Platon Les Hommes Doivent établir

 Philosophie Cours (06/02/2014) Suite du mythe de la caverne Platon. Nous avons la possibilité de nous liberer des opinions toutes faites afin de nous rapprocher de la source de la vérité. Quand on a un texte philosophique on doit se demander qu'est ce qui est en jeux, qu'est-ce qui s'y joue. La mise de ce mythe est l'éducation de soi et des autres. Il y a un devoir de solidarité envers ceux avec qui on partagé nos conditions socio-culturelles pour participer au processus d'éducation

meilleur État, c’est celui où les hommes passent leur vie dans la concorde et où leurs droits ne reçoivent aucune atteinte. Aussi bien c’est un point certain que les séditions, les guerres, le mépris ou la violation des lois doivent être imputés moins à la méchanceté des sujets qu’à la mauvaise organisation du gouvernement. Les hommes ne naissent pas propres ou impropres à la condition sociale, ils le deviennent. Remarquez d’ailleurs que les passions naturelles des hommes sont les mêmes partout. Si donc

Introduction Les philosophes de l’Antiquité grecque et romaine considéraient que le bonheur était la principale finalité de l’homme : tous les hommes désirent être heureux. Conçu comme béatitude, ou félicité, le bonheur est défini comme « Souverain bien » (summum bonum, diront les philosophes latins) – auquel tous les hommes s’efforcent d’accéder. Envisagé comme bien suprême, le bonheur se distingue donc de la joie, du plaisir, ou de la jouissance. Il constitue un bien difficile à obtenir, qu’il

sophistes qui croyaient tout savoir. Sa sagesse se résume dans sa célèbre formule : « je ne sais qu’une seule chose, c’est que je ne sais rien ». Socrate dira plus précisément encore que seul celui qui se sait non sage peut désirer atteindre la sagesse. Platon (428-348 av J-C), son illustre disciple est le « père » de la philosophie occidentale à travers ses dialogues qui mettent en scène Socrate. Or, ces dialogues sont souvent aporétiques (sans issue) car la pensée platonicienne suppose une limite à la

comprendrai pas plus de 10000 citoyens, il ne prend pas compte des esclaves des femmes . Il les classe en trois classes : - Les hommes d'élites sont divisé en trois institutions : comité préparatoire, sénat , sénat exécutoire . - Les hommes robustes : divisé en trois : un corps d'officiers, une armées d'élites, l'ensemble des hommes valides . - Les hommes laborieux : divisé en trois : les agriculteurs, les commerçants et les artisans . Il n'y a pas de hiérarchie entre ces trois grandes

Les hommes ont-ils besoin d'un maître ? Avant de désigner plus spécifiquement la personne du maître d’école, la notion latine de magistrum (maîtrise), qui dérive de l’adjectif magnus (grand), recouvre, de manière générale, tout homme qui dispose d’une quelconque supériorité vis-à-vis de ses semblables ¾ tout homme « plus grand » qu’un autre. On confondra ici d‘entrée de jeu la figure du dominus et celle du magister, pourtant nominalement distinctes, afin de saisir une telle notion dans sa cohérence

gardiens des lois, les dix généraux qui internent aux commandements de l’armée. Les magistrats sont spécialisés, judiciaire, religieuse ou financière. Ils ont un pouvoir limité. Ils ne peuvent pas communiquer directement avec l’assemblée. Ils doivent toujours passer par l’intermédiaire du conseil. Et même les magistrats judiciaires n’ont pas de pouvoirs illimités. Pour élire un magistrat, on contrôlait sa moralité, son comportement civique et on vérifiait, sur trois générations, si le magistrat

au-delà du sensible, mais de réaliser que la constatation des phénomènes n’est qu’un préliminaire à toute démarche scientifique. Les faits doivent ensuite être décryptés, analysés, interprétés, sous peine de se limiter à une vision naïve du monde qui irait radicalement à l’encontre de tout projet scientifique. Notons que Platon alertait déjà sur le risque d’assimiler la science à la perception sensible des phénomènes. On trouve cette idée dans le Théétète, dans lequel Socrate

apprendre. Le bonheur est a notre portée. Vanité de ses désirs, libération de cette aliénation calcul des plaisir et de la douleur prônant une douleur qui aurait pour résultat un grand plaisir. On peut supporter la douleur : ephemere Gorgias platon compare le désir au tonneau des danaides. Jamais plein.Désir peut troubler la pensée. L’esprit critique « La connaissance commune est l’inconscience de soi » Bachelard. L’opinion la plus partagée est un faux savoir, on ne peut le justifier.

place prédéfinie), on passe à une physique quantitative et au règne de la mesure. Une science est une étude qui cherche un résultat général, objectif, universel, dans un langage univoque (comme celui des mathématiques). Ils doivent s'appuyer sur une méthode expérimentale et doivent être argumentés. Elle vise le vrai. « Il n'y a de science que du général » Aristote. Or l'homme n'est pas un objet susceptible d'avoir des comportements généraux et nécessaire, ce qui pose problème pour la scientificité