Problématique De Tartuffe

rappelle, comme le suggère la scène elle-même, les précieux dénoncés quatre ans plus tôt dans Les Précieuses ridicules. Fidèle à la devise latine « Castigat ridendo mores» -Elle corrige les moeurs par le rire- que Molière évoquera dans la préface du Tartuffe, La Critique de l'École des femmes divertit les spectateurs tout en les invitant à réfléchir. À l'image de la pièce, le début de la scène V piège la salle dans un mirage baroque pour l'amener à s'interroger sur la hié¬rarchie sociale et sur la spécificité

Acte 1 scene 2 Introduction : Molière est un dramaturge et comédien français du 17ème siècle qui s'est illustré au début du règne de Louis XIV et s’inscrit dans le classicisme. Il a écrit de nombreuses pièces de théâtre telles que « Tartuffe » en 1664 qui est censurée parce qu’on prétend qu’elle critique l’église. Il écrit alors Dom Juan, qui met en scène un personnage issu de la noblesse, séducteur, libertin et athée. Dans la scène 2 de l’acte I, DJ arrive, son entrée crée un effet dramatique

quelque chose à ses oreilles, je dirois hautement que tu aurois menty. Introduction : En 1664, Le Tartuffe est de nouveau interdit. Pour nourrir sa troupe Molière écrit en 2 mois une autre pièce : Dom Juan. - Scène d’exposition -> relation maître-valet, portrait implicite du valet, l’intrigue avec Done Elvire - Portrait du maître fait par le valet -> C’est le Diable lui-même Problématique : Comment Molière répond-il aux questions que se posent les spectateurs et comment réussit-il à les surprendre

est aussi qualifié Siècle du théâtre, un théâtre réglementé par une influence religieuse très présente. Jean-Baptiste Poquelin, connu sous le nom de Molière, vient s’essuyer un échec peu rassurant pour sa carrière, par l’interdiction de sa pièce « Tartuffe », écrite en 1664, jugée trop outrageuse par sa critique explicite qu’elle fait des dévots (personne pieuse qui est attachée aux pratiques religieuses). Afin de renouer avec le succès, il écrit à la suite, en 1665, Dom Juan. Pièce éponyme, dont le

littéraires, français, programme 2011, L/ES/S, Magnard. Projet annuel : La littérature comme source d’innovation et de créativité SEQUENCE N°1 : La beauté en poésie Objet d’étude L’écriture poétique et quête du sens du Moyen-Age à nos jours. Problématique Comment la célébration de la beauté est-elle l’occasion d’une inspiration poétique renouvelée ? Groupement de textes et lectures analytiques Groupement de textes : Lectures analytiques T1 : « Le front » – Maurice Scève, (1536), orthographe

écrivains, la première règle est de plaire, d’émouvoir le public par des larmes ou le rire. Les sources du tragique Si la vraisemblance, principe essentiel du classicisme, apparaît nécessaire pour émouvoir le spectateur, sa définition reste problématique. Corneille : La tragédie doit provoquer l’admiration, c’est-à-dire la stupéfaction admirative ou horrifiée devant des êtres hors du commun. Racine : tragédie nourrie du pessimisme janséniste, fait entendre la souffrance d’une créature abandonnée

Bergson : «  Nous avons une tendance à jouer extérieurement nos pensées, et la conscience que nous avons de ce jeu s’accomplissant fait retour, par une espèce de ricochet, à la pensée elle-même . ») = même mvt ici. Problématique  : La pleine réalisation du « théâtre véritable » s’accomplirait par le « jeu » laissé à l’imagination du public ? Proposition d’un plan possible : I- Un processus fondé sur l’indétermination

Introduction Nous allons étudier un extrait de Le Misanthrope écrit par Molière qui est une comédie théâtrale. Cet extrait correspond à la tirade de Célimène dans laquelle elle fait une réplique du portrait satirique d’Arsinoé envers elle. Problématique : Montrez que cette tirade est une parodie dont vous étudierez les fonctions 1) Une superbe parodie - Cette tirade est composée de trois parties : l’introduction dans laquelle Célimène montre une intention amicale à Arsinoé, le récit qui

croisées, ABABAlternance de rimes féminine et masculine« Désaltérait 2 sons commun : rime suffisante et masculinePureAventure 2 sons commun : rime suffisant et féminineAttirait »=Rimes embrassées, ABBAAlternance de rimes féminine et masculine« C’est un tartuffe qui tout en mettant des roses Pompons sur les hôtels des Madones moroses » =Enjambement : Séparation du nom et de l’adjectif dans un vers« L’empereur se tourna vers Dieu ; l’homme de gloire Trembla, Napoléon comprit qu’il expiait » =Rejet, non enjambement

Rappels : - le plan doit répondre à la problématique (implicite ou donnée dans l’énoncé). - Chaque paragraphe représente un argument justifié par des exemples, (alinéa attendu). SUJET : Les textes littéraires et les formes d’argumentation souvent complexes qu’ils proposent vous paraissent-ils être un moyen efficace de convaincre et de persuader ? Cela revient à se poser trois questions : 1- Le comment : comment argumente-t-on ds un texte ? (la forme ou les moyens) 2- L’objectif