Platon Critique De La Démocratie

SOCIETE PLAN introduction problématique 1. La démocratie Athénienne A. Les principales réformes: B. Des citoyens égaux: C. Le pouvoir du peuple: 2. La citoyenneté Athénienne A. Etre citoyen B. Devoir d’un citoyen C. Les exclus 3. Les limites de la démocratie athénienne A. Une démocratie qui ne profite qu'à une minorité de citoyens B. Une démocratie critiquée C. Un régime fragile Introduction La cité n'est pas définie comme une

Citoyenneté et démocratie à Athènes (Ve - IVe siècle avant J.-C.) C'est à la fin du vie siècle avant J.-C. que la cité d'Athènes devient une démocratie, une nouvelle forme de régime politique. Les citoyens athéniens (en grec le « démos » signifie le peuple, le corps des citoyens) ont le pouvoir (« cratos ») et sont au cœur des institutions et de l'administration de ce petit État. Pourtant, le fonctionnement de cette démocratie fait l'objet de beaucoup de débats au sein de la cité et il faut attendre

Citoyenneté et démocratie à Athènes (ve - ive siècle avant J.-C.) C'est à la fin du vie siècle avant J.-C. que la cité d'Athènes devient une démocratie, une nouvelle forme de régime politique. Les citoyens athéniens (en grec le « démos » signifie le peuple, le corps des citoyens) ont le pouvoir (« cratos ») et sont au cœur des institutions et de l'administration de ce petit État. Pourtant, le fonctionnement de cette démocratie fait l'objet de beaucoup de débats au sein de la cité et il faut attendre

s’impose naturellement l’obéissance au roi car désobéir au roi c’est troublé l’ordre. La pensée politique rationnelle a encore du mal à émerger dans ce genre de sociétés. La réflexion n’est intéressante dès lors qu’elle se nourrit d’une certaine critique. C’est l’émergence de la cité en Grèce qui va faire émerger la politique. III- La cité grecque Elle présente trois traits nouveaux par rapport au Proche Orient ancien. Il y a d’abord l’apparition d’un espace public destiné aux débats, l’Agora

LE DOSSIER 72 Philosophie et politique en Afrique Pierre Nzinzi La démocratie en Afrique : l’ascendant platonicien Cet article soutient l’idée que la démocratie en Afrique se développe sous le signe d’un « néoplatonisme » politique qui se caractérise par le primat de la forme sur le contenu et dénie la souveraineté du peuple. L’obstacle démocratique aurait ainsi un fondement culturel, mais qui ne serait pas spécifiquement africain. Il appartiendrait au contraire au vieux fonds platonicien

I. Être citoyen à Athènes aux ve et ive siècle avant J.-C. 1. Le citoyen et la démocratie de la fin du vie siècle et au début du ve siècle av. J.-C. • La citoyenneté est liée à la cité d'Athènes. Une cité dans l'Antiquité est un État correspondant à une ville (Athènes) et au territoire qui l'entoure (l'Attique). Mais la cité est aussi une communauté d'hommes libres : les citoyens. • À l'origine, Athènes est un régime aristocratique : une forme de gouvernement où le pouvoir est détenu par les

entre les citoyens : la démocratie. Dans les faits, elle s'avère être imparfaite, et sujet de débat, constat illustré par les documents qui nous sont ici montré ( ou porté à notre connaissance ). Le premier de ces documents est un extrait des supllientes, pièce écrite par Euripide en 422avant J-C. Le dialogue entre Thésée et le héros thébain est le prétexte pour que chacun des deux protagonistes présentent et défendent le gouvernement en place dans sa cité : la démocratie pour le 1er et la tyrannie

puissantes cités-états de la grèce classique. C'est aussi l'exemple le mieux connu de démocratie dans l'antiquité. Comme dans toutes les cités-états, la citoyenneté est un ensemble de droits et de devoirsréservés à une partie de la population. La démocratie fait des citoyens un peuple souverain (démos) ; c'est la son originalité. I. Être citoyen à Athènes aux ve et ive siècle avant J.-C. 1. Le citoyen et la démocratie de la fin du vie siècle et au début du ve siècle av. J.-C. • La citoyenneté

On peut préférer son opinion à la vérité, car chercher la vérité demande d'abandonner sa tranquillité (Socrate dans l'Apologie de Socrate de Platon) II – On doit préférer la vérité à son opinion, car la connaissance de la vérité est nécessaire au bonheur et à la vertu (Socrate dans l'Apologie de Socrate et le Ménon de Platon) A) Les dangers de l'opinion B) La nécessité de connaître la vérité pour mener une vie bonne III – Peut-on justifier de préférer l'opinion à la recherche

est appelé la « philosophie de l'Histoire ». Certaines philosophies de l'histoire permettent d'expliquer certains moments particuliers de l'histoire de l'humanité. Il y a quatre philosophies de l'histoire. • Première philosophie de l'histoire PLATON (IV av. JC) Âge d'or Retour à l'âge d'or (infiniment sages, toutes les connaissances)