Pourquoi Vouloir Etre Libre

individuelle, en particulier sur l’histoire de sa personnalité. 2 - Mais pourquoi vouloir le coucher sur du papier ? 3 - Voici six raisons que j’ai estimées juste de relever 1. Pour commencer, je pense qu’il est possible de faire le récit de son existence uniquement pour soi, afin de revivre certains évènements, qu’ils soient bons ou mauvais, mais qui ont fait toute la saveur d’une vie. Et puisque le narrateur est le seul lecteur, libre à lui de construire son récit à sa façon (en ignorant la grammaire

comme des pièces de monnaie, mais comme métal. » Nietzsche, Vérité et mensonge au sens extra-moral. Nietzsche a présenté une théorie tout à fait originale de la vérité. Il pose la question suivante : Pourquoi désirons-nous la vérité plutôt que l’erreur ? Autrement dit, pourquoi la vérité fait-elle l’objet de notre préférence et, plus encore, de notre vénération ? Cette question permet à Nietzsche d’affirmer que la vérité est avant tout une valeur. En ce sens, elle est directement dépendante

métaphysique des mœurs, Deuxième Section, éd. Delagrave, p.156-157 [INTRODUCTION] [Thème:] Ce texte aborde la recherche philosophique (métaphysique) du principe de la moralité. [Thèse:] L’auteur soutient que le principe de la moralité ne peut pas être empiriquement établi. [Thèse adverse:] Il constate et explique l’échec de toutes les tentatives philosophiques précédentes qui ont vu « l’homme lié par son devoir à des lois » extérieures (positives). Ces tentatives ont été nécessairement infructueuses

pensée en moi : si le corps peut être amené par l'entraînement à cette endurance [patientam] grâce à laquelle il peut supporter [ferat] également les coups de poings et les coups de pieds [calces] et pas d'un seul homme (de plus d'un adversaire), [endurance] grâce à laquelle quelqu'un passe sa journée en supportant [sustinens] un soleil (très) ardent dans une poussière [pulvere] brûlante et ruisselant [madens] de son propre sang, combien l'âme peut facilement être fortifiée [corroborari] pour recevoir

« Pourquoi vouloir le vrai ? » On aurait généralement propension à affirmer que discourir sur la teneur d’une démarche ou d’un fait que l’on estime « vrai » puisse paraître oiseux : tout un chacun pense savoir ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas, dans le domaine d’activité et de pensée qui lui est propre, dès lors que je m’appréhende en tant qu’énonciateur d’un discours que je ne conçois guère autrement qu’en tant que cristallisation de ma raison à travers ma capacité à dire le « vrai ». C’est

classe Peut-on vouloir le mal ? Problématique proposée : alors que sa nature et les codes sociaux de la communauté semblent s’y opposer, un individu peut-il consciemment les dépasser en faisant le mal ? I. Une volonté a priori contre-nature (la volonté de faire le mal apparaît a priori comme (un désir) contre-nature) A. Un univers accordé à l’ordre et à la justice (chez Rousseau, la création et la nature – étant le reflet de la nature de Dieu - ne peuvent être, dans leur totalité

qu’il caractérise comme « substance pensante » (/ma conscience) et mon corps matériel, dont notamment le cerveau. D’une part, on peut observer des caractéristiques psychologiques qui semblent se transmettre génétiquement -quoiqu’elles puissent aussi être un résultat de l’environnement-, mais aussi certaines expériences récentes tendraient à cette conclusion, comme par exemple le syndrome du cerveau scindé, qui fait émerger en quelque sorte une seconde personne en soi-même.Qu’en est-t-il des autres

s'interroger sur la définition de la bêtise et à quels mots s'opposent elle. Dans son sens commun, la bêtise est un propos stupide, irréfléchi ou futile mais il ne suffit pourtant pas d'être cultivé pour y échapper. On ne décide pas d'être ou de ne pas être bête. En outre, la bêtise s'accompagne nécessairement s'un sentiment d'autosuffisance et de refus de dialoguer avec autrui. Il s'agira donc de savoir en quoi consiste exactement la bêtise, est-elle une disposition d'esprit, une manière de se comporter

possède t-elle des limites ? Doit-on limiter la liberté de penser ? Pour répondre à ces questions nous jugerons en premier lieu qu'il peut paraître absurde de limité cette liberté. Puis nous verrons pourquoi il est important de lui fixer des limite. Enfin nous nous demanderons si nous somme réellement libre de penser ce que nous voulons. A priori, nous pouvons penser ce que l'on veut, personne ne peut nous empêcher de penser car il est dans la nature humaine de penser. Mais peut-on penser n'importe

pas de sens à vouloir convaincre quelqu’un de la beauté d’une œuvre d’art. En matière d’art ou de beauté en général, l'accord ne serait qu'accidentel. Si l’œuvre ne convainc pas d’elle-même, a-t-on quelque chance de pouvoir plaider sa cause auprès de celui qui n'y est pas sensible ? La question qui nous est posée soulève le problème de la communicabilité du jugement esthétique. Le beau renvoie-t-il à une expérience purement individuelle et singulière ? Ou bien celle-ci peut-elle être universelle,