Pourquoi être Moral

en fait l’impression qu’a le spectateur au moment où il la contemple. Mais ce n’est pas le but de l’oeuvre d’art ni ce pourquoi elle a été faite, elle est simplement l’expression de l’artiste, qui se sert de plusieurs techniques ; l’oeuvre d’art n’est que ce qu’elle est en apparence. Mais est-ce là la conception que toute la société a par rapport à l’art et à son oeuvre ? Pourquoi existe t-il encore des sociétés où l’on élimine et même censure certaines oeuvres artistiques ? Est-ce qu’au sein d’une

agir sans savoir précisément pourquoi il agit comme cela. Et cela le pousse à se demander : quels sont les mécanismes qui nous poussent à être attirés par une personne plutôt qu’une autre, et en quoi la prise de conscience de ces mécanismes peut altérer notre manière d’agir ? L'enjeu de ce texte est donc de comprendre que la liberté réside dans des capacités de choix et de libre arbitre qui passent par une réflexion préalable, ici, sur le pourquoi de ces penchants amoureux. Nous

pense qu’il est moralement nécessaire de désobéir à une loi injuste à condition d’accepter les conséquences de sa désobéissance.6-Kohlberg a montre ke tous les individus ont une capacité morale et que cette capacité progresse selon les stades hiérarchiques.Le stade 6 est celui de l’autonomie morale.C’est pourquoi Kohlberg classe King au stade 6.CH.2 1-Il y a une différence entre les jugements de fait et les jugements de prescripteur.Les premiers s’appuient sur l’observation des faits,les seconds portent

pour cela que nous faisons souvent l’expérience de la frustration lorsque nous faisons notre devoir.Cependant, n’est-il pas possible d’éprouver de la satisfaction lorsque nous faisons notre devoir. En effet, si faire son devoir supposait de ne jamais être satisfait, alors il semble que nous ne pourrions trouver de force nous motivant à accomplir notre devoir, et donc que nous ne le ferions jamais. Il nous faut donc nous demander comment pouvons-nous faire notre devoir, si cela suppose de renoncer au

tient un discourt contre l’humanité que d’un seul coup ce qu’il est vraiment nous apparait, mais jean perd ces caractéristiques humaines, mais l’auteur veut nous faire comprendre que si il pensait normalement il ne se transformera pas. Monstruosité moral ans les deux autres textes mais qui est aussi présente dans les deux autres textes, Médée et Electre. Ces personnages vont se situer dans la démesure et ans l’extrême. Car l’une v tue sa mère et l’autre va tuer ses enfants. La monstruosité ici e traduit

La conscience   Les enjeux de la notion – une première définition   Commençons avec un peu d’étymologie. Le mot français conscience vient du latin conscientia qui est formé de cum qui signifie « avec », et de scientia pour « science ». Être conscient lorsque nous agissons, éprouvons quelque chose, réfléchissons, etc. c’est ainsi posséder simultanément une connaissance de ces actes, sensations, réflexions. Cette connaissance peut avoir des niveau de clarté, du sentiment le plus vague jusqu’au

différence de la fable, où l’anthropomorphisme est total, le héros est ou redevient humain. La morale n’est pas explicitement énoncée. On parle d’universalité du conte tant il est présent dans toutes les cultures et à toutes les époques. Le conte semble s’adresser à tout le monde car il véhicule de la sagesse et du savoir populaire. Initiatique, il montre la voie, il dit ce qui doit être, sous forme d’images, sans être didactique, il dit tout ce qui ne peut se dire où qui ne doit pas se dire. La simplicité

L A L I B E R T É A - Définition de la liberté I - Liberté et déterminisme De nombreuses expressions populaires proposent des modèles de liberté tirés de la nature. Ainsi pourra-t-on entendre dire qu'on aimerait être libre comme un animal, ou libre comme le vent ou l'air. Sont donc proposés ici des symboles naturels de la liberté : - l'animal, supposé représenter la liberté de par l'absence de contraintes sociales dans le déroulement de sa vie, la spontanéité de son action, et la simplicité

est un devoir morale, un homme est redevable à l’être vivant qu’il respecte, il le place sur un pied d’égalité avec lui puisqu’il ne le maltraite pas. L’homme faisant partie lui même du vivant, lui doit-il le respect comme il le doit à ses semblables ? Nous verrons dans un premier temps que le vivant est un objet de science et de connaissance, nous expliquerons ensuite le dédain que l’homme a envers le vivant et enfin, nous verrons que le respect du vivant est un devoir morale. I. Le vivant

LES VALEURS MORALES SONT ELLES RELATIVES Pourquoi l’homme est-il moral ? D’où vient ce besoin de juger ce qui est bien ou mal ? L’homme a besoin de repères semble-t-il pour évoluer dans un environnement. Ainsi il sait où il va, ce qu’il convient de faire. Par conséquent il a fallu établir un code de valeurs se basant sur des critères. Mais alors qu’est-ce qui va déterminer qu’on apprécie ou non une chose ? Sur quoi se base le jugement ? Grâce à l’ethnologie, on a pu constater que les goûts et