Portrait

l'aboutissement des recherches du XVe siècle sur la représentation du portrait. À l'époque romantique, les artistes ont été fascinés par son énigme et ont contribué à développer le mythe qui l'entoure, en faisant de ce tableau l’une des œuvres d'art les plus célèbres du monde. 2- Tourner le tableau et recueillir des impressions générales et noter les mots-clés 3- Débat : A. Description générale : La Joconde est le portrait d'une jeune femme, sur fond d'un paysage montagneux aux horizons

La Joconde de Léonard de Vinci, 1503 Problématique : Qu’est-ce qui justifie le succès du portrait de la Joconde ? Historique : Léonard de Vinci débute le portrait que l’on attribue aujourd’hui sans grande conviction à Mona Lisa del Giocondo, à Florence en 1502 pour le terminer 4 ans plus tard en 1506. Cette œuvre a été convoitée par les plus grands rois qui l’exposait dans les plus grand musées et châteaux. La Joconde est devenue un tableau mythique car à toutes les époques les artistes

Intertextualité : Ananda Devi, Moi, l’interdite. L’intertexte au mythe grec : l’universel : Dans le portrait déformé de ses proches, la narratrice leur confère un caractère sisyphien : l’absurdité de leur situation et de leur comportement (travers) de la cupidité : Il y a du déplacement et de l’écart dans la mesure où si Sisyphe s’évertue à dépasser sa situation et se sacrifie pour la bonne raison, les proches de la narratrice sont dans l’aberration. -le décalage par rapport au texte original

milieu entièrement féminin, ce qui explique plus tard ses problèmes relationnels avec les femmes. Pour preuve, il n’y aura jamais de véritable portrait de femme dans son œuvre, mais nous y reviendrons. Quant à Poe, il se maria avec sa cousine Virginia. Part se mariage, l’esprit mélancolique de l’écrivain lui fera écrire de nombreuses œuvres tels que Le Portrait Ovale ou encore Le masque de la mort rouge. Ayant eu avec Virginia une vie difficile, lié aux nombreuses maladies de sa femme, il noue quelques

se constitue aussi en elle, et auquel elle sacrifie sa vraisemblance (reconstituée) : "  Je ne peins pas une femme, je fais un tableau. " Aussi, rien, semble-t-il, dans la Femme au chapeau, qui renvoie à Mme Matisse, à une femme réelle. Dans ce portrait, pas un des espaces ou champs colorés, si vaste ou si petit soit-il, qui ne se trouve sur le même plan. Toute la peinture est comme la reconstruction logique, dans l’ordre de l’artifice, d’une figure dépecée. Ceci pour chaque unité de référence figurative

des Lumières, évoquent des personnages divers décrits précisément par les écrivains. On peut alors se demander en quoi précisément ces personnages sont rendus antipathiques. Nous verrons que les personnages sont décrits sans complaisance, que les portraits sont construits de manière péjoratifs, et que les personnages des textes B et C sont orgueilleux. Tous les personnages sont décrits sans complaisance car les auteurs recherchent la vraisemblance. Le vieillard observé par Nicolas Poussin est à

obtient son diplôme de la Rhode Island Scholl of Design en 1989. Elle débute sa carrière en tant que photographe pour le magazine américain Sassy puis se fait une grande réputation dans le monde de la photographie grâce à son style novateur, ses portraits de célébrités et ses séries photographiques telles que End Times ou bien même Monkeys. A travers son travail Jill Greenberg est une artiste engagée qui lutte contre l’influence du fondamentalisme chrétien du gouvernement de G.Bush au début des années

personnages écorchés, agités et déformés. Il a créé cet autoportrait en 1976 mais il en peignit de nombreux autres. Cet autoportrait est exposé au musée Cantini à Marseille Autoportrait : Il d’abord peint son portrait puis l’a déformé tout en le laissant reconnaissable, j’ai cherché son vrai portrait (nez, coupe de cheveux) a l’aide de plusieurs techniques tels des coups de pinceaux violents qui accentuent les traits (sourcils), il ajoute des couleurs des hématomes (bleu) du sang(rouge, orange) et

sentiments. Tout d’abord, des thèmes semblables sont abordés dans le poème « Devant deux portraits de ma mère» et «Je suis un fils déchu».Les deux poètes, à l’aide d’une symbolisation différente abordent le thème de la dégénération. Émile Nelligan approche ce thème par le passage de la beauté de la jeunesse à la laideur duvieillissement à l’aide de la description du visage de sa mère sur un portrait d’autrefois et un portrait d’aujourd’hui :« Le front couleur de lys et le regard qui brillent […] Les rides

sur carton sur bois mesurant 92 sur 46 cm, représente une petite fille : la petite sœur de l'artiste. Elle est exposée au musée de DALI à Figueres en Espagne. La signature de l'auteur s’aperçoit dans le coin en haut à droite. Le peintre dresse le portrait, quasiment en pied, de sa sœur : Anna Maria, lorsqu'elle était enfant. Le personnage est positionné au centre de la peinture, de manière symétrique. Cette peinture ne présente pas d’arrière plan, mais un fond bicolore très abstrait et irrégulier