Poésie Laid

de mon profil sur le mur du jardin ! Le Bret, ému. Mon ami ! ... Cyrano Mon ami, j’ai de mauvaises heures De me sentir si laid, parfois, tout seul... Le Bret, vivement, lui prenant la main. Tu pleures ? Cyrano Ah ! Non, cela, jamais ! Non, ce serait trop laid, Si le long de ce nez une larme coulait ! Je ne laisserai pas, tant que j’en serai maître, La divine beauté des larmes se commettre Avec tant de

Philosophie Une œuvre d’art peut-elle représenter quelque chose de laid et tout de même réussie ? Une œuvre d’art, ou un objet d’art est un produit purement humain, d’êtres, capables de sensibilité et qui tentent de représenter (dans les formes et les structurations) une perception construite, réelle ou transcendante. L’art est donc la représentation d’une pensée, d’une vision, d’une démarche ou d’un message que l’on veut faire passer. La représentation devient alors le moyen par lequel l’artiste

être sur de qui il est mais aussi qu'on ai pitié de lui. → De plus, par la suite, il devient dur et reprend toute confiance en lui « Tourne-toi, idiote ». → le but de son déguisement est de savoir si elle pouvait aimer un homme différent, vieux et laid et si ce n'est pas le cas il veut les venger ce qui nous révèle bien que ce n'est pas un vrai type de comique II) La mise en scène du seigneur → Le personnage de Solal est mis en valeur au début ainsi qu'à la fin du texte : → Au début c'est

l'incarne. Le second terme, encore plus dévalorisant, s'atténue néanmoins au fil du passage où le protagoniste devient "ce pauvre monstre" (ligne 21). La Belle: L'attitude de l'héroïne se traduit par une remarque naïve : "vous ne me paraissez plus si laid" (lignes 5 et 6). Elle ajoutera plus loin, en l'absence de la Bête : "C'est bien dommage qu'elle soit si laide" (ligne 26). Même galant, même respectueux, le monstre est mis à l'écart et il n'est pas question d'oublier ses tares physiques. Cette mise

connaisseur. Célèbre la beauté de la laideur apparente (= Les Fleurs du Mal) car il compare à la ligne 18 et 19 « un œil impartial » à l’œil de l’artiste peintre qualifié de connaisseur (ligne 19) il est donc capable (ligne 20 et 21) de trouver l’enfant laid et pauvre, BEAU. A travers les mots « répugnante patine » (ligne 20), Baudelaire se moque des bourgeois, satire. Ligne 22 : On voit bien la position de l’auteur : il critique les bourgeois qui sont responsables du clivage social. Car si ils donnent

je me reconnais ; c'est moi, c'est moi!". Cette confusion d'identité se retrouve dans le langage, qui ne peut que se refléter : on voit beaucoup de répétitions dans ce monologue, on voit le trouble du personnage : "un homme n'est pas laid, un homme n'est pas laid!", " c'est moi, c'est moi! ", "je ne suis pas beau, je ne suis pas beau". Dans l'évolution de ces répétitions, on peut voir se dessiner une inversion des valeurs. 2 - Une inversion des valeurs - Le règne des rhinocéros a commencé, ils

témoigne le texte «  s’emboitaient », «  s’y incruster » l 17 « contenu naturel » l 19 et «  si intime cohabitation » l 26. Et puis, on retrouve certaines caractéristiques du romantisme telles que l’opposition entre le beau représenté par l’Eglise et le laid par Quasimodo tel que «  sa nature difforme » l 3 et «  sa membrure bestiale » l 9. Mais aussi, l’héroïsme puisque Quasimodo apparaît comme un véritable héros courageux et fort, l’émotion qui survient notamment au début du texte avec l’évocation de

officiel" , la phase de recherche, le sujet reçoit une force vitale, un plaisir supérieur à celui que lui procurera la phase suivante g) "et tel est le néant des choses humaines, il n'y a rien de beau que ce qui n'est pas." Le monde du réel est laid par rapport au monde des chimère de la quête h) "qu'hors l'Être existant par lui-même", il admet que tout ce qui a été dit ne concerne que la majorité des gens, les "numéros 19" qui ne vivent plus d'espoir mais de réel échappent à la déception décrite

souci de la forme comme absolu. * 1) cf Théophile Gautier, Préface à Mademoiselle de Maupin, "Je renoncerais plutôt aux pommes de terre qu'aux roses".[...]"Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien. Tout ce qui est utile est laid" : hatier 19°s. p.287 et 292. * 2) cf les orientations littéraires du 19° s. vers le symbolisme avant de revenir au réalisme et au naturalisme. II). Esquisse de quelques éléments montrant la liberté et le caractère indispensable de l'art

Mathilde et Julien, qui est pour le moins houleux. Malgré la méchanceté que met Julien à répondre à Mathilde, cette dernière ne se démonte pas, et semble subjuguée de plus belle. Pourtant Mathilde est choquée que Julien puisse admirer un être aussi laid physiquement que Danton, qui est aussi considéré comme un « boucher », la laideur physique et morale allant de pair pour elle ; Julien est « beau » donc il ne peut pas y avoir de laideur morale en lui. N’écoutant que sa naïveté, elle se permet d’interrompre