Problématique Platon Gouvernance

que l’économie d’une nation est gérée comme un bien ,une entité privée, ce qui est totalement différent de l’acceptation ancienne où l’économique ne relevait que du privé. Mais la limite posée par la politique est la liberté, c’est à dire que chez Platon, seul le propriétaire qui avait donc acquis sa liberté pouvait participer à la Polis. Dans le même temps cette notion est restée comme le cite Hannah Arendt7 avec « la société des fidèles comme au Moyen-AGe, société des propriétaires comme chez Locke

....................................................................................................................... 15 2. DEUXIEME PARTIE :CHARTE POUR UNE BANQUE RESPONSABLE .............................................. 16 2.1. LA GOUVERNANCE ...................................................................................................................................... 17 2.1.1. L’homme au cœur des décisions ....................................................................

et réactif. Le Knowledge Management, est ainsi mis en application dans certaines entreprises qui ont compris son importance stratégique. Aussi, nous parait-il logique de se poser la problématique suivante : quel(s) nouveaux apports du Knowledge Management pour l’entreprise ? Pour répondre à notre problématique nous allons traité en premier axe les fondements conceptuels du KM et en deuxième axe les enjeux, Outils, méthodes et limites de KM . Axe 1 : les fondements conceptuels du KM

d’appréhender cette question en fonction de plusieurs facteurs. La compréhension de la territorialisation et la composition de l’entité quartier apportent un éclaircissement sur les publics avec lesquels l’animateur travaille. La prise en charge de la problématique de l’exclusion via des politiques de ségrégation révèle la complexité des actions du professionnel ainsi que la responsabilité qu’il engage. Enfin l’exploration de « nouvelles pratiques » alimente la réflexion sur le rôle des animateurs socioculturel

NORMES ET PRATIQUES DE LA CITOYENNETE Ce cours comporte deux grands objectifs : explorer les problèmes fondamentaux des théories de la citoyenneté et les problématiques plus empiriques. Lors de cette introduction, on va explorer les théories de la citoyenneté au croisement de différentes disciplines : philosophie, sociologie, science politique… La citoyenneté est un terme qui fait appel à différents angles d’étude. Lors du XIXe siècle, la question de la citoyenneté se pose en tant qu’institution

l’action publique La „„ icipation et nouvelles modalités d’action de l’État Part 3.3. La participation citoyenne : de nouvelles impulsions européennes „„ L’élaboration classique des politiques à l’échelle „ communautaire „„ recherche de formes de gouvernance renouvelées La 44 44 45 46 47 49 49 50 52 52 52 4. La mobilisation par l’État de « bénéfices participatifs » 4.1. Quelques avantages de la participation „„ L’implication et l’amélioration des acteurs „„ mobilisation des publics cibles des

0. INTRODUCTION GÉNÉRALE 0.1. Problématique L’homme, à en croire Aristote, est un animal social, et donc condamné à vivre dans la société qui, d’après Hannah Arendt, conditionne toutes les actions humaines. Si la société est une nécessité à laquelle l’homme ne peut échapper, elle n’est pas pour autant immédiatement ordonnée et régulée de sorte que tous oeuvrent dans la même direction et pour le bien commun. C’est justement ce désordre ou, comme disait Kant, cette « insociable sociabilité »

contre le droit du plus fort 2. La justice comme respect du droit : légalité, légitimité, équité Et la problématique des droits de l’homme et l’Etat de droit 3. Tyrannie et terreur : l’Etat totalitaire 4. L’idéal de justice sociale 1. La force du droit contre le droit du plus fort Lecture et étude de 2 textes: La position de Calliclès dans le Gorgias de Platon: Selon la nature en effet, ce qui est le plus laid, c'est toujours le plus désavantageux, subir l'injustice;

Globalisation et gouvernance Depuis les cinq derniers siècles, les nations principalement occidentales ont été préoccupées par l’accumulation des richesses, par leur développement et par leur positionnement sur la scène internationale. Hors, aujourd’hui, la mondialisation est en train de changer cette donne puisqu’elle bouleverse l’ordre établi par les nations occidentales. La mondialisation est un phénomène multiforme. D’un coté et dans les faits, elle prend la forme de délocalisation vers

jour qu’à travers l’existence des premières entités urbaines qui sont autant de nouvelles formes de vie humaine. II. – La deuxième révolution urbaine Bien évidemment, l’histoire de l’urbanisation n’est pas linéaire. Si l’urbanisme se codifie avec Platon et Aristote, lesquels diffusent le tracé des voies en damier, si Rome comptait vraisemblablement un million d’habitants et était de la sorte la plus grande ville de l’Antiquité, les villes du Moyen Âge sont, elles, plutôt de petite taille, protégées