Pluralité De Gardiens Des Choses

policiers-écrivains auxquels nous nous intéressons : Ils ne sont sans doute pas représentatifs du corps policier dans son ensemble. Ce sont essentiellement des inspecteurs et des commissaires, des syndicalistes, et, beaucoup plus rarement, de simples gardiens de la paix. On va, dans un premier temps, pour introduire ce travail, dégager les caractéristiques majeures de la police en tant qu’institution spécifique. Comment la définir, quelles sont ses missions majeures, quelle spécificité présente t’elle

d’une véritable science juridique, basée sur l’observation des règles de droit en vigueur, dont la vocation est d’en comprendre l’ordonnancement profond. Suivre cette méthode à propos de la question des sources du droit oblige à en constater la pluralité. Il serait toutefois réducteur de faire du droit une simple réalité objectivement observable, une « matière », nécessairement inerte. Celui-ci est fondé sur une idéologie qui l’anime – au sens littéral : lui donne une âme – et qui irradie à tel

son trône, puis le Roi et son trône disparaissent également dans une lumière grise. Tout flotte dans une sorte de vide et le vide, roi incontestable, monte sur le trône. En réalité, selon Alain Couprie «la disparition progressive des êtres et des choses a valeur d’énonciation pour dire l’anéantissement» (Couprie, 1995: 8). Ionesco anime le décor afin de matérialiser le manque et l’angoisse de la mort qui accompagnent le Roi jusqu’au dernier acte. Ce bouleversement scénique suggère la chute du

permettent de tendre vers le juste. Droit de vote pas partout considéré comme un droit fondamental en Grèce. 2 courants dans la philosophie grecque qui ont placé l’homme au cœur : - les sophistes (Protagoras : « l’homme est la mesure de toutes choses ». comment interpréter ceci ?  il n’y a aucune vérité en soi : chaque homme, dans sa subjectivité, estime que tel comportement est juste ou ne l’est pas. Voie ouverte au subjectivisme, cousin de l’individualisme. - les stoïciens (Zénon au -3è siècle

à quelqu'un des choses placées dans un espace spécialement consacré à cette action» (A. Desvallées ; 1998 : 228). Nous considérons que la mise en exposition est l'opération de créer un espace de médiatisation entre le visiteur et les objets, en constituant un environnement cognitif organisé, pour présenter un ensemble d'infonnations (1. Daval1on; 1996: 124). C'est un travail de sémiotisation et de mise en contexte d'objets culturels et naturels. «À la décontextualisation des choses répond une recontextualisation

| |b3) C'est pourtant bien en ce sens, même si c'est d'une manière pour ainsi dire raffinée, que les anciens ont recouru à cette notion de droit naturel. | |Ce droit en effet se réfère à une nature des choses, ou du monde, entendu comme ordre, harmonie (des rapports entre les choses). Le droit doit maintenir cet| |ordre, et il est "juste" quand il le fait (cf. Antigone). La nature/cosmos est ici la norme suprême. Cela permet, comme on le voit chez Platon ou Aristote, | |de justifier la hiérarchie

juridique du terme. Cet auteur est un éternel absent, c’est une entité abstraite à laquelle on ne peut jamais demander « qu’as-tu voulu dire ? ». Il y a des réponses ponctuelles (révision de constitution), mais il n’est pas aisé de faire la part des choses entre un non massif et la somme des différentes volontés de chacun de dire non. En droit seul l’auteur juridique du texte a un droit de regard sur son œuvre. La prime est donc donnée aux interprètes du texte, aux acteurs. La constitution est un esprit

d’école conduit à l’échec. Notamment en Afrique ou parfois 35 % des budgets étaient consacrés à l’éducation nationale pour une scolarité peu performante. B.7 - Passage progressif de l’homogène à l’hétérogène : D’un savoir unitaire on passe à une pluralité de savoir. Là aussi on assiste à un retour de l’homogène. B.8 - Passage progressif de l’individualisation à l’uniformisation : Chacun enseignait de façon individualisée (relation duelle) à un enseignement délivré au groupe. 1830 : augmentation

cette perspective, la question si on peut ou doit tolérer ceux qui ne professent pas la même religion n’a pas de sens. Comme l’écrira encore un autre homme d’Église inspiré au 19e siècle, le cardinal Pie : Par la nécessité même des choses, l’intolérance est partout, parce que partout il y a bien et mal, vrai et faux, ordre et désordre ; partout le vrai ne supporte pas le faux, le bien exclut le mal, l’ordre combat le désordre. Quoi de plus intolérant, par exemple, que cette proposition :

toute une série d’infraction comme l’association de malfaiteurs qui selon cette théorie ne mériterait pas d’être sanctionnée. Pourquoi cette association de malfaiteurs ne doit pas être sanctionnée ? Parce que tant qu’ils en sont encore à planifier les choses, il n’y a pas d’impact réel dans la société. Cette conception s’attache à la matérialité de l’acte, au résultat effectif de l’infraction. Cette conception peut être logique mais elle présente deux inconvénients, elle restreint de manière significative