Procédés Stylistiques Du Discours

passage où Benjamin nous décrit ses sentiments, ce qu’il ressent au cours de cette aventure extraordinaire, lorsqu’il se retrouve seul au beau milieu de Marseille. J’ai choisi cet extrait car je le trouve intéressant et riche d’un point de vue stylistique et on retrouve bien les deux thèmes clés de ce récit : voyage, handicap. → page 87 Dans une première partie je ferai une analyse littéraire de l’œuvre avant d’aborder différentes pistes pédagogiques pour l’étudier en classe. I – ANALYSE

une idée dans le but d’obtenir l’adhésion de celui à qui l’on s’adresse. Convaincre, c’est faire appel à la raison et à la logique grâce à un raisonnement construit. Persuader, c’est faire appel à la sensibilité et aux émotions grâce à des procédés stylistiques et oratoires. Délibérer c’est débattre avec soi ou quelqu’un afin de prendre une décision. 2-      Les éléments de l’argumentation L’argumentation suit une progression et comporte des éléments obligés : le thème (de quoi parle le texte 

touchées par des admonestations aussi primaires. • Le discours de Magdelon : c’est une démonstration que présente Magdelon à son père (lignes 31 à 62). On observe l’organisation logique de son discours, scandé par des mots de transition (« Voilà » ; « premièrement » ; « ensuite » ; « voilà » ; « mais »… ). Elle emprunte en outre une énonciation doctorale : « Il faut » ; « Encore un coup, mon père, il ne se peut rien de plus marchand que ce procédé… » Enfin, tout son développement est asséné avec

critiquer la société de part le fait qu'elle est un bon moyen de convaincre et de persuader. Convaincre le lecteur revient a faire appel a sa raison, a sa logique, a son intelligence. Les genres de l'essai, du traité, de la lettre, du plaidoyer ou du discours sont plus utilisés pour convaincre. L'auteur peut aussi utiliser la persuasion, ou cette fois ci il fait appel au cœur, aux sentiments, aux émotions du lecteur.Les genres du conte philosophique,le conte satirique,poésie ou encore le roman sont utilisés

Le Discours de Bayeux (DB), prononcé le 16 juin 1946 par le Général de Gaulle, est à écouter et contempler au moins autant qu’il est à lire1. De fait, ce discours, déclamé et applaudi avec une emphase et une ferveur d’un autre temps, diffère sensiblement de la transcription qui nous en est proposée, surpassant celle-ci en limpidité, en fluidité, en éloquence. Avant que d’analyser ce discours éminemment programmatique, structuré comme un plan de bataille, il convient de le situer dans l’espace-temps

rassemblent ces louanges, ouvragés de telle façon qu’ils parviennent, sans jamais toucher précisément à leur sujet, à mettre en exergue les qualités de leurs modèles et à frapper l’imagination. Pour l’un comme pour l’autre, ainsi, la recherche stylistique ne se résume pas à une entreprise purement esthétique ; bien plus, elle est significative d’un art de la parole qui, loin de se circonscrire à la passion de la belle phrase, touche à l’honneur, au souci d’une pensée toujours créatrice, traduite

En effet, il n’est pas de personnage important, sous le Second Empire qui n’entretienne une courtisane. Elles sont désignées ici par leur surnom, qui est aussi souvent un pseudonyme : Gaga, Lucy, Caroline, Blanche et Rose Mignon. L’utilisation du discours direct permet à Zola de « faire entendre » de façon immédiate les personnages par le lecteur et d’imiter les tournures familières de leur milieu : « Filons, filons mes petites chattes ». Enfin, les réactions successives de ces femmes, qui passent

Document de révisionLes outils d’analyse littéraire1Éléments linguistiques ou stylistiques présents dans le texte, ayant un effet particulier:Champ lexicalLes figures de styleLa ponctuationLes types de phrasesPermettent une meilleure compréhension/interprétation du texteVous devrez vous appuyer sur des outils d’analyse littéraire dans vos dissertationsQu’est-ce que c’est?À quoi ça sert?CHAMP LEXICALLes champs lexicaux : groupes de mots liés par analogie, mots appartenant à une même thématique : l’amour

oratoires presque poussifs qui se conclue d’une manière tranchée : « Du sublime au ridicule il n’y qu’un pas disait Napoléon […] ce cri d’angoisse est le résumé du drame et de la vie ». Hugo a recours tout au long de cet extrait à un florilège de procédés à caractère persuasif appuyés notamment par des arguments rationnels. Ceci a ainsi pour but de susciter l’adhésion du lecteur par la Raison. Le premier paragraphe s’inscrit ainsi dans une dimension dialectique et dissertative qui vise à persuader

sont nombreuses. Les mêmes événements historiques servent de cadre à la même « anecdote » dramatique : ce sont des « choses vues » par un témoin direct, journaliste de talent et visionnaire puissant, rapportées par un narrateur qui maîtrise les procédés de la prose et de la poésie pour faire éprouver à son lecteur des émotions puissantes. Le narrateurtémoin note les mêmes éléments descriptifs qui évoquent un décor et un univers marqué par la simplicité et l’humilité. Se met en place un tableau