Peut On Fonder La Morale Sur La Recherche Du Bonheur

c'est-à-dire qu'il constitue l'idée que la contribution à l'utilité générale conditionne la valeur morale. Autrement dit ce sont les conséquences d'une action qui vont faire que cette action est morale ou pas. La doctrine utilitariste fonctionne sur le principe de bonheur maximum en accomplissant des actions utiles. Ainsi, la valeur morale d'une action est déterminée selon sa contribution à l'utilité commune, au bonheur général. Avec le traité philosophique de « l'utilitarisme »,Stuart Mill reprend la doctrine

face à la démocratie qui a mis à mort son maître, il va jusqu'à affirmer que : « à la fin, je compris que, en ce qui concerne toutes les cités qui existent à l'heure actuelle, absolument toutes ont un mauvais régime politique ». Cette conviction de fond constitue l'horizon à la fois politique et métaphysique de toute lecture de la République, qui se propose d'élaborer un modèle idéal de société. Dans cette œuvre, Platon met en scène Socrate dans un dialogue, qui l'oppose successivement à des personnages

objective. La vérité semble faire partie intégrante des valeurs chère à l’homme, en effet le cheminement vers la vérité anime les plus grands esprits de ce monde depuis des lustres, elle est vu comme un idéal à atteindre et se pose comme une norme morale qui s’oppose à la fausseté et nous détourne du mensonge. Dans La Bible elle fait partie d’un des dix commandements que dieux donna aux croyant, en effet le huitième commandement dit : « Tu ne témoigneras pas faussement contre

en quoi consiste le bonheur, ni sur les moyens les plus sur pour y accéder, tout homme semble animé par le désir d’être heureux et la crainte d’être malheureux. Et en ce sens, on pourrait faire du bonheur notre finalité ultime de toute existence, donc un bien intrinsèque (= rechercher en soi et non pour une autre fin, un souverain bien) (un moyen a une valeur relative pour une finalité extrinsèque). Tous les désirs particuliers renvoi à cet état de contentement car le bonheur est la satisfaction

les intellectuels entretiennent avec la notion de bonheur. Qu'est-ce que le bonheur ? Il est frappant de constater à quel point il est difficile à définir pour les philosophes qui aiment les classifications nettes et tranchées. Lisons Kant dans les Fondements de la métaphysique des mœurs : « ...par malheur, le concept de bonheur est un concept si indéterminé, que, malgré le désir qu'a tout homme d'arriver à être heureux, personne ne peut jamais dire en termes précis et cohérents

vie ? On n’a pas forcément besoins d’yeux et de mains pour réussir sa vie. 2) L’euthanasie des enfants handicapés devenue légale. C’est un racisme sans nom. Qui peut décider que l’état de quelqu’un ne le rendra jamais heureux ? 3) Qu’est-ce que c’est le destin ? Pour moi, notre chemin est déjà +/- tracé mais on peut le modifier un peu. On fait nos propres choix mais ce entre quoi on doit choisir est déjà décidé. 2 sortes : L’existentialisme : ce que je vis détermine ce que je suis

L’expérience morale n’est pas la seule à nous mettre en relation avec autrui. Si l’on demande de réfléchir à nos rapports avec « les autres », nous penserons plus facilement à ceux auxquels nous lient des rapports d’amour et d’amitié, qu’à la figure d’un « autre » non identifié. De fait la vie affective déploie toute une palette, très différenciée, de rapports à autrui. L’amitié nous donne par exemple l’expérience d’une relation à la fois symétrique (les amis se considèrent comme parfaitement égaux)

Appréciations : On pense souvent que le désir, cette aspiration de notre être à combler le sentiment d’un manque, d’une frustration, est une envie, une volonté qui nous mène vers le bonheur. En recherchant sans cesse plus de plaisirs, nous nous entraînons dans une course effrénée vers l’agréable, vers ce bonheur parfait et total dont nos désirs nous rapprochent toujours un peu plus. Ce sentiment est partagé par tous les hommes et il est le moteur principal d’une société active. En effet, le désir

réflexion philosophique doit-elle et peut-elle être utile ? Le réflexion philosophique paraît frappée d’une ambiguïté : comme recherche théorique sur les principes fondamentaux de la pensée et de l’action, elle semble se détourner des sciences et des arts utilisables pour résoudre les problèmes techniques de la vie pratique (agencement des moyens en vue de réaliser des fins déterminées dans un contexte particulier), mais elle se présente aussi comme une recherche du souverain bien, de la sagesse pour

Extériorité du bonheur ► le bonheur comporte une part de passivité, de démarche propre à soi et de d'accueil des événements ► bonne-heur ► il y a cette idée de la chance dans le mot bonheur. La part qui ne dépend pas de moi. Le sage est celui qui ne trouve son bonheur qu'en lui même ► l'homme qui se sauve lui même. Tension entre la philosophie et la religion ► la philo peut elle apporter le bonheur de l'homme ? Bonheur par le retour sur soi. Travail du stoïcisme ► convertir le bonheur pour qu'il