Pouvoir De L Employeur Et Contrôle Du Juge

par l’article 14 de la constitution. La loi organique qui a organisée cette loi n’a jamais vu le jour. Il y a aujourd’hui un projet de loi qui tarde toujours à être adopté parce qu’il est au cœur de certaines polémiques entre les représentants des employeurs et les représentants des travailleurs (le principe constitutionnel demeure toujours la seule référence légale et que par conséquent la grève licite ne rompt pas le contrat mais le suspend). Il faut souligner que la grève doit être licite et que

comme l’ensemble des règes applicables aux relations individuelles et collectives qui naissent entre les employeurs privés et ceux qui travaillent sous leurs autorités moyennant une rémunération appelée salaire. Le but du droit du travail est de rétablir l’équilibre entre le salarié et l’employeur. En effet le salarié ayant besoin de revenu pour vivre, la relation entre les salariés et les employeurs est largement favorable à l’employeur. 1- le droit du travail Il est né à la fin du 19ème avec

qui autrement auraient été exclus. Ex : journaliste, VRP, mannequin ou artiste. -D’un autre côté, certaines entreprises pour éviter d’avoir trop de charges à payer et devoir suivre les obligations prévues par le code de travail à la charge des employeurs, tente d’extériorisé certaines tâches en les confiant à de soit disant travailleurs indépendant qui s’avère être au contraire économiquement très dépendant de ces entreprises. Il est donc nécessaire de détecter les faux salariés et les faux travailleurs

clos. – Un juge unique → La loi prévoit la possibilité pour le TGI de statuer à juge unique cette formation étant exceptionnelle. Il n'y a donc qu'un seul magistrat qui va trancher le litige et dans deux hypothèses particulières : ● C'est le Président du tribunal qui attribue cette affaire à un juge unique pour des raisons de célérité. ● ● Il peut s'agir également d'un renvoi à juge unique car la loi le prévoit. Par exemple le juge aux affaires familiales : divorce, garde des enfants, juge de l'exécution

fin du 20ème siècle. Le principe de la liberté du commerce et de l'industrie a valeur constitutionnelle depuis CC 16 janvier 1982. Décision fondée sur une interprétation de la DDHC de 1789 qui en son article 4 proclame que la liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à l'autre. C'est donc un principe de liberté et pas un principe d'interdiction qui gouverne en théorie le droit français. Réinterprétée à la lumière de 1982 et de l'activité économique, cela signifie que le principe de

licéité des preuves A/ condititons de formes -loyauté indiviuelle : article L1222-4 on doit porter préalablement a la connaissance du salarié toute technique du controle quelqu'elle soit pour la surveiller; cette idée de préalablement informé dissuade les malfaiteurs . en matière informatique on consulte d'abord le DSI. je peux controler les sites auxquelles mes salariés se connectent. arrret récent de 2012 un servie interne de la RATP s'apercoit que ceux qui remplit les distributeurs piquent de

des syndicats. Elle fait aussi de la grève un délit. Mais surtout, elle instaure un nouveau système de contrôle plus stricte des travailleurs : le livret ouvrier. Sur celui-ci, les dates de début et de fin de chaque emploi doivent être inscrits. Dans les sources de motivation de cette mesure, la volonté de renforcer la dépendance du salarié vis-à-vis de son employeur et celle d'accentuer le contrôle policier figurent en bonne place. 1890 : disparition du livret ouvrier. 22 mars 1841 : interdit le

s'appliquera. On exclut de l'objet du travail tout ce qui se passe dans la fonction public. On se situe dans le secteur privé et on va ignorer tout ce qui se passe dans la fonction public. Ces fonctionnaires sont dans une relation de travail subordonné( aux pouvoirs public). Ce n'est pas une relation étudié par le droit du travail car elle est différente, c'est une relation statutaire(propre au secteur public-> droit de la fonction public). Ces travailleurs font l'objet d'une nomination. Le statut est un

contrat de travail est une convention par laquelle une personne s’engage à mettre son activité à la disposition d’une autre, sous la subordination auquel elle se place moyennant une rémunération. Mais pourquoi a-t-on mise en place un contrat pour pouvoir travailler ? Existe –il vraiment un lien entre l’employeur et le salarié et jusqu’ou ce lien peut il se limité ? Nous allons voir dans un premier temps la signification du lien de subordination ainsi que son évolution dans le temps ,ensuite les conséquence

parties concernées par le contrat de travail ; employeur et salarié. - la prestation de travail du salarié. - la rémunération versée en contrepartie. - les horaires à respecter par le salarié. Ces éléments st nécessaires pour qu’il y ait contrat de travail, mais le lien de subordination constitue le critère essentiel auquel se réfère la jurisprudence. SEQUENCE N°2 • Règlement intérieur : Obligation pour le chef d’entreprise, qui a le pouvoir de direction, de l’exprimer sous une forme réglementaire