Popper Logique De La Découverte Scientifique

faire de la science on doit se limiter comme à dit Popper à des propositions empiriques testables. Machlup, traite Hutchison d’empiriste naïf et lui objecte qu’il est impossible de tester les hypothèses. Friedmann, en 1953, insiste sur ce point en disant que non seulement c’est impossible mais c’est erroné de le faire, car il ne sert à rien de tester des hypothèses fausses. (Plus elles sont fausses meilleurs elles sont) Blaug, en 1980, revient à Popper. Il faudra qu’on les juge nous-mêmes : on a appris

est une valeur. Dire d’un discours quelconque qu’il est « scientifique », c’est porter sur lui, non pas seulement un jugement de fait, mais un jugement de valeur positif : on considère que si c’est scientifique, alors c’est vrai, c’est digne de confiance, c’est honnête, et surtout c’est prestigieux. La scientificité fonctionne aujourd’hui comme un label que tout chercheur s’efforce d’obtenir car dire d’une discipline qu’elle est « scientifique » a d’abord des conséquences sociales : l’obtention de crédits

On procèdera par commentaire de texte. Chapitre 1 : Qu’est ce que la science ? A quoi fait référence la science pour nous ? Le savoir, étude, raisonnement/logique, concepts/théories, expérimentation, recherche, preuves, doutes, questionnement, rationalité, applications, réfutabilité (Popper : une théorie scientifique ne peut l’être que si on peut la réfuter : ex : la psychanalyse n’est pas une science car on pourra toujours trouvé une solution sans que ce soit réfutable) Typologie

le finalisme, le vivant devient connaissable et prévisible. B. Critique de la cause finale. Pourtant, le finalisme n’est pas une explication scientifique, et donc il ne permet pas de connaître le vivant. En effet, pour connaître quelque chose il est nécessaire de faire une expérience qui confirme ou infirme nos hypothèses (selon les recommandations de Popper). Une expérience consiste à proposer une prévision pour ensuite l’observer. Or, comment expérimenter une cause finale ? Comme le critiquait

"La Structure des Révolutions Scientifiques" Trad. Française, Paris : Flammarion, 1972. TABLE DES MATIÈRES : * BIOGRAPHIE DE L’AUTEUR * POSTULATS ET HYPOTHESES * MODE DE DEMONSTRATION * RESUME 1. L’acheminement ver la science normale. 2. La nature de la science normale. 3. La science normale. Résolution des énigmes. 4. Antériorité des paradigmes. 5. Anomalie et apparition des découvertes scientifiques. 6. Crise et apparition des théories scientifiques. 7. Réponse à la crise. 8. Nature

que son entendement est limité. Seul Dieu a des idées claires et distinctes. Leibniz est plus exigeant que Descartes : la vérité necessite un calcul bien réglé. Il y a des degrés de connaissance et seule la logique nous permet de rechercher la vérité. Le problème d'un critère purement logique, c'est qu'il ne concerne que la validité du discours, indépendamment de la réalité.- Descartes : Pour lui, le critère de la vérité c'est l'évidence ; une idée « claire et distincte » est une idée vraie. L'évidence

Bruxelles, Émile Bruylant. Hayek, F. von (1953), Scientisme et sciences sociales, Paris, Plon. Lazarsfeld, P.F. (1970), Philosophie des sciences sociales, Paris, Gallimard [1959]. Piaget, J. (1965), Études sociologiques, Genève / Paris, Librairie Droz. •Popper, K.R. (1988), Misère de l’historicisme, Paris, Plon [1956]. •Weber, M. (1971), Economie et société, vol.1, Paris, Plon. 2) Principe de rationalité (cours 4-7) Boudon, R. (1986), L’idéologie, Paris, Fayard. •Boudon, R. (1990), L’art de se persuader

certains philosophes qu'il y a la possibilité que l'inconscient soit bien une partie de soi. On attache traditionnellement la découverte de « l’inconscient » à Sigmund Freud, médecin mais non philosophe. Le sens qu’il a donné à ce concept dans sa politique de médecin s’est imposé chez les intellectuels. Mais le mythe vient s’introduire entre ses auteurs et ses découvertes, le mythe, du latin « Muthos » qui est fait de récit populaire, mensonges et fables. La pensée mythique n’est pas qu’un lointain

sensible pour l’orienter vers une connaissance d’ordre rationnel : « l’âme ne raisonne jamais mieux que quand elle s’isole en elle-même ». La vérité ne pourrait donc être atteinte qu’indépendamment des perceptions, par des raisonnements mathématiques, logiques, ce qui garantirait donc sa validité pour toujours. Ce serait le cas d’Aristote qui croit à la démonstration syllogiste. Sa méthode est basée sur la liaison des de deux prémisses ; une majeure et une mineure, qui donneraient lieu à une conclusion

Politiques de patrimonialisation Volonté publique de l’État d'engager des actions qui sauvegardent, conservent les objets culturels après avoir été patrimonialisés. Diffusion Réseau de structures, dispositifs, événements permettant à l'ens d'une pop que les objets fassent partis de leur patrimoine et qu'on ne puisse pas les détruire, et leur inculquant qu'il faut les conserver et les transmettre aux générations futures. I/ Les institutions patrimoniales A/ Ministère de la Culture et de la