Peut On Vivre Sans Morale

La progression de la science nous permet de mieux réfléchir sur la justification des principes moraux. Présentement nous avons une meilleure connaissance des animaux. Cette connaissance nous amène à avoir une réflexion sur l’éthique animale. Un débat sur la discrimination des hommes concernant l’espèce. Cette attitude qu’on appelle le spécisme est inacceptable selon les étudiants Regan, Fracione et Singer. Malgré qu’ils soient tous les trois antispécismes, nous pouvons remarquer une différence dans

rédaction, on écrit à la première personne, ils tiennent à l’authenticité. La réponse débute par une thèse. * Exemple : Le droit d’expression et de réunion sont-ils des droits qui mettent en péril l’État ou l’ordre social? * Réponse : non...mais peut-être un peu. Position nuancée si possible (on ajoute un contre-argument). * Exemple : Il me semble que les sociétés possèdent déjà un certain ordre qui permet de régir les sociétés, et que la liberté d’expression est fondamentale. Nous avons des

nouveauté du monde actuel Les développements scientifiques et techniques ont, pour leur part, une place importante dans l’univers mental des hommes et femmes du vingt et unième siècle. Certains sont tentés de penser à un changement des valeurs morales et spirituelles entraîné par le progrès des connaissances scientifiques et des capacités techniques. Les nouvelles techniques entraînent effectivement des changements de vie et des évolutions de plus en plus rapides. Mais les évènements auxquels les

définition de la liberté comme absence de toute loi pose problème dans la mesure où il est impossible de vivre sans limite et de ne pas se plier aux lois mêmes de la nature. Il semblerait donc que la relation entre liberté et loi ne soit pas simplement un rapport d’exclusion réciproque. Il faut distinguer l’obligation par contrainte et l’obligation morale qui est la liberté du devoir. On peut alors se demander si la loi est une contrainte ? Est-il déraisonnable de désobéir aux lois ? Comment concilier

Le bonheur, en philosophie, peut se définir comme l’état de complète satisfaction. Dans la philosophie antique (Epicure a écrit le premier traité du bonheur : La lettre à Ménécée), le but de la vie humaine est le bonheur, fin parfaite et Souverain Bien (summum bonnum). La modernité (Schopenhauer, Camus, Sartre, Kant) est beaucoup plus pessimiste sur sa possibilité. Entre les deux, les morales chrétiennes ont tenté de remplacer le bonheur par la vertu comme but de l’existence. Le bonheur ne se

un devoir de culture générale doit être la démonstration de votre capacité à argumenter de façon critique c’est-à-dire en envisageant toutes les facettes de la problématique que vous avez choisie de traiter. I / Définition des termes du sujet  Vivre : être vivant, en vie Vie : ensemble des phénomènes (nutrition, assimilation, croissance, reproduction) communs aux êtres organisés et qui constituent leur mode d’activité propre. Le choix de ce verbe et sa conjugaison au présent dans le sujet marquent

suivi ? Ils sont là, sur cette terre qui n’a plus vraiment de sens, la vie n’a, elle non plus, plus vraiment de sens. Les hommes bons sont voués à disparaitre et les méchants à survivre. Dans ce cas là, pourquoi vouloir à tout prix rester en vie ? On peut se poser une question, qui, dans de nombreux cas, prend tout son sens : « Doit-on se battre pour rester en vie en toutes circonstances ? » Une chose est sûre, il n’est pas difficile de choisir de mettre fin à ses jours. Le petit est encore trop petit

de vie que j’améliore dans une dynamique infinie à l’instar de Robinson, alors je décide réellement de mon existence et donne du sens à ma vie que j’assume et accomplis parfaitement. Si par contre, quelque chose comme la mère Nature (notons que l’on peut considérer que Robinson fut frappé par cette mère Nature) ou bien quelqu'un comme Dieu décide pour moi de ma destinée, alors je suis misérablement réduit à l’état de pion telle une pierre spinoziste ou bien pour reprendre la métaphore des stoïciens

Peut-on penser une société sans religion ? La religion est un fait présent depuis la naissance de l’homme, certains archéologues auraient même découvert des rites religieux dès l’époque de l’Homme de Neandertal. Il apparaît facile de concevoir une société sans religion dans la mesure où l’homme à aujourd’hui atteint une connaissance scientifique considérable. Ainsi au XXIe siècle les pratiques religieuses sont de moins en moins influentes. Mais il reste difficile d’imaginer une société sans religion

le fait d'échanger un bien ou un service en échange d'une autre chose . Le commerce est une forme d'échange économique basée sur la différence car il convient d'échanger des biens différents un échange de produits identiques n'apportent rien et ne peut servir les interets d'une des parties . L'échange n'est constructif que si l'on échange des choses que l'ont a contre des choses que l'on n'a pas . L'échange permet de se dévelloper et ainsi d'accéder a certains biens que l'on n'avait pas . L'échange