Platon Rectitude

manifestation du sacré, un centre, un point axial dans le temps et l’espace, et par là hors du temps et de l’espace. Pour Guénon, la caverne est le centre, l’origine, le point de départ, indivisible, l’image de l’unité primordiale. De la Grèce antique avec Platon à l’Extrême-Orient, elle est conçue comme l’image du monde, le lieu de la naissance et de l’initiation, parfois aussi symbolisant le cœur. En tant que lieu et centre, la caverne est considérée tantôt comme un réceptacle d’énergie tellurique , ceci

Observations INTRODUCTION De toutes les figures si éminentes qui ont su marquer allègrement l’Histoire de la philosophie de la Grèce Antique, s’inscrit en droite ligne Socrate. Ce dernier à sans doute influencé ses successeurs immédiats : Platon et Aristote partisans de la rhétorique et artisans du bon sens. Socrate qui nait vers 470 avant Jésus-Christ connait un succès réel à la base l’humilité, la Maïeutique5 et la prédilection du verbe qu’a l’écrit même s’il est nécessaire de préciser

mais comment atteindre « l’éveil » si nos passions, nos pulsions et nos émotions nous submergent trop facilement et viennent systématiquement « polluer » notre jugement, et bien l’éveil passe à mon avis par la recherche de la vertu et comme le disait PLATON « la première des vertus, c’est l’émerveillement ». Le travail sur soi est de voir les choses différemment, sous un autre angle, avec un oeil neuf qui donne cette sensation d’émerveillement comme l’enfant de 3 ans qui découvre le monde dans lequel

Platon Allégorie de la caverne Mouvement du texte:  L'illustration de ce texte:La Caverne. [pic] sensible ____  # ____ intelligible __/____  #    ___/___ illusion - croyance # raison - dialectique 1- Construction d'une ligne, divisée en deux sections. 2- Le visible:  et croyance a) Les ombres, les reflets, les images:illusion b) Les viva |Socrate |Maintenant, représente-toi de la façon que voici l'état de notre nature relativement à l'instruction et à | | |l'ignorance

les accorder entre eux, le tout en harmonie avec un style pur. La rhétorique est l’art de bien parler avec éloquence, de manière à éclairer les esprits tout en touchant le cœur. (Arnould Grémilly) La logique est la science du raisonnement, selon Platon le Logos est Dieu. Le quadrivium, va permettre au compagnon de construire, de bâtir en commençant par la maîtrise du calcul et la maîtrise du trait. L’arithmétique, la géométrie, l’astronomie, la musique, sont aussi des invitations aux

l'intérieur de l'espace symbolique qui rassemble l'antiquité au XVIII, la colonne vertébrale qui structure la pensé grecque et latine est: l'éloquence. La rhétorique est une certaine manière de mettre en oeuvre le discours. Elle renvoie à un débat. Platon pense que c'est un usage trompeur de la langue, mais qu'elle est indispensable à l'activité politique. C'est un discours qui sert à capter l'attention. La péroraison est la conclusion de ce discours. On peut utiliser la prosopopée, qui est le fait

la façon dont c'est évident: dans le lieu du connaissable, à l'extrême limite, il y a l'Idée du Bien qui est difficile à voir, mais quand on a l'a vue il faut, après avoir réfléchi, conclure que c'est elle qui est en chaque cas la cause de toute rectitude et de toute beauté; dans le visible elle est génératrice de la lumière et du maître de la lumière, elle qui règne en maîtresse dans l'intelligible en dispensant vérité et intelligence. C'est elle qu'il faut voir si l'on veut agir raisonnablement

suffisamment distingué de l’artisan pour échapper au mépris qui, depuis les grecs, enveloppe les arts « serviles ». A cet égard, il est symptomatique de constater que Saint Thomas d’Aquin, par exemple, ne fut pas plus sensible aux cathédrales que Platon à l’Acropole. Pour toute une tradition classique, l’art se résume en fait à un simple « savoir-faire », vaguement soutenu par un peu de théorie.  L’autre signification du mot « art » est beaucoup plus moderne et désigne la création de choses belles

à chacun qu'est la mort. Mais, il nous est impossible d'omettre que l'homme est un être figé, stagnant dans un milieu qui évolue. L'homme est en perpétuelle mutation, en évolution constante ce qui induit donc qu'il n'est jamais moralement le même. Platon, pense que l'art n'est qu'une imitation de la réalité, qu'elle ne peut en offrir qu'une apparence trompeuse. N'en n'est il pas de même pour la connaissance de soi? En effet, la connaissance de soi implique une profonde introspection qui s'avère être

Aristote met en lumière la vertu de justice dans le Livre V. De nombreux philosophes se sont intéressés à cette vertu de justice. Aristote présente une définition et une conceptualisation de la justice. Il propose une vision différente de celle de Platon, son ancien maître. Dans quelle la définition aristotélicienne de la justice s’applique-t-elle encore aujourd’hui ? Comment se fait-il que cette définition de la justice  fait débat sur les mêmes points que pendant l’Antiquité ? Aristote a-t-il théorisé