Platon Lois Iv Cité

cette double articulation entre individu & corps collectif à travers la prière : expression du désir, l’essence de la prière c’est un désir de justice. I. Invention de la peinture italienne 1. Masaccio et Côme de Médicis : la représentation de la cité. Masaccio, Paiement du tribut 1421, chapelle Brancacci > Une volonté de réalisme, on renoue avec un style antique romain. Epuré, face à un groupe d’hommes portant des toges on chasse le merveilleux. Il construit une forte unité spatiale + effet de

Les auteurs antiques source de l’Histoire Hérodote Né vers 484 avant JC à Halicarnasse (Asie mineure) mort en 425 avant JC à Thourioi. Hérodote a été surnommé le « père de l'Histoire » par Cicéron (les Lois, I, 1). Il est membre d'une famille importante bien que le nom de son père indique qu'il était probablement d'origine « barbare », plus précisément carienne, la Carie étant au contact d'Halicarnasse. Dans sa jeunesse, en 469, il suit sa famille, adversaire du tyran Lygdamis II (v. 470/v

nous faisions les navettes de la maison à l’Eglise Saint François d’Assise de Pointe-Noire (République du Congo), au moins trois fois par semaine. Tant de souvenirs extraordinaires qui, désormais, ne font que partie de l’histoire. Ayant posé ses lois, la nature nous force à regarder plus en avant qu’en arrière, autrement dit, à changer (de direction) car, d’après John F. Kennedy, « Le changement est la loi de la vie. Et ceux qui regardent seulement dans le passé ou dans le présent sont certains

créer l’ensemble des règles juridiques. Qui décide que les règles s’imposeront à la société ? – les hommes qui décident de bien vivre en société, qui impose des règles –les juges, la justice qui va déterminer ce qui est bien de faire et pas bien – les lois. Le droit vient de quelque part, ce n’est pas une création de rien, il y’a forcément un point de départ et une évolution : pas de création ex-nihilo (le néant). Pourquoi on se soumet à la règle de droit ? qu’est ce qu’il fait qu’elle est légitime 

qui a le plus contribué à la diffusion de ces idées est Hippodamos. Le milésien Hippodamos était un urbaniste, philosophe, géomètre, auteur de traités sur la topographie fonctionnelle et la division territoriale des villes, mais qui n'est jamais cité comme architecte par les témoignages des Anciens. A partir de quelques maigres sources littéraires, dont la principale vient d'Aristote, Hippodamos a été considéré comme l'inventeur du plan d'urbanisme en damier, où les rues se coupent à angles droits

différence sociale, selon Socrate, entre le masculin et le féminin : l’homme fait mieux, la femme pire. Biologiquement, le schéma est simple : le genre humain est divisé en deux, d’un côté l’homme, qui engendre, de l’autre la femme, qui enfante. Platon, lui, tente de résoudre ce bien embêtant problème sans séparer l’organisation de la vie civique de la biologie. La femme serait une partie du genre humain et en même temps une forme opposée à l’homme. Morceau du tout et morceau contraire à un autre

serait pas sans rapport avec une sorte de scientisme115. Ces clichés tiennent soit à l'histoire de la science, résumée et réduite à des découvertes qui jalonnent le développement de la société, soit à des idées comme celles qui met en avant que les lois, et plus généralement les connaissances scientifiques, sont des vérités absolues et dernières, et que les preuves scientifiques sont non moins absolues et définitives alors que, selon les mots de Thomas Samuel Kuhn, elles ne cessent de subir révolutions

grandes orientations chez les mercantilistes : – La doctrine bullionisme (Bullion) : « La possession d'un stock d'or – – sous forme de lingots est l'élément essentiel de la richesse nationale. On doit donc empêcher la sortie du métal par les lois d'État » Le colbertisme (Colbert) : l'État doit s'assurer des réseaux d'infrastructure par des moyens autoritaires Le protectionnisme douanier (encouragé par les Anglais) afin avoir un excédent commercial. I – L'enrichissement par les métaux précieux

sous sa forme électronique. Il vous appartiendra de fusionner votre version personnelle avec mes versions augmentées successives. Vous pourrez ensuite l’imprimer pour vos révisions. Le présent document doit énormément à l’abrégé de Frédéric LAUPIES cité en bas de page. Il n’est pas utile de vous reporter à cette remarquable synthèse pour le moment. Nous l’exploiterons plus avant dans le courant de l’année. Conventions : Pour Eschyle, les numéros renvoient, sauf mention contraire, aux vers. Ch

désir d'éternité (Platon) C. Le désir de mort C.1. La structure kamikaze du désir C.2. L'agressivité introjectée (Nietzsche) C.3. La nature conservatrice des pulsions (Freud) C.4. Le plaisir de se perdre D. L'indétermination du désir II. Le désir de l'autre A. Le désir mimétique (Spinoza) B. La structure triangulaire du désir (René Girard) C. Le désir du désir de l'autre (Hegel) III. Le désir est-il manque ou excès ? A. Le désir comme manque A.1. Le désir est manque (Platon) A.2. Le désir