Phalanstère

insuffisantes, pour comprendre et guider l’homme, pour fonder la société. Dostoïevski pense que la conscience et la justice humaine sont impuissantes face au Mal. La société future de l’athée ne peut être plus heureuse que la société présente (Le phalanstère de Fourier comme poulailler).Donc, la foi en Dieu, en une autre justice, est la condition de la croyance en un monde meilleur. Mais sur la question de la foi non plus, Dostoïevski ne tranche pas, car si Dieu est bon et tout puissant, comment expliquer

[...], tous les juges, et, les dix mille propriétaires les plus riches, [...], il n'en résulterait [à l'inverse] aucun mal politique pour l'Etat » - Claude Henri de ROUVROY , Comte de SAINT-SIMON 0 - Introduction 1 - Charles FOURIER A - Le phalanstère B - Les quatre pommes C - L'antipathie à l'égard de l'Angleterre D - Un autodidacte entouré de disciples E - Les tentatives de réalisations concrètes 2 - SAINT-SIMON et les Saint-simoniens A - SAINT-SIMON B - Les idées des Saint-simoniens 1) Exploiteurs

pré-urbanistique car le progressisme va s’illustrer durant cette période essentiellement à travers des utopies. En effet, en réponse à la société industrielle, certains philosophes comme Charles Fourrier vont imaginer de nouvelles communautés utopiques. Son phalanstère a pour but de regrouper toutes les fonctions de services, de loisirs, de travail réuni dans un seul grand bâtiment organisé autour d’exploitations agricoles. Cette communauté veut repenser le fonctionnement politique, économique et social ainsi

………………………………………………………………………………………………………………………………… l’aptitude à ne pas céder à l’individualisme, à un repli sur un groupe ou une communauté ou pire, à la guerre de tous contre tous. Cette idée de la nécessité d’un brassage n’est pas neuve. Ainsi, Fourier prônait dans son phalanstère la présence de différentes catégories sociales soigneusement répertoriées. F. Miron déclarait il y a quelques siècles : “il n’est pas bon que dans la cité, tous les gros et dodus soient au même endroit”... La L.O.V., poursuivant dans cette rhétorique

associationiste(Fourier) Fourier pense que milieu capitaliste est contaminé par la concurrence et le désir de faire des bénéfices. Il faut donc des associations de 1620 personnes dont 810 hommes et 810 femmes appelées des phalanstères, pour décontaminer le milieu. Ces phalanstères ne verront pas le jour. Le courant anarchique(Proudhon) *Proudhon (1809-1865) affirme que la propriété privée est un et le premier qui dit ceci s’appartient est un voleur. Il ne condamne pas la propriété privée elle-même

Allemagne, a fait du droit, né le 5 mai 1818. Le marxisme est une réaction contre l’école libérale. Charles Fourier (1772-1837) s’inspire de J. J. Rousseau. C’est un modèle vers lequel il faut tendre. Autosubsistance, tout le monde à l’intérieur du phalanstère peut se nourrir, ce qui compte c’est l’apport collectif. P. J. Proudhon, on le retrouve en droit privé car il condamne la propriété privée, car ce n’est pas un droit naturel de l’homme, que l’on peut choisir. Il dit que la propriété est une chance

que ces sociétés sont moins contraignantes que les notre, au contraire notre liberté est contrôlée par l'ensemble de la société. Il existe des groupes qui eux-mêmes ont créé des tentatives de s'organiser contre l’État. Au 19è siècle en GB, les phalanstères qui sont des groupements ou encore les Kibboutz : absence d'autorité supérieure, et partage intégral, on s'auto régule. Aux EU ont a les libertoriens, ce sont des individus qui rejettent catégoriquement l’État et qui sont pour la liberté totale

la Sécurité sociale). Il propose un travail selon une « association industrielle », dans laquelle chacun est libre de s’orienter selon ses aptitudes, ses goûts. Le travail doit devenir un plaisir, être attrayant. Il a imaginé le monde idéal du « phalanstère », qui serait une communauté de travail et de vie, formée spontanément par des individus constituant la phalange. Ex : le familistère de Guise (créé par Godin). * Robert Owen, qui est auteur du « nouveau monde moral » (en 1847). Owen est le

y avoir d’émancipation des hommes qu’avec l’accès à la culture, au beau, et donc à la possibilité, non seulement de voir et d’être entourés d’objets d’art, mais de pouvoir effectivement faire de leurs vies une œuvre d’art. Et rappelons que les phalanstères et autres micro-utopies socialistes du 19e reposaient sur un tel principe politique. Ainsi cette poignée de travailleurs, en France à la fin du Second Empire, qui s’appelaient entre eux « les Sublimes » (allusion au refrain d’une chanson qui parlait

théorie aux humains. Il essaye d’utiliser la science pour penser l’organisation d’une société. Et quand il écrit ça, il utilise l’expression de “science sociale”, il caractérise sa démarche de science sociale. Il est aussi connu pour l’invention des phalanstère, petits villages qui réunissent plusieurs dizaines centaines d’individus dont la vie est scientifiquement organisée selon les principes de Fourier. L’idée est vraiment de réorganiser la société et de proposer une société idéale en se basant sur