Platon Critique De La Démocratie

des cités, des Etats, des unions (symmachie), fonde l’existence de concepts politiques divers, dont nous avons directement hérité, depuis la démocratie, la monarchie, l’aristocratie, l’oligarchie jusqu’à la tyrannie. C’est aux environs du Vè siècle que naissent les termes, demos, « le peuple », et kratos « le pouvoir », pour former la démocratie, ou gouvernement du peuple par le peuple. Ce concept s’oppose fondamentalement aux systèmes qui reposent sur l’autorité d’un seul (monarchie

est définie par des normes objectives et rationnelles. Dans l’esprit des lois, Montesquieu fait une critique de la traite des noirs parce qu’elle est acceptée. Il est aristocrate et donc ne remet pas en cause les idées communes. Il s’est enrichi par le commerce triangulaire. Il est dans un milieu où cela aurait dû devenir « normal » pourtant il pense autrement, ça le choque. Il a un esprit critique, il n’est pas conformiste, il a son propre jugement. L’abolition de l’esclavage en France ne fut qu’en

sont ainsi pour elles-mêmes les solides garanties réciproques. » Dans une première partie (du début jusqu’à « ... la liberté de la conscience de soi étant pour soi. »), Hegel procède à une appréciation critique de la doctrine de l’Etat de Platon, sachant qu’il ne s’agit pas d’une critique atemporelle située sur le plan de l’entendement, mais de la compréhension des limites de la doctrine platonicienne comme un moment de la constitution de la vérité. Dans une deuxième partie (de « C’est seulement

REGLES DU JEU POLLITIQUE comment ca marche ? PARTIE 2 LES ACTEURS POLITIQUES qui fait de la politique ( les parties politiques ) PARTIES 3 LES FORMES DE PARTICIPATION POLITIQUE quelles sont les pratiques politiques en democratie ? seance 1 : les regimes politiques : la democratie seance 2 : les regimes politiques : autoritarisme et totalitarismes seance 3 : les pouvoirs politique seance 4 : l etat-nation moderne seance 5 : les partis politiques seance 6 : la profession : politique seance 7 :

question de l’égalité et de l’équité au sein de la démocratie représentative et de la démocratie directe : L’égalité politique est le principe selon lequel les individus au sein d’une communauté politique doivent être traités de la même façon. L’Equité est le concept dans lequel chacun est traité selon ce qui lui revient de droit, selon son mérite « justice naturelle » sans qu’elle soit nécessairement inspirée par les lois en vigueur. La démocratie représentative est un régime politique dans lequel

vers la mer (commerce maritime avec esprit d’initiative et l’individualisme face au socialisme de l’Egypte). 3 caractéristiques de la cité : Etendue géographique : la cité est la ville la partie urbaine + terres pr nourrir la ville. pas trop grande (Platon 5040 personnes). Autarcie : garantie d’indpce économique et politique. Autonomie : qui se donne ses propres lois. Condition même de son indpce. B. Les citoyens Participe à la vie politique. Aristote « homme est un animal politique ». La cité préexiste

l’histoire et le dernier homme Pas d’adversaire idéologique sérieux à la démocratie libérale Evolution des sociétés humaines s’achèverait un jour : démocratie Et ceci pour deux raisons, une d’ordre économique et l’autre liée à la lutte pour la reconnaissance. Pessimisme du XXe siècle remet en question le progrès technologique du aux guerres mondiales : « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Doute de la démocratie et des valeurs universelles, communisme peut très bien exister pour toujours

national socialisme. La société close symbolise plus qu’une société utilitariste, elle symbolise un rejet de la civilisation pour revenir à quelque chose de plus archaïque, elle rejette également le progrès comme quelque chose d’hypocrite. Mais critiquer le progrès n’est pas quelque chose de mauvais en soi. Pour lui, la genèse de cette époque était plus prête à une extériorisation de la violence pour grandir. L’ivresse de la violence contribue à occulter une impuissance sur le propre cours de sa

premières philosophies politiques, celles de Platon et d’Aristote. Platon, dans La République, reconduit la politique à la justice, celle-ci désignant tout à la fois l’harmonie de la cité et l’harmonie de l’âme (voir cours sur la justice). C’est le philosophe-roi qui détient le pouvoir, c’est à lui que revient le soin de gouverner la cité car la politique de la république idéale s’identifie à la science parfaite, à la véritable sagesse (sophia). Platon ne s’intéresse guère alors aux cités concrètes

premières philosophies politiques, celles de Platon et d’Aristote. Platon, dans La République, reconduit la politique à la justice, celle-ci désignant tout à la fois l’harmonie de la cité et l’harmonie de l’âme (voir cours sur la justice). C’est le philosophe-roi qui détient le pouvoir, c’est à lui que revient le soin de gouverner la cité car la politique de la république idéale s’identifie à la science parfaite, à la véritable sagesse (sophia). Platon ne s’intéresse guère alors aux cités concrètes