Phèdre Et Antigone Points Communs

récit du messager au coryphée, avant l’arrivée sur scène d’Œdipe aux yeux crevés) + Ingres : Œdipe expliquant l’énigme du sphinx Cocteau La machine infernale LP p.34-40 + tableau de Francis Bacon : Oedipe Anouilh Antigone + tableau de Hillemacher : Œdipe et Antigone s’exilant de Thèbes (voir son étude sur http://jfbradu.free.fr/GRECEANTIQUE/themes/mythologie/livret/oedipe.htm ) Approches théoriques complémentaires en cours magistraux : 1. J’ai présenté la synthèse des deux sites

des reproches à Louis mais en même temps libèrent leurs mal-être les plus profonds. Cela embrasse l’aspect difficile de l’existence en ne montrant aucun signe de salut. On peut d’ailleurs trouver des affinités avec les personnages de cette pièce et Antigone le personnage principal de la dernière pièce de la tétralogie d’Œdipe et la famille royale de Thèbes écrite par Sophocle. Issue de l’union d’Œdipe et Jocaste considérée comme maudite car incestueuse, l’existence d’Antigone est synonyme de martyre

des Classiques Bordas.  Réflexions sur le mythe d’Antigone (Ac Versailles) http://www.lettres.ac-versailles.fr/article.php3?id_article=639 Un document de Philippe TOUCHET, professeur de philosophie au lycée Jean-Jacques Rousseau, Sarcelles.  Antigone, Anouilh http://www.chez.com/bacfrancais/antigone.htm Le plan détaillé de la lecture analytique du prologue.  Bérénice, Racine http://www.universdeslettres.com/ens_liste_pdf.php?oeu_id=17 Dossier pédagogique à consulter en ligne ou à télécharger

CORRIGE TYPE Matière : Devoir n° : FR10 03 Epreuve de recette du : 29/07/14 statut: 81 7FR10CTPA0314 Objet d’étude : Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours Question (4 points) Que peut-on dire dans ces trois extraits de la relation entre maîtres et valets ? Vous répondrez à cette question en étant attentif à l’évolution de cette relation dans la comédie, de l’Antiquité au XXe siècle. Conseils de méthode pour la question - Lisez attentivement la question (en relevant

Médée (1634), Horace (1640). · Jean Racine (1639-1699) : Andromaque (1667), Bérénice (1670), Phèdre (1677). C’est avec lui que la tragédie culmine. Il insiste sur la prédestination du destin humain, conduisant irrémédiablement à la mort. A cela s’ajoute une conception particulière

lecteur (ou le spectateur, si on a affaire à une pièce de théâtre, un film, etc.) des 'sentiments nobles' : pitié, admiration. Beaucoup de tragédiens désirent que le lecteur trouve un enseignement dans son œuvre. Exemples : Phèdre de Racine, Tite et Bérénice de Corneille, Antigone de Sophocle… Le spectateur peut ainsi atteindre la catharsis (purge des passions), l'élève plutôt la catalepsie. Le registre polémique implique le lecteur dans un débat d'idées. L'auteur s'efforce de rallier le lecteur à

jouent en effet celles de RACINE, auxquelles on va aussi pour pleurer cependant cela reste un divertissement mais de type différent. C’est d’ailleurs une règle depuis ARISTOTE, que la tragédie doive « susciter le plaisir ». RACINE est très populaire, Phèdre (pour l’amour impossible) et Britannicus sont parmi les pièces les plus appréciées du public. Ce qui plaît et divertit chez RACINE, c’est précisément le fait d’assister à un spectacle effrayant voire pathétique, parce que d’après ARISTOTE : « Nous

portent désormais le nom du personnage principal, et ne désigne plus le chœur (exception faite des Trachiniennes). Ceci correspond à l'importance que représente le héros chez Sophocle. Souvent solitaire, le héros est abandonné voire rejeté, comme Antigone Cadre institutionnel Les gouverneurs de la cité organisaient annuellement un concours entre trois dramaturges, chacun présentant trois tragédies et un drame satyrique. Déroulement Des personnages de rang noble sont impuissants face aux forces

nombre varie de trois à cinq[37]. Le schéma d’Aristote est en réalité une simplification : la plupart des tragédies s'en écartent, notamment pour ménager des passages de dialogue entre acteurs et choristes : le κομμός / kommos[38], « lamentation commune au chœur et aux acteurs en scène » selon les mots d'Aristote[35], peut alors se substituer au stasimon ou enrichir un épisode. Par ailleurs la longueur des différentes parties d'une tragédie varie, y compris entre épisodes d'une même pièce[39]. Ces

prononce des propos, en présence d’autres personnages, que seul le public entend, ce qui provoque un effet comique. Le monologue : une longue tirade dite par un personnage qui s’adresse à lui-même, seul sur scène. Il permet au personnage de faire le point sur sa situation, sur la difficulté qu’il éprouve pour communiquer ou pour exprimer des hésitations quant à une décision qu’il doit prendre. Le quiproquo : incompréhension, malentendu qui survient dans un échange de paroles. Chaque personnage interprète