Platon Vs Aristote

enferme des structures plus petites et de plusieurs niveaux » (id.) devrait inscrire la pensée dans l’ordre discontinu du signe. On connaît la conclusion que soutiennent les comparaisons philologiques de Benveniste : sur les dix catégories dégagées par Aristote, les six premières, substance, qualité, quantité, relation, lieu et temps, se réfèrent à des formes nominales de la morphologie grecque tandis que les quatre autres, position, possession, action et passion, se rapportent au contraire à des formes

divertissements qui détruisent, d’autres qui élèvent => pour s’oublier soi-même 1er N: divertissements de N:avoir des vénération: admirer quelqu’un d’autrefrivolité: sortir inimitié: dispute jeux scientifiquesbetises l’amitié philia/éros chez Aristote (livre VII Ethique à Nicomaque ): plaisir à vivre avec quelqu’un comme soi; dans Solom et Gomor Proust critique N et l’amitié; N voit l’amitié comme « aveuglement à deux sans soupçon ni point d’interrogation »

comparaison : Aristote. Il réfléchit à le genèse des cités grecques, et essaye de trouver la meilleure constitution possible pour Athènes. Pour y réfléchir, il part du fait que toute cité a été construite dans le temps et soumise à la contingence, que son organisation est variable selon les lieux. Comment ont été construites les cités ? Il se rend compte qu’il n’y a pas de C idéale, in abstracto, mais qu’il y a une seule bonne C pour chaque lieu et non pour tous les lieux. En ce sens, Aristote se situe

aussi les helléniques. on regrette cependant de ne pas avoir le traité écrit par Aristote. on a deux auteurs plus récents: Plutarque (vie de Lycurgue, même si étalement du mythe dans tous ses aspects) et Pausanias (description de la Grèce, où il consacre le livre 3 à Sparte) Opposition sparte/Athènes : sparte offre un modèle d'organisation intérieure très différent de celui d'Athènes (oligarchie vs démocratie). pour comprendre le monde grec antique, il faut se persuader de ne pas

forces qui l’aliènent. ➔ Dans Le Manifeste du parti communiste Marx et Engels ont voulu provoquer une prise de conscience, éclairer les masses quant aux causes de leur oppression, principalement sociales et économiques. ➔ Si l’on reprend la caverne de Platon et l’image des chaînes : lorsqu’on est enchaînés et qu’on ne bouge pas, on n’entend pas le bruit des chaînes et on ne sait donc pas qu’on est enchaînés.PHILOSOPHIE « Les esclaves perdent tout dans leurs fers, jusqu’au désir d’en sortir » Jean-Jacques

avènement du « Je », ou plutôt la nécessité qu’il y a pr une conscience, à savoir ce qu’est ce « je ». La 1ère démarche de Socrate comme de Descartes étant d’enrichir cette capacité à être « je ». [Le « Je » est la synthèse des états du moi. je= unité VS « moi » correspond aux différents états d’esprit du « je ».] L’unité de la conscience du soi, certes est une conquête et cette jeune conscience va mesurer l’importance de l’unité de son existence dans la mesure même où cette unité est une unification

l’une de ces classifications augustes le compte mettait le terme de science po, qui apparaît au moyen âge. Problème ce qu’est devenu la science po au fil des siècles ne lui plaisait pas, ça ne correspondait pas à ce qu’il attendait. Dès l’Antiquité, Aristote affirme que l’homme est un « animal politique ». Mais au fil des siècles, la pensé chrétienne d’une part, puis dans la pensé des lumières (Machiavel…), la réflexion de la politique était celle de la bonne organisation de la société, la cité des hommes

l’utile. Chez lui la loi, Nomoi, désigne aussi bien la coutume que la loi. A partir du 4ème siècle on parle bcp moins de Thémis, même si Platon parle encore de l’origine divine des lois, mais il met en avant : « l’intelligence supérieure des orateurs ». Les sophistes, philosophes grecs qui exercent la sagesse, pensent que l’importance de la loi est à relativisée. Aristote au 4ème siècle va de nouveau défendre la loi contre les sophistes : pour lui la loi est l’expression de la raison, c’est une œuvre humain

les idées les plus précises sur la limitation du pouvoir politique, il existait déjà certains ingrédients d’une limitation du pouvoir des gouvernants en Grèce ou à Rome. Richesse de la pensée constitutionnelle antique La pensée antique : Platon et Aristote se sont penchés sur des questions d’ordre politique sous l’angle de la justice. À Rome, on note la mise en place d’institutions précises et techniques et l’existence de règles juridiques précises pour l’élection des magistrats. Le Moyen

réforme protestante. §1- Le legs de l’Antiquité grecque. Les philosophes grecques sont des philosophes holistes (cf. Drumont Essai sur l’individualisme). Cf. « holos » complet, entier, le tout, l’uni en grec. En Grèce le tout c’est la cité. Aristote « l'homme est un animal politique » qui fait partie de ce tout. Conséquences de la pensée holiste : la légitimité de l’esclavage : la cité a besoin d’esclaves, parfois elle a besoin de métèques. Esclaves + métèques n’ont aucun droit sur le