Platon Vs Aristote

dimension(s) psychologiques / adaptation / Apprentissage, etc. Bref historique de la psychologie différentielle la pré histoire Chine : sélection par des «épreuves» pour les emplois administratifs. Grecs : Platon et la sélection dans les carrières militaires Aristote décrit des différences entre groupes (genre, races, etc.) Hippocrate et sa typologie : dirigeants, auxiliaires, artisans. XVIIème et XVIIIème : Développement de la théorie des facultés (C. WOLFF). Suppose qu’il existe

société n’a pas eu de pouvoir, le pouvoir accompagne toute société, toute collectivité. La société naitrait pas un contrat entre les citoyens ou entre les citoyens et le gouvernement, le pouvoir serait artificiel, créé par la volonté humaine. - Aristote, la société est un phénomène naturel, qui dit société dit pouvoir, qui dit société dit droit, là où est la société il y a le droit, là où il y a société il y a pouvoir. - En chine il existait des mécanismes de pouvoir il y a des millénaires. La

réactionnaire » ou vaine ? Il est bien difficile de se satisfaire d’une telle abdication, loin, a priori, des objectifs mêmes de l’action politique. Faire de la politique, c’est aussi vouloir déterminer l’avenir. La notion de moment opportun mise au jour par Platon mérite ici d’être rappelée. Le kairos 1 est l’instant qu’il faut saisir afin que l’action soit réussie. Le savoir propre au bon politique est celui d’une adaptation à la singularité des cas et des moments historiques 2 mais n’implique nullement la

souveraine entre les Cités, la Cité n' est pas souveraine ). a) La Cité de Platon Pour Platon, la Cité est nécessaire aux individus car aucun individu n' est autonome. De ce fait, on doit s' organiser en société, celle çi présuppose la spécialisation de chaque individu. On s' organise en Cité pour combler les lacunes de chacun. b) La Cité d' Aristote La Cité différencie les grecs des barbares. La Cité pour Aristote est constitué en vue d' un bien suprême ( il y a l' idée d' objectif ).

de défendre la science (les maths) tout en défendant une lecture continentale de la science (alors que la philo analytique des sciences semble à tout le monde la bonne option). En philo des maths, grande guerre au début du 20ème siècle : Hilbert vs Brouwer. Deux positions : formalisme et constructivisme. Salanskis : position méta-constructiviste : celui qui nous sauve du formalisme, c’est Brouwer. Dispute autour de Heidegger : Franck contre Faye à Nanterre. Salanskis : Heidegger est un philosophe

société => Grecs = les 1ers à se dire que les hommes pouvaient créer un ordre par eux-mêmes => réflexion sur cette organisation de + en + consciente => naissance de la politique !!! ------------------------------------------------- Ex : Aristote (« Politique ») = idée d’un besoin d’articulation /e/ singularité de la commu humaine (« logos ») et l’organisation de la cité (« polis ») => comparaison de la cité (« polis ») à un organisme. -------------------------------------------------

similitudes permettent d’émettre l’hypothèse d’un ancêtre commun… mais doivent être confirmées par de nouvelles observations ou comparaison interne : des variations morphologiques synchroniques peuvent révéler des états antérieurs de la langue. Ex : il est vs ils sont Difficultés : toute similitude n’implique pas une origine commune cf. have (habban) ≠ avoir (habeo) Origine du langage : aux sources de l’humanité. Ontogénie : Développement de l'individu depuis l'oeuf jusqu'au stade adulte. Phylogénie

hypothétique, rejaillit sur le caractère hypothétique de la condamnation, alors que le vers suivant réaffirme sans condition le caractère sacré de l'époux, tout en utilisant, ici encore, le même substitut : toutefois, l'expression marquée « il est mon époux » (vs « c'est mon époux ») témoigne du caractère instable du PDV de Pauline, le pronom personnel installant une subtile distance qui vient rompre les liens matrimoniaux : ce n'est plus cet époux fameux, c'est toujours son mari, mais un conjoint dont le comporte

qui n’existe pas ». Le terme désigne également un « idéal philosophique, social, ou politique qui ne tient pas compte de la réalité ». A cet égard, on peut dire que la réflexion sur l’utopie est bien antérieure a celle de More et aux humanistes. Platon, dans République, lorsqu’il décrit un système politique idéal, dans le Criticas ou nous est présenté le fameux mythe de l’Atlantide, nous délivre déjà a sa façon une vision utopique. De fait, l’utopie semble étroitement liée à la philosophie politique

êtres qui l’environnent, sur ce qu’aurait pu devenir le genre humain s’il eût été abandonné à lui-même. Va traiter de l’homme en général, va oublier donc les temps et les lieux, veut s’adresser à toutes les nations. (peu ou prou prétentieux ? « les Platons et les Xénocrates pour juges »). A lu l’histoire de l’homme dans la nature et non dans les livres des hommes (l’un ment l’autre non). Il n’y aura de faux que ce qu’il aura mêlé du sien sans faire exprès. Va décrire comme était l’homme dans des temps