Platon Liberté

la recherche de la vérité tient à ce que le moi se sent menacé dans ce qu'il a de plus profond, dans ce qu'il cherche à se cacher. Platon a mis en avant dans « l’allégorie de la caverne », un certain souhait peut être de préférer rester dans l’ignorance. La recherche de la vérité fait peur à celui se penche sur son passé, vers des secrets qu'il craint de savoir. Platon à dit un jour, que le choix fondamental d’un homme se fait entre la vérité et la violence. Mais ne vaut-il pas mieux se blesser une

Alain (Émile Chartier) (1868-1951) (1939) Idées Introduction à la philosophie PLATON – DESCARTES – HEGEL - COMTE Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

art technique ; aspect moral… Mettre les H ds le mm sac que les animaux ? L’H peut ê mauvais juger le bien du mal ? liberté, conscience, volonté Comment, sur le fond d’une continuité biologique peut surgir une différence de nature, un saut ? Si c’en est le cas. ✪ Le mythe de Prométhée, Platon Dialogue entre Socrate et Protagoras ( savt R, adv combatif de Platon ) Protagoras raconte le mythe : «  savoir si la vertu s’enseigne ? Naturellement bon ou mauvais ? » Prométhée

Intellectuel (conscience / désir / perfectibilité / langage / raison) Artistique Scolaire Forcé (associé esclavage / absence liberté) Activité humain + humain Esclave Absence de conscience Privation du désir Absence de liberté Absence de morale Raison (ADR chez Aristote) La Conscience (Descartes : je suis une pensée) Le Désir (Spinoza : notre essence) Liberté (perfectibilité chez Rousseau) Le langage (siège de la pensée) Travail est-il une condition au développement de mon humanité 

avoir en soi le sens de la vérité que je cherche. Nous sommes affectés par la vérité qui nous constitue. Philosopher c’est être habité par une passion, la passion d’un connaitre pratique et vivant, qui comporte en lui même un excès de sens. Selon Platon « La philosophie émerge constamment de l’émerveillement devant le monde ». La vérité est excessive et il y a certain cheminement qui est habité par une expérience singulière propre à chaque philosophe. L’expérience n’est pas seulement conceptuelle

TOUT EST RELATIF I. Examen critique de la possibilité d’un relativisme intégral 1) L’interprétation platonicienne du relativisme de Protagoras • « l’homme est la mesure de toute chose » Protagoras semble soutenir le relativisme intégral. • Platon l’interprète comme un relativisme individuel. La réalité est connue en fonction d’un acte individuel. Sorte de phénoménisme (les choses se réduisent à la manière dont elles m’apparaissent). • Intenable ! une telle formule n’a pas de sens si elle

est évident qu’une formation harmonieuse de l’individu le prend en compte dans sa globalité, pour Platon le but de la bonne éducation est de donner au corps et à l’âme toute la beauté et toute la perfection dont ils sont capables. Platon rêve d’un état dirigé par les philosophes, par les détenteurs du savoir donc, il n’est pas de savoir plus élevé que celui du philosophe. Mais tous les textes de Platon relatifs à l’éducation, qu’on trouve en grand nombre dans « Les lois » et « La République » montrent

Allégorie de la Caverne, La République, livre VII 1) La caverne. Platon met en scène la condition immédiate de tous les hommes, celle par laquelle nous commençons tous. Cette condition est métaphoriquement celle d’un prisonnier d’une caverne. Dans ce temps (mais les hommes peuvent fort bien en rester là), nous tenons pour vrai, pour normal, ce dont nous avons l’habitude et qu’on nous a toujours répété. Et nous en parlons entre nous, nous échangeons nos opinions, nous émettons constamment des avis

La raison et le réel Dans la Lettre VII, Platon explique l’échec de son engagement politique au cœur de la tyrannie de Syracuse. Il y décrit la violence dont l’univers des hommes est imprégné. La parole de Socrate s’oppose à cette brutalité. Comme le remarque François Châtelet, le projet philosophique s’éclaire peut-être en ce point. D’un côté, il y a la contingence d’un monde où les désirs insatiables, les passions et la force brute engendrent le chaos et la souffrance. De l’autre, il y a le

particulier. Socrate était le professeur de Platon, il n’a rien écrit lui même. Platon va tirer l’enseignement pratique de Socrate vers l’idéalisme. L’idéalisme chez Platon est le fait que le monde est divisée en deux: le monde sensible avec le bien, le beau et le vrai et le monde des idées, des formes, de la vérité. Platon avec son livre « La république » sort le premier livre politique qui critique la démocratie athénienne. Ce qui a traumatisée Platon c’est la condamnation de Socrate, qui a été