Processus cognitifs

perception et l’autre de mémoire. La perception est le processus par lequel l’individu prend conscience d’une information externe à lui, de son environnement marketing, et interprète cette information de telle façon qu’elle soit en accord avec son schéma de référence. C’est un processus d’une part relationnel car elle filtre les informations fournies par notre environnement pour en retirer l’essentiel. Mais c’est également un processus organisé à partir d’un cadre de référence préexistant, en

que Jean Piaget réfléchit sur la genèse de l’appareil cognitif chez l’enfant. Baigné par la philosophie, la religion et la logique dés son adolescence grâce à son grand-père, ces disciplines l’ont amené à élaborer une épistémologie de la connaissance. Toute sa vie, J. Piaget s’est interrogé sur la notion de connaissance, sur les modes d’acquisition de celle-ci, sur les facteurs internes et la réalité externe contraignant le développement cognitif chez l’enfant. Bibliographie : 1923 - Le langage

conférence internationale Cem07 (Cognition, Émotion et Motivation 2007) que nous avons, mon collègue Slim Masmoudi et moi-même, organisée et présidée. Ces ébauches ont été rédigées dans un chapitre intitulé « Peut-on comprendre le fonctionnement cognitif sans comprendre ce qui l’oriente ? » (Naceur et Masmoudi, 2008b) et représentent en quelque sorte un des précurseurs d’une question qui nous a pendant longtemps préoccupés en tant que psychologues de la cognition : penser autrement le traitement

mécanismes de reconnaissance des mots écrits est déterminante pour le succès de l’objectif final de la lecture, la compréhension.  Spécificités de la lecture  Ce qui est commun à l’oral et à l’écrit : composantes syntaxiques et sémantiques Seuls les processus de bas niveau impliqués dans l’identification des mots écrits sont probablement spécifiques au traitement du langage écrit.  Ce qui distingue l’apprenti lecteur et le lecteur expert concerne la qualité des mécanismes d’identification des mots (probablement

bien-fondé de l’usage de l’adjectif ‘clinique’ comme épithète d’une psychologie qui se donne pour objet Christian Brassac 1 Nancy, le 3 janvier 2002 les processus cognitifs. Nous appuierons cette proposition sur des positions tenues par des psychologues du siècle dernier et sur une pratique clinicienne relative à des processus cognitifs. Mais nous allons tout d’abord examiner quelques éléments relatifs à l’étymologie du terme ‘clinique’. L’antécédent latin (clinice forme substantivée de clinicus)

telle entreprise ne pourrait aboutir si elle ne commençait pas par s’interroger sur la nature du concept de ‘temps’ et sur la manière dont l’homme conceptualise les différentes relations temporelles1 ; et cela, afin de comprendre les divers processus cognitifs et/ou linguistiques mis en jeu pour qu’une telle entité de connaissance puisse être exprimée. C’est pourquoi cette thèse s’inscrit dans le courant de la sémantique cognitive2 qui rapporte tous phénomènes linguistiques à des opérations mentales

contradiction avec la situation) -hermétisme (caractère énigmatique du discours) -détachement de la réalité (repli sur soi) -ambivalence (affirmation de 2 choses contradictoires en même temps) La dissociation mentale affecte ≠ domaines : affectif, cognitif, et comportemental. La dissociation mentale cognitive -préservation du potentiel intellectuel mais totalement inefficace -troubles du cours de la pensée affectant surtout le rythme et la continuité (fading et barrage) -troubles du langage (néologisme

Introduction L’enjeu actuel est de procéder au dépistage et au diagnostic étiologique des troubles cognitifs à un stade pré-démentiel. La maladie d’Alzheimer représente : -2/3 de toutes les démences dont les démences curables. -3/4 des maladies neurodégénératives cérébrales. Elle doit être différenciée d’autres maladies neurodégénératives et en particulier : - La démence à corps de Lewy (DCL, DP). - Les démences fronto-temporales (DFT). - Les démences mixtes (MA à CV). - Les démences vasculaires

thérapeutiques des psychiatres et psychologues des institutions de Haute-Garonne dans le traitement de la schizophrénie Émilie ELIAS, Florent FABREGAS et Stacey CALLAHAN Résumé Objectif: 75% des patients atteints de schizophrénie présentent un déficit cognitif que la remédiation cognitive est la plus amène à traiter (troubles mnésiques, des fonctions exécutives, de la résolution de problèmes interpersonnels). L’objectif de cette étude a été d’établir un état des lieux des pratiques thérapeutiques des psychologues

Évaluation cognitive globale Il est recommandé d’effectuer une évaluation globale de manière standardisée à l’aide du Mini Mental Status Examination (MMSE) dans sa version consensuelle établie par le groupe de recherche et d’évaluation des outils cognitifs (GRECO). Cependant, le diagnostic de la maladie d’Alzheimer ne doit pas reposer sur le seul MMSE. L’âge, le niveau socio-culturel, l’activité professionnelle et sociale, ainsi que l’état affectif (anxiété et dépression) et le niveau de vigilance