Plébiscite

Gaius tente de définir ce qu’est la loi en la distinguant des plébiscites car elles n’émanent pas des mêmes personnes. D’un cote du peuple, de l’autre de la plèbe. Mais pourquoi « La plèbe diffère du peuple » ? Cela s’explique par le fait que toute la population romaine n’est pas sous le joug de la même loi. La loi s’applique à tous les citoyens tandis que les plébiscites s’applique aux non- patriciens. En effet, les plébiscites sont des décisions proposées par les tribuns de la plèbe et votées

sobriété , la rigueur, la symétrie et c'est une inspiration de l'antiquité)…la toile de David est conservée au musée du Louvre à Paris …. Le couronnement et le sacre ont eu lieu à Notre-Dame de Paris. Contexte historique : En août 1802, un plébiscite avait établi le Consulat à vie, étape importante vers l’identification de la république à Bonaparte. En avril 1804, le Conseil d’Etat suggéra officiellement la création de l’Empire, et le Sénat adopta le 18 mai 1804 la nouvelle constitution confiant

symboliquement la peine de mort en matière politique. Question 4 – Les plébiscites de 1851 et 1852 sont-ils l’expression de la démocratie ? L’Assemblée nationale ayant refusé de réviser la Constitution de 1848, le PrincePrésident Louis-Napoléon Bonaparte ne peut pas se représenter aux élections présidentielles de 1852 et se résout à un coup d’Etat le 2 décembre 1851. Par son appel au peuple du même jour, il demande aux français par plébiscite de lui conférer les pleins pouvoirs afin de rédiger une Constitution

que sont l'adoption d'une constitution ou le principe de l'autodétermination, le référendum apparaît aisément comme légitime. Pourtant, s'il est utilisé pendant la période révolutionnaire (en 1790, puis en 1793), il ne réapparaît (en dehors des plébiscites napoléoniens) qu'en 1945-1946 (3 référendums) pour disparaître à nouveau jusqu'au référendum du 28 septembre 1958 qui met fin à la Quatrième République. La constitution de 1958 le réhabilite en en faisant un passage obligé de toute cession ou annexion

B/les risques de déviance vers le plébiscite Effectivement, outre une mauvaise interprétation des informations dont disposent les citoyens, qui peuvent conduire ses derniers à faire le mauvais choix, le référendum peut se convertir en un formidable outil de manipulation des foules et de l'opinion publique. Il peut ainsi servir à conforter la légitimité d'un chef de l'Etat par exemple, et peut être utilisé (abusivement) comme plébiscite. Le plébiscite est une déviance du référendum, en ce

72-1, principalement depuis la réforme constitutionnelle du 28 mars 2003) Il est au coeur de l'exercice du pouvoir au début de la Ve République sous la présidence de de Gaulle. Ce dernier va d'ailleurs lui faire prendre la forme d'un véritable plébiscite au mépris du rôle originel du référendum. Durant le reste de la Ve, sa pratique va tomber en désuétude. ⇒ Quel(s) est (sont) l'intérêt(s) du recours au référendum ? Quelles sont les dérives, problèmes qui y sont liés ? I. Le référendum : définition

par prendre possession de la Savoie et Nice après un plébiscite pour un rattachement à la France. Ce plébiscite majoritairement remporté à 99% aurait été truqué selon Giuseppe Garibaldi, député de Nice et grand acteur dans l'unification italienne. En effet, selon lui le peuple de Nice se serait retrouvé sous la pression “de nombreux agents de polices”, entre “flatterie et menaces”, ce qui aurait favorisé l’entrer en vigueur du plébiscite et donc l’unification de Nice à la France. Suite à ces

la grandeur nationale A) Le Césarisme, quand un directeur s’appuie sur le peuple Césarisme : mode de gouvernement absolu ou tous les pouvoirs sont exécutés par un seul home qui s’est fait plébisciter par le peuple Plébiscite : vote par « oui » ou « non » à une question posée par le pouvoir. Il s’agit en réalité de confronter çà chaque fois le pouvoir de l’empereur en lui renouvelant sa confiance par un vote positif Populisme :

“Ni bonnet rouge, ni talon rouge, je suis national” (Napoléon) Le 15 décembre 1799, Bonaparte qui a refusé le projet constitutionnel de Sieyès car il limitait son pouvoir, promulgue le Constitution de l’an VIII, ratifiée par un plébiscite avec beaucoup d’abstentions et de fraudes. Celle-ci proclame : “La Révolution est fixée aux principes qui l’ont commencé : elle est finie.” Cette phrase célèbre, prononcée juste après la conquête du pouvoir, montre clairement ce que Napoléon veut dire à propos

effet, de 1799 à 1814 et de 1851 à 1870, elle connaît des régimes politiques que sont le Consulat et les deux Empires qui sont qualifiés de « césarisme démocratique ». C’est-à-dire un mode de gouvernement absolu et autoritaire dans lequel un homme, plébiscité par le peuple, est dépositaire de tous les pouvoirs. Ce terme est dérivé du patronyme de Jules César (101-44 avant JC), un général et homme d’Etat romain qui voulait imposer ce type de gouvernement à Rome. Il y a deux périodes du césarisme : la