Post Taylorisme Ou Néo Taylorisme 0

Gustave KOUALOROH – Année 2010/2011 INTRODUCTION GÉNÉRALE La période des trente glorieuses, qui va de 1945 à 1975, est l’apogée de l’ère des grandes organisations industrielles. L’organisation du travail au cours de cette époque est basée sur le taylorisme et l’objectif de la fonction « personnel »1 est la maîtrise des coûts du personnel par l’accroissement de la productivité. La fabrication de produits standards en grande quantité suppose un système de gestion du personnel sous la forme d'une

bureaucratique : ou rationnelle légale, l’exercice du pouvoir repose sur l’application convenable de règles minutieusement établies. Dans la plupart des organisationnels, le type le plus évident d’autorité officielle est le type bureaucratique où les postes sont définis selon les droits et les devoirs qui s’y rattachent et qui créent une sphère d’influence de façon légitime sur ceux avec qui ils travaillent. Dans la mesure où l’autorité se transforme en pouvoir, la structure d’autorité est également

par Smith est une fabrique d’épingle. Il propose une subdivision de la production d’un bien en plusieurs étapes en prenant des travailleurs pour chaque étape donne un meilleur rendement. Cette parcellisation des tâches est une préfiguration du taylorisme, elle permet une augmentation du rendement du facteur travail et une augmentation de la richesse produite. Trois raisons sont à la base de cette idée de division du travail : - Augmentation de l’habileté du travailleur - Gain de temps dans

........................................................... 22 LES FAITS STYLISES ............................................................................................................................. 22 L’ambiguïté du rôle de l’épargne (Néo-classiques) ............................................................. 25 I. II. LE SPECTRE DE LA STAGNATION .......................................................................................................... 25 L’ESPOIR DE LA CROISSANCE

11- Mankiw, N. G., „A Quick Refresher Course in Macroeconomics”, Journal of Economic Literature 28, p.1645-1660, 1990 12- Modigliani F. et R. Brumberg, « Utility analysis and aggregate consumption functions: an interpretation of cross-section data”, Post Keynesian Economics, London, Allen-Unwinn, 1955 13- Muth, J. F., “Rational Expectations and the Theory of Price Movements”, Econometrica 29, p.315-335, 1961 14- Phillips, A. W., “The Relationship between Unemployment and the Rate of Change of Money

donné. En effet, un certain nombre de questions fondamentales aujourd’hui sont éclairées par une connaissance historique (nécessité de comprendre le présent). Exemples : L’école néo-classique (fin XIX è jusqu’à aujourd’hui) est considérée comme libérale pour la majorité (a priori idéologique faux). Or, il y a des néo-classiques qui sont considérés comme anti-libéraux. NB : Gary Becker Gary Becker est un économiste américain (né en 1930) connu pour ses travaux visant à élargir le champ de

on demande d’accomplir des gestes et non pas d’avoir des capacités intellectuelles Bureaux des méthodes (technostructure) Analyse de chaque geste Prolongée par le fordisme : Tapis roulant  travail à la chaine Limites : (Organisation Tayloriennes ? Post tayloriennes ?) Parcellisation des taches, déqualification des ouvriers Motivation essentiellement financière La bureaucratie : Max Weber (1864-1920)  observe l’administration prussienne : bureaucratie (le pouvoir des bureaux) qui doit contenir

économie et société de 1850 à nos jours Sommaire 1. De l’âge industriel à la société post-industrielle A La révolution technologique B Accélération de l’échange et économies-monde C Les crises du capitalisme 2. De nouvelles sociétés A Une classe symbole de la société industrielle : la classe ouvrière B Une société de classes moyennes C De la critique de la société de consommation à la socité post-industrielle 3. La France de 1850 à nos jours : économie et société A Un modèle

environ 50% de l'écart de productivité par rapport aux autres usines automobiles. Cette organisation du travail, où l'équipe est responsable des normes de qualité, exige que les salariés soient polyvalents, qu'ils puissent se remplacer sur différents postes et qu'ils acceptent d'effectuer avec diligence les tâches dites connexes comme les inspections de la qualité, les petites réparations en cours de production, de même que des activités d'entretien de l'usine et de commande de pièces. Autrement dit

......... 9 1. EVOLUTION DES SYSTÈMES DE PRODUCTION : VERS L’AMÉLIORATION DE LA PERFORMANCE INDUSTRIELLE ................................................................................................................................... 10 1.1. Taylorisme et Fordisme : apports et limites dans l’amélioration de la performance .......... 10 1.2. L’émergence du modèle japonais et du toyotisme ................................................................ 13 1.3. Evolution du marché occidental et conséquence