Pietà

de la violence et de la brutalité, ou la résistance. L'oiseau: A peine visible, entre le cheval et le taureau il pourrait être une colombe, symbole d'espoir et de paix. La mère et l'enfant :Cette femme tient son enfant dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge, pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont la forme des larmes. Le visage est à la de face et de profil. L'enfant dans les bras de sa mère a les yeux vides et

nationalistes aidés des nazis, l’œuvre dégage une sensation d’horreur. Picasso, par la déformation des personnages, vise une expression accrue. Picasso a mis en évidence des références artistiques telles que la femme portant son enfant ressemble à la pietà de Miguel Ange ou la femme avec les bras levés qui fait clairement référence au tableau de Goya « El tres de mayo ». Mes opinions : J’ai choisis cette œuvre car j’ai eu la chance de le voir à l’occasion du voyage à Madrid mais aussi car j’apprécie

cruauté, d’autres le symbole de la résistance. L'oiseau A peine visible, entre le cheval et le taureau, il pourrait être une colombe, symbole d'espoir et de paix. La mère et l'enfant Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ.La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est

que sont les républicains, victime de ce drame, il exprime un sentiment de terreur, de douleur et de désespoir. Œuvre proches ou similaires ayant servis de base, de référence : Dans Guernica Picasso fait référence à des œuvres du passé : Piéta, Michel-Ange, sculpture en marbre, 1497. Francisco Goya, El Tres de Mayo, peint en 1814 Et puis ? Ressenti (interprétation de l’œuvre) : Picasso n'a pas forcément voulu réaliser une peinture esthétique puisqu'il peint les horreurs de

s’exerce ainsi, dès ses plus jeunes années, au coeur même du musée des antiques réunis par les Médicis, à l’art de la sculpture. Ses premières oeuvres florentines, mais aussi romaines, sont donc des sculptures : la Bataille des Centaures (1490) et la Pietà (1496-1497). On retiendra également le monumental David dont une copie continue à dominer la piazza della Signoria à Florence, ainsi que les tombeaux des ducs de Médicis ; un groupe de personnages symboliques -l’Action et la Contemplation rônant au-dessus

d’autres le symbole de la résistance. L'oiseau: A peine visible, entre le cheval et le taureau, il pourrait être une colombe, symbole d'espoir et de paix. La mère et l'enfant: Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé

l’horreur et le désespoir liés à la guerre. La composition, chaotique, donne à voir des personnages morts ou en pleine détresse. La charge émotionnelle de l’œuvre est renforcée par différentes références symboliques : La pietà (motif de la Vierge Marie pleurant son fils Jésus mort). La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont une forme de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de

cruauté, d’autres le symbole de la résistance. L'oiseau A peine visible, entre le cheval et le taureau, il pourrait être une colombe, symbole d'espoir et de paix. La mère et l'enfant Cette femme tient son enfant mort dans ses bras, évoquant une pietà, figure de la Vierge pleurant la mort du Christ. La douleur et les hurlements de la mère sont visibles, les yeux et les narines ont des formes de larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé

passion pour la corrida. La douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles au premier abord, alors que le reste du tableau peut sembler de perception plus difficile. L'enfant mort dans les bras de sa mère peut faire penser à l'image d'une piéta : la vierge pleurant le Christ mort. L'homme, sur la gauche ayant les bras levés au ciel, en croix, Picasso fait assurément ici une référence au Tres de Mayo de Goya. Il se trouve dans la posture de l'insurgé face au peloton d'exécution. Les yeux

qui tient son enfant mort dans ses bras. Son visage exprime la douleur et une tristesse profonde. On peut aussi voir qu’elle hurle, sans doute de désespoir. Cette image de femme qui tient son enfant mort nous fait penser à une image biblique : La Piéta, figure récurrente de l’art en général. A droite, on voit une femme qui, en criant dans un édifice en flammes, lève les bras au ciel : on a certainement ici une référence au Tres de Mayo de Goya. En bas, légèrement à gauche, on trouve un soldat agonisant