Pourquoi Philosopher

du plus grand malheur. Et voilà un autre exemple du fait que nous croyons encore savoir ce à quoi nous n’y savons rien. Ce qui démontre la sagesse supérieure qu’a Socrate de ne pas prétendre ce qui ce passe dans l’au-delà. La seule chose que ce philosophe craint est de faire le mal et de désobéir à un meilleur que soi. Cet homme ne craint rien qu’il ne sache séparer du bien ou du mal. Comme preuve «concrète», Socrate prétend que la voix qui l’empêche normalement de finir ses propos lorsqu’ils ne

plus rapide, c’est l’esprit, car il court partout; • le plus fort, c’est la nécessité, car elle vient à bout de tout; • le plus sage, c’est le temps, parce qu’il découvre tout. • La mort ne diffère en rien de la vie. On lui répond : «Pourquoi, alors, ne te donnes-tu pas la mort?» «Parce que vie ou mort, c’est tout un», réplique-t-il. • Quelqu’un lui demande ce qui du jour ou de la nuit fut créé d’abord : il répond : « La nuit est en avance d’un jour.» • On lui demande si les

basé sur le respect de l’autre, la tolérance, l’ouverture, la croyance en les capacités de tout homme, son potentiel. Ainsi un homme faible physiquement ou même mentalement mérite d’être protégé et aidé afin de développer ses autres capacités. C'est pourquoi nous pouvons dire que l'humaniste est à la recherche d'un possible bonheur, en permettant à l'homme de s'accomplir totalement dans la société et non seulement de gagner le salut de son âme dans "l'autre monde" après la mort. Oui, l'humaniste pense

Nom : Gr : Après avoir rappelé factuellement pourquoi Socrate va souper chez Agathon, vous en ferez une interprétation philosophique. Résumé de l’extrait entre la rencontre de Socrate et Aristodème et l’arrivée de Socrate au Banquet. Suite à la rencontre entre Socrate et Aristodème, Socrate, sortant du bain et étant chaussé de sandales, annonce à Aristodème qu’il se rend chez

Commencez par vous demander pourquoi on vous pose la question afin de déterminer le problème du sujet. Vous devez d'abord ici analyser la notion d'illusion : le sujet présuppose que cette dernière peut ou doit être assimilée à un danger, puisqu'il s'agit de se "prémunir contre elle". Demandez-vous d'abord en quoi l'illusion est dangereuse (analysez par exemple l'expression "tu te fais des illusions") : à quel type de danger nous expose-t-elle ? L'illusion consiste en une erreur de jugement : nous

un sens différent, ce qui ne signifie pas qu'ils n'en ont pas. Au contraire des population qui autrefois étaient indépendantes de ce point de vu, sont devenus dépendantes, de gré ou de force à ce type de culture, comme les aborigènes d'Australie. Pourquoi dépendant? Ainsi la notion de culture générale et de sa valeur, matérielle et immatérielle doit être rattachée à un modèle de société particulier. Celui des civilisation occidentales se voulant être universalistes... (jouer sur la polysémie de la

Dieu existe, prendre ses désirs pour des réalités? Nous sommes confrontés à tous les jours à des événements qui nous amènent à nous poser des questions sur le pourquoi? Pourquoi cela ? Pourquoi moi? Pourquoi maintenant et non la semaine prochaine? Y a –t-il une réponse à tout cela? Destin, hasard, loi de la probabilité ou tout simplement Dieu qui lui amène beaucoup de sujets d’interrogation. Je procèderai en me posant certaines questions qui toujours, nous donne à réfléchir sur les

épace occupé par la pensée de chacun. La notion d'esprit revêt plusieurs sens. Elle désigne d'une part l'intellect, la raison, la pensée. Elle désigne d'autre part l'âme, l'être immatériel qui constitue notre intériorité, notre personnalité. Les philosophes classiques ne faisaient pas de différence entre les deux: l'âme, qui relève du sentiment que nous avons de nous-mêmes, est aussi le siège de la pensée. C'est peut-être une indication qu'affectivité et raison sont plus étroitement unies qu'on ne

défaite de la pensée. Douter, c'est reconnaître que l'on ne sait pas et que l'on ne parvient pas à atteindre la vérité. Douter, c’est renoncer devant la difficulté d'un problème. Le doute témoigne alors d'une incapacité, d'une impuissance. Les philosophes sceptiques, disciples de Pyrrhon, considèrent justement que l'esprit humain est incapable d'atteindre aucune connaissance certaine. Les sceptiques ont de nombreux arguments pour démontrer que l'homme, dès qu'il prétend juger quelque chose, ne peut

manifestations biologiques invariables, le rire est pluriel. Son intensité d'abord varie selon les contextes, la nature des effets comiques. Ainsi poser la question de la finalité du rire ne va pas sans mal : on peut certes savoir de quoi l'on rit, mais pourquoi, dans quelle intention ? Il convient de s'interroger sur la nature de ce phénomène spécifiquement humain avant de répondre. C'est ce à quoi vise ce corpus d'introduction. I/ le rire est lié à un état de plaisir et de relâchement, amusement, gaieté