Positionnement Coca Cola Light

mix-marketing 24 a- Le ciblage 24 b- Positionnement 25 c- Politique de la marque 25 III- Swot 27 A- Recommandations 28 a- Combler les faiblesses 28 b- Faire face aux menaces 28 c- S’appuyer sur les forces 28 d- Saisir les opportunités 29 B- Les solutions envisagées 29 C- Stratégie de développement 30 a- Segment visé 30 b- Cible visée 30 c- Innovation produit 30 D- Le positionnement 31 Deuxieme partie 33 I- Fixation des objectifs

 ici il s’agit d’adhérents et non de salariés.  Son effectif change en fonction des adhésions, son nombre d’adhérents est moins stable que  les salariés des sociétés qu’elle côtoie sur ce marché. Son assise paraît moins certaine.        1 27  Selon l’ouvrage Le positionnement  d’Al Ries et Jack Trout (éd. Mc Graw Hill – 1987)  Christelle FERRET                 Mémoire : Stratégie de communication « innovante » :                          changement ou évolution (l’exemple de la SNCF)    Chiffre d’affaires

et faiblesses des concurrents qui s'adresse aux segments de clients qui nous intéresse. Qui permet de savoir si notre entreprise est capable de satisfaire les attentes de ces segments de clients mieux que la concurrence. 4) Analyse de positionnement, c'est l'analyse qui nous permet de donner une identité à notre marque dans l'esprit des clients et le plus souvent on fait en sorte que cette identité correspond aux attentes les plus déterminantes auprès des clients auxquels on s'adresse.

SEGMENTATION-CIBLAGE-POSITIONNEMENT 12 I. LA DEMARCHE SCP Segmentation Ciblage Positionnement Aperçu historique II. LA SEGMENTATION A. POURQUOI SEGMENTER ? B. LES CRITERES DE SEGMENTATION C. IDENTIFICATION ET ETUDE DES SEGMENTS DE MARCHE D. LES CARACTERISTIQUES D’UNE SEGMENTATION EFFICACE III. LE CIBLAGE IV. LE POSITIONNEMENT A. INTRO B. LES DEUX DIMENSIONS DU POSITIONNEMENT C. DIFFERENCIATION PAR LE PRIX V. LES CARTES PERCEPTUELLES a. Un bon positionnement : 12 12 12 12

stockage de l’information, soit à court terme où une série de cinq à neuf informations seront traitées en temps réel, soit en stockant ces informations en catégories, en sous-catégories puis en marques typiques dites « prototypes » comme Pepsi ou Coca-cola. La seconde source sera la « source externe », comme la publicité ou Internet, utilisée par le consommateur lorsque celui-ci ne connaît pas le produit.  UNE EVALUATION PAR RAPPORT AU PRODUIT Le produit est représenté selon son prix, sa

retiré du menu. Finalement, certains produits ne sont proposés que pour une période spécifique de l’année. Au Québec McDonald's a toujours francisé le nom de ses produits : alors qu’en France, on commande « un menu best of Royal cheese avec un Coca light », on parlera au Québec d’« un trio quart de livre avec fromage avec un coke diète ». Composition partielle d’un hamburger McDonald's : * eau, sel, sojaOGM * sucres : sucre inverti, saccharose, dextrose * émulsifiants : E 472e (esters

qui proposent un même ou des produits substituables. La concurrence est directe lorsque le positionnement des produits est identiques (même caractéristique, même prix, même cible) ce qui est le cas de la plupart des lessives et des produits alimentaires (les conserves…) de grande consommation. La concurrence est indirecte lorsque le même besoin est satisfait par des produits n’ayant pas le même positionnement. Identifier le concurrent, revient à identifier le (ou les) champ sur lequel s’exerce la concurrence

en place de la stratégie publicitaire, la société met à la disposition du service B&C un Brief Marketing qui fournit entre autres, les informations suivantes :  Le produit et son marché  La concurrence  Les objectifs (en terme de volume, le positionnement qu’on veut donner au produit, la notoriété recherchée…)  Le budget  La cible visée et son comportement  Supports de communication Ce Brief Marketing devra être transformé en un Brief communication moyennant : Une communication stratégique qui

choisis en fonction des bienfaits que la recherche leur a découverts au fil des années, et ce en partie grâce à l’évolution des technologies. En effet, dans les années 70, le culte de la minceur entraîne le développement du concept de produits light. Sucres et matières grasses sont enlevés de certains produits alimentaires de base comme les yaourts. Le terme « alicaments » apparaît ensuite dans les années 80. Ce sont les industriels du secteur de l’agro-alimentaire qui l’ont inventé en contractant

............................................................................. 69 6. Byrraju....................................................................................................................................... 70 7. Selco Solar Light ....................................................................................................................... 72 8. Aqua Dyn & Harvest .....................................................................................................