Platon Et La Dichotomie

jeux de société, à Carnières, fin 2007. 3 ardeur : « comment peut-on passer à côté d’une possibilité aussi simple et évidente d’entretenir des échanges incroyables ?» et d’ajouter, en citant Platon : « On peut en savoir plus sur quelqu’un en une heure de jeu qu’en une année de conversation. » (PLATON, cité par MATTHYS, 04/06/10) Alors pourquoi ne joue-t-on pas, ou plus, lorsque l’on est passé de l’autre côté des murs de la cour de récréation ? Le jeu n’en vaut il pas la chandelle ? Cet article

2ème philosophe est Platon, il est nait en 427 av. J-C et est mort en 347 av. J-C. C’est le principal disciple de Socrate. A la cité d’Athènes, il y a un procès de Socrate et le conduit à la mort. Platon s’interroge sur la cité qui a conduit le plus grand sage qu’elle a produit à la mort. Platon va élaborer son idée de la société idéale, une société dans laquelle on ne mettra pas à mort les philosophes. Platon imagine une société parfaite, une utopie. On a souvent dit, que Platon était un ancêtre des

de ce courant, beaucoup ne dissimulent pas leur espoir de trouver, dans cette psychologie et plus largement dans le domaine interdisciplinaire des sciences cognitives, des réponses au moins partielles à bon nombre des questions que se pose, depuis Platon, la philosophie de la connaissance. Ils commettent donc, sciemment, une erreur philosophique capitale, dénoncée une fois pour toutes par Husserl et Frege au début du siècle, le psychologisme. Que la philosophie de la connaissance puisse ou doive s’appuyer

cependant, la présence en particulier d’une « théorie des races » chez le philosophe qui passe pour être le garant de la valeur absolue de la dignité de la personne humaine, réclame quand même un examen plus approfondi. On ne peut se contenter d’une dichotomie rassurante, mettant d’un coté les ouvrages fondamentaux, principalement les trois Critiques, et plaçant de l’autre les écrits populaires, pour mieux les oublier. Cette « théorie des races », avec tout ce que comporte d’immédiatement négatif pour

développement de la science dite classique, contribue par là même à préparer le terrain à sa propre remise en question, et par conséquent, à la naissance de la systémique. 1.1.1. Naissance et développement du paradigme positiviste 1.1.1.1. De Platon et Aristote à Descartes et Newton L'histoire de la philosophie grecque est marquée dès ses origines par une opposition qui n'aura de cesse d'alimenter des siècles durant de multiples débats. À la conception platonicienne du monde basée sur la théorie

sociologique qui permet d’observer les faits sociaux scientifiquement. A) Le courant normatif ou spéculatif. Il doit être lui-même divisé en une tendance rationaliste et une tendance théologique. Les penseurs de la tendance rationaliste tels que Platon posent comme base de la réflexion des principes rationnels mais ils ne tiennent pas compte du contexte existant. C’est donc la raison mais aussi la volonté de construire un modèle idéal qui guident ces philosophes. Même si chez eux, peu de considérations

et de méthodes techniques. La science politique est donc l’étude scientifique de faits politiques. Véritablement, elle émerge qu’à partir du 19ème siècle des sciences sociales. Bien avant cela, elle n’était que philosophiquement appréhendée. Pour Platon, en effet, la philosophie avait pour vocation de définir la cité idéale. Aristote, lui, compare les régimes politiques de son époque pour dégager la forme du meilleur régime. Machiavel développe une approche finaliste de la politique qui n’est, pour

développement de la science dite classique, contribue par là même à préparer le terrain à sa propre remise en question, et par conséquent, à la naissance de la systémique. 1.1.1. Naissance et développement du paradigme positiviste 1.1.1.1. De Platon et Aristote à Descartes et Newton L'histoire de la philosophie grecque est marquée dès ses origines par une opposition qui n'aura de cesse d'alimenter des siècles durant de multiples débats. À la conception platonicienne du monde basée sur la théorie

Langage : logos (=aussi le raisonnement推理論證) aujourd’hui on distingue ces 2 notions(概念), différence à partir de l’épopée latine. Les grecs consideraient leur langue comme réele possible, fruit de la nature, pas un phénomène social. Chez Platon, il y a un questionnement sur la langue dans le texte « le cratyle » (3 personnages qui ont chacun une perception(理解) différente du langage --- Cratyle, Hermogene, Socrate) Position de Cratyle : le cratylisme = chaque son représente directement une

éléments de la tristesse de la condition humaine. L’homme, partie du réel, participant du réel, vivant du réel en est coupé. 1.1.1.5 le refus du réel Le réel n’est pas toujours acceptable notamment lorsqu’il est mortel. L’épisode de la caverne de PLATON montre que les hommes enchaînés préfèrent considérer les ombres chinoises, aux formes simples et douces, à la réalité complexe et nuancée mises en lumière par le philosophe. C’est le refus du réel qui justifie l’usage des représentations 1.1.2