Portrait Fille Physique

Mme de la Fayette, la Princesse de Clèves Introduction : * œuvre : histoire réelle mais personnage de fiction, portrait sur l’éducation la fille, le passage décrit l’arrivée de la jeune fille * problématique : quelle est la voie suivit par le narrateur pour faire de madame de v=chartres un personnage exemplaire ? I. un portrait idéalise 1) l’effet de suspense * métonymie : (l.1) permet de garder le mystère, déterminant inconnus * champs lexical de la surprise (l.26 et 27)

La Princesse de Clèves - Le portrait de Mlle de Chartres Introduction : Le roman de Mme de Lafayette s’ouvre sur un tableau de la cour de France dans les dernières années du règne de Henri II. C’est dans un cortège d’êtres d’exception, décrits de manière superlative et abstraite, que paraît tout à coup l’héroïne, Mlle de Chartres, future princesse de Clèves. Personnage de fiction, elle est encore plus extraordinaire que les plus prestigieuses dames de la cour et sa vraisemblance se trouve garantie

Le portrait physique de Maxime : un être indéterminé et ambigu Maxime est censé être un homme, mais au physique très effeminé. Le champ lexical de l’hésitation sexuelle, de la coexistence homme-femme est très présent : « ce grand gamin aux mines de fille », « le sexe avait dû hésiter », « l’hermaphrodite étrange » suggèrent la volonté explicite de Zola d’insister sur l’ambiguïté du personnage. On remarque une expression au style direct : « air fille » est prononcé par les dames. Ainsi, ce regard

Explication linéaire du portrait de la princesse de Clèves (p. 19‑20, l. 213-248 classico)Prob :Montrez en quoi ce portrait laisse présager un destin exceptionnel ?Lignes 213 à 219 : Une arrivée remarquéea. Dans la première phrase, comment le narrateur souligne-t-il la grande beauté de l’héroïne ? Le narrateur souligne la grande beauté de l’héroïne en insistant sur l’unanimité des réactions des membres de la cour : « attira les yeux de tout le monde » (l. 213-214). Il emploie également l’adjectif

secondaire, sa mère et sur la manière dont elle a éduquée sa fille (parenthèses explicative), l’ensemble du passage nous montre à quel point cette présentation à l Cour est décisive pour l’avenir de cette jeune fille. Pb : Nous montrerons comment dans cette extrait, la description très organisée de l’héroïne mais aussi de l’éducation qu’elle a reçu, ressemble à une véritable démonstration qui révèle ici les dangers de la passion. I – L’art du portrait : 1) L’effet de surprise : Mme de Lafayette ne

âgés de sept et quatre ans . Par la suite Paul partira suivre ses études au collège de Caen. Félicité est touchée par se départ mais se trouvera occupée par le catéchisme quotidien de Virginie, auquel elle prendra plaisir à y assister. Cependant, la fille de Mme Aubain part aussi poursuivre son éducation chez les Ursines à Honfleur. Félicité portera donc tout son amour sur Victor, son neveux qui va s’engager dans un voyage auquel il ne reviendra jamais. Peu de temps après, Virginie va mourir d’une fluxion

duc et se retira dans un couvent. L'extrait que nous nous proposons d'étudier est le portrait physique et morale du personnage éponyme au moment de son arrivé à la cour. NOUS ALLONS PROCEDER A LA LECTURE. Nous nous demanderons donc quelle image du personnage Mme de Lafayette propose t-elle à travers ces différents portraits ? Nous tenterons de répondre à cette question en étudiant tout d'abord le portrait élogieux que le narrateur dresse de Mlle de Chartres et en montrant ensuite qu'elle recoit

normande à laquelle Maupassant appartient lui-même. Ce n’est pas Jeanne qui voit son père, mais un narrateur omniscient qui est à la fois extérieur et intérieur et se permet de le juger. « Homme de théorie, il méditait tout un plan d’éducation pour sa fille » (intérieur). Il s’identifie à une classe sociale et à une époque (gentilhomme de l’autre siècle). Il s’agit pour le narrateur de donner une vision synthétique, une analyse théorique et lucide d’une génération. Aux deux parties de l’incipit correspondent

Tome 1, le portrait de Mlle de Chartres. Introduction : Le XVIIe siècle, bien que n’ayant pas connu un essor du roman, a vu naître un nouveau sous-genre de ce dernier. Il s’agit du roman d’analyse : La princesse de Clèves, écrit par Madame de La Fayette en 1678. Née dans une famille de petite noblesse, Madame de La Fayette eut droit à une éducation particulière. Ses romans ont permis également l’affirmation de la place des femmes dans la vie culturelle. Le portrait de Mlle de Chartres, qui marque

-« Jeanne » : 1er mot du texte en majuscule >C’est le protagoniste -Portrait physique : présentation générale >Comparaison picturale « Elle semblait un portrait de Véronèse » (Peintre italien du 16ème siècle qui peint des femmes rondes avec des couleurs luxueuses) -Ordre du portrait : >description en spirale concentrique >les cheveux, teint, yeux, narine, menton puis verticale de la tête aux pieds, poitrine, taille. -Portrait en situation : on en déduit qu’elle est naïve et naturelle. -Couleurs