Pourquoi Obéir Aux Lois

queee llleee///lllaaa pollliiitttiiiqueee ??? Termes relatifs au politique : * dipolmatie / relat° internationale * hiérarchie * pv / autorité * intérêt général/ particulier * conquête * justice et régulation * influence ETAT * lutte des partis * lois GOUVERNEMENT * bien commun * représentation * vote Le politique : Définition Le terme « politique » renvoie à un ensemble flou et hétérogène (mvmt sociaux, rpport prsdt / 1er ministre, manière de gouverner ..). C’est en fait une notion polysémique

philosophiquement sa position. Le Criton pose donc la question de l’obéissance aux lois : est-il parfois légitime de transgresser le droit ? La réponse socratique sera négative et la conclusion est que Socrate doit rester en prison et se soumettre au jugement des athéniens même s’il lui en coûte la vie. C’est donc la question du rapport entre justice et injustice qui sera donc ici abordé : comment peut-on accepter sa propre mort ? Pourquoi ne pas choisir la fuite ? Quelle philosophie, quel principe pousse donc

violente : si offrir de l’eau profite à beaucoup, et ne nuit à aucun, pourquoi ne pas le faire ? Ces familles sont l’exemple que le droit ne rime parfois pas avec le juste, et que pour être bon, il faut parfois désobéir. A chacun d’arbitrer, dans une certaine mesure, entre être juste, et être obéissant.Selon le contexte, le caractère aliénant de certaines normalités ne se révèle qu’aux yeux des générations suivantes. Il est même des lois dont on reconnait à posteriori qu’il était illégitime de les respecter

droit, et qu'on n'est obligé d'obéir qu'aux puissances légitimes.” (l. 21-22) Afin de répondre au problème, Nous allons expliciter ce que Rousseau aborde dans les différents paragraphes. D'abord, dans le premier paragraphe (l. 1 à 6), il définit pourquoi la force ne peut être légitimé par le droit. Puis il démontre cette thèse dans le deuxième paragraphe (l. 7 à 14) via un raisonnement par l'absurde : il prouve l'incohérence de l'existence d'un droit du plus fort. Enfin, dans la dernière partie (l

est-ce n’être responsable de rien? INTRODUCTION: Etre libre, est-ce n'être responsable de rien? La notion de responsabilité peut être vue comme délicate. Sommes nous responsable seulement des actes que nous avons commis? Dans ce cas la, pourquoi la justice ne reconnait pas un criminel qui tue en état de folie par exemple, comme étant responsable de son acte alors que aux yeux de la loi les parents sont responsables des actes de leurs enfants? On constate de ce fait que la question de la

ne pense pas qu’un maître peut être apte à établir la justice publique. En effet, s’il y a un maître dans un Etat alors il y a du despotisme et qui dit despotisme, dit que l’Etat est dirigé par la volonté d’un seul homme car il est seul à créer ses lois. Par conséquent le despotisme est un régime politique où règne l’arbitraire, c’est-à-dire une autorité sans limites, un pourvoir sans partage ainsi l’absence totale de liberté et de sécurité des citoyens. Il s’agit de s’intéresser d’abord à la nature

satisfaction des plaisirs&désirs (≠platon et aristote : vertu) Lettre à Ménécée : quels types de plaisirs faut-il rechercher ? Les conditions du bonheur : l'éradication des peurs Les peurs qu'on éprouvent nous empêchent d'être heureux, c'est pourquoi il faut s'en défaire. • Les dieux Critique de la religion traditionelle : les dieux agissent comme des hommes (vengeance, amour..) et les les phénomènes naturels comme la foudre ont des causes naturelles et non divines. Pour Epicure les dieux

pair avec le droit, et dans ce cas-là, il s’agit d’en découvrir le pourquoi et le comment En effet, n’y aurait-il pas un procédé ou un artifice instaurant un rapport nécessaire entre la force et le droit ? Un constat de la vie politique internationale nous montre que bien des régimes, arrivés par la simple force militaire, sont désormais établis en droit et respectés par leur peuple comme tel. Il s’agit dès lors de se demander pourquoi mais également comment l’antinomie initiale s’avère être, réellement

aux différents codes de lois, on comprend alors qu’être juste, c’est respecter les lois et que l’injuste est celui qui désobéit. On s’aperçoit que cette idée demande examen, car notre expérience de la vie quotidienne peut nous amener à penser que certaines lois sont injustes, et que le strict respect des lois peut conduire à des injustices… Quels sont les liens entre la justice et la loi ? Qu’est-ce que le droit ? Existe-t-il des lois injustes ? Peut-on désobéir aux lois ? A quelles conditions

L'idée de « loi naturelle » a-t-elle encore un sens? Parfois, lorsque nous posons un acte, nous sentons au fond de notre conscience que ce que nous faisons est bien ou mal et souvent, on ne saurait expliquer pourquoi. Instinctivement, par exemple, nous sentons que tuer quelqu'un ou commettre le viol ou l'inceste nuit à l'homme et ne lui permet pas de s'accomplir. On parle de conscience morale innée, de loi naturelle. On pourrait définir cette loi naturelle comme l'instinct qui nous fait sentir