en concluant son roman par : « La vie voyez-vous, ça n’est jamais si bon ou si mauvais qu’on croit. » C’est

métamorphoses le drame métaphysique de Macbeth » [2]. Ce monde à la composition graphique prononcée, peuplé de soldats mutiques qui arborent de lourds casques d’aciers et brandissent de démentes lances-croix longilignes, symbolise l’architecture du pessimisme shakespearien dont Welles a imbibé son œuvre : « Shakespeare était terriblement pessimiste, explique-t-il. Mais comme beaucoup de pessimistes, c’était aussi un idéaliste. Seuls les optimistes sont incapables de comprendre ce que signifie aimer un

de Maupassant (1850-1893) Guy de Maupassant, né le 5 août 1850 à Tourville-sur-Arques et mort le 6 juillet 1893 à Paris, est un écrivain français lié à Gustave Flaubert et à Emile Zola. Il marqua la littérature française par le réalisme et le pessimisme de ses romans, dont Une Vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1888, mais aussi par ses nouvelles (on en compte plus de 300) tels que Boule de Suif en 1880, Les Contes de la bécasse en 1883 ou Le Horla en 1887. Issu d’une ancienne famille

A. Critique de l'âge d'or Dans ce texte, voltaire n’as d’autre but que de déconstruire le mythe de l’Age d’or. Le mythe est mis en valeur pour mieux le critiquer. On remarque que voltaire fait des référence à l’age d’or a des moments stratégique de son teste : au début vers1 a 4 et à la fin vers 30 à 34 On constate que l’auteur mêle des allusions mythologiques (nombreux noms de divinité mythologique vers 2 et3) et des allusions bibliques avec le jardin d’Eden. A des allusions bibliques pour mettre

rien que cela, le plus grand chagrin possible pour devenir soi-même avant de mourir. » (p. 253). Une fois de plus le héro est dans une situation de désespoir et d’agonie, cela même aux côtés de Molly qui l’aime. Dans chaque passage du livre, le pessimisme de Céline est présent, l’agonie ne nous quitte donc pas et fini par faire succomber, tôt ou tard, tous ceux qui lui ont résisté. Pour conclure, nous pouvons déclarer, à juste titre, que l’agonie est le sentiment le plus important tout au long

lecture de la Bible et, notamment, du Déluge, une allusion à sa situation. La construction du bateau se fait empiriquement avec des moyens de fortune. Bientôt, sous une pluie diluvienne qui s’abat sur l’îlot, il passe successivement de la gaieté au pessimisme et au désespoir, invoquant même un signe de Dieu. C’est alors qu’un arc-en-ciel se dessine, qui marque la fin du déluge. Il retrouve Tenn, le chien du Commandant, qui semble redevenu sauvage. Il se demande soudain depuis combien de jours il est

accomplis que lui et qu’ils sont capables de le protéger en toute sûreté. « J’insiste sur la différence : rouler un génie ou un géant, ce n’est pas la même chose que rouler un adulte » p.47 b) Conte de fées contre mythe Optimisme contre pessimisme Cf. Eliade : depuis l’époque –si difficile à déterminer- ou les contes de fées ont pris forme en tant que tels, les hommes, bien qu’ils soient primitifs ou civilisés, les ont ecoutés avec un paisir qui permettrait une repetition infinie. Cela