Pouvoir exécutif

Le Gouvernement dirige le pays. Président : élu au S.U.D pour 5 ans, renouvelable une fois. Elu à la majorité absolue : 50% des suffrages. Il promulgue les lois : pouvoir exécutif. Assemblée Nationale : propose et vote des lois, pouvoir législatif. Ces deux autorités sont légitimes pour créer des règles de droit : leurs pouvoirs leur ont été conférés par la Constitution. Lois et décisions (règlement) adoptées par le Parlement (S.+A.N.) et le Gouvernement permettent le bon fonctionnement de la

des articles 5, 20 et de la Constitution de 1958 ci-dessous reproduits, dissertez sur les relations entre le président de la République et le 1er Ministre de la Vème République. Lionel Jospin a dit du pouvoir exécutif que « En France (...), l’exécutif a deux têtes et chaque tête a des pouvoirs étendus. L’art d’exécuter, qui devrait être unique, est divisé. (...) Cette distinction a des conséquences : gouverner et présider deviennent deux choses hiérarchiquement différentes. Dans la logique de ces

un régime parlementaire avec prédominance de l’assemblée. L’exécutif était faible et en son sein c’était le Président du conseil, chef du gouvernement, qui jouait le rôle essentiel. Le Président de la République, élu au suffrage indirect et sans pouvoirs propres, n’avait qu’un rôle de représentation. C’était une sorte de monarque constitutionnel républicain. Avec la constitution de la Ver république voté en 1958 l’appellation de premier ministre a été substitué à celle de président du conseil. Le

réflexion et de proposition sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions présidé par Édouard Balladur a été mis en place en juillet 2007 sur la demande du président de la république. Le rapport du Comité préconisait d’encadrer le pouvoir exécutif, renforcer le rôle du Parlement et d’accorder de nouveaux droits aux citoyens. Inspiré des travaux de ce comité, un projet de loi constitutionnelle a été proposé au Parlement puis approuvé par l’Assemblée Nationale et par le Sénat. Cette révision

instabilité gouvernementale chronique, escortée par une division et un éclatement de la classe politique. Ainsi, la IIIe et à un degré presque identique, la IVe Républiques vont-elles se caractériser par une faiblesse du pouvoir exécutif ayant pour corollaire une omnipotence du pouvoir législatif. De ce point de vue, l'on ne peut que constater qu’une refonte des institutions était nécessaire. Il est par ailleurs à noter que les crises institutionnelles successives connues par la IIIe République avaient

enveloppe le gouvernement qui, étant à la tête de l’organisation administrative, est en fait lui-même partie intégrante. Ainsi le gouvernement relève-t-il de l’étude du droit constitutionnel lorsqu’on le considère dans sa qualité de détenteur du pouvoir exécutif, mais de l‘étude du droit administratif lorsqu’on l’examine en tant que chef de l’administration. L’administration au sens où nous l’avons définit n’englobe pas seulement les PM de droit public mais aussi certaines personnes morales de droit

Quelle est réellement son idéal constitutionnelle? Il va clairement mettre en avant sa conception de séparation et d'équilibre des pouvoirs qui selon lui est l'essence même, après la souveraineté nationale, de la démocratie. Ce fondement qu'il tient à établir, est ici reflétée par la nécessité d'un bicaméralisme (I), et, dans le même temps, le désir d'un pouvoir exécutif fort au profit du chef d'Etat (II). Nécessité d'un bicaméralisme La nécessité d'un bicaméralisme se dégage des idées avancées

Dissertation - Droit Constitutionnel Les pouvoirs du Président de la République sous la Vème République « L’unité du pouvoir exécutif est le plus sûr garant de l’ordre et de la tranquillité dans tous les pays » Duc de Lévis Sous la Cinquième République le pouvoir exécutif est un exécutif à deux têtes en effet on distingue le Président et le Gouvernement. On parle d’un exécutif bicéphale. Cette idée a été théorisée par le Général de Gaulle dans son discours à Bayeux en 1944 avant même la mise

une majorité parlementaire qui lui est politiquement opposée. En d'autres termes la cohabitation, désigne la coexistence institutionnelle entre un président et un premier ministre politiquement antagoniste. Le Premier ministre est à la tête du pouvoir exécutif du système parlementaire, composé de l'ensemble des ministres parfois appelé cabinet. Cette situation de cohabitation s'est vue être installé sous la V° république a trois reprise, en 1986, 1993 et 1997. Valéry Giscard D'Estaing et l'un des

marquées par un dérèglement du régime parlementaire qui s’est traduit par une concentration du pouvoir entre les mains du parlement à tel point qu’on se rapproche du régime d’assemblé. Cela conduit à un asservissement du pouvoir exécutif, qui précipite sa chute à la fin des deux régimes. La Constitution de 1958 a été construire au départ pour réagir contre ça avec une volonté de réhabilité le pouvoir exécutif. Section 1 : Les leçons du passé Sous-section 1 : La IIIème République Paragraphe 1 : Les