Procédés Stylistiques Du Discours

de 3 paragraphes, tous avec une énonciation différente. Le premier paragraphe est un discours direct rapporté, l’énonciation est coupée. Dans le deuxième paragraphe, l’énonciation est également ancrée, il ne s’agit plus d’un discours mais plutôt d’un jugement. Tandis que dans le troisième paragraphe, l’énoncé est coupé de la situation d’énonciation, dans lequel on peut y voir une leçon. Pourquoi La Bruyère procède-t-il ainsi ? La première énonciation recours à l’exemple et au dialogue. Le recours

: Gradus. Les procédés littéraires, 10x18. . Ferdinand de SAUSSURE : « Principes généraux » et « Linguistique synchronique » in Cours de linguistique générale, Payot . Émile BENVENISTE : « L’homme dans la langue » (chap. 18, 19, 20, 21) in Problèmes de linguistique générale 1, « Tel » Gallimard — 2) Pour l’étude de la prose narrative, et en particulier du roman . Gérard GENETTE : « Discours du récit » in Figure III, « Poétique », Seuil . Anne HERSCHBERG-PIERROT: Stylistique de la prose, «

Le commentaire composé Le commentaire composé est une épreuve du baccalauréat qui comprend deux parties. La première est constituée de deux ou trois questions portant sur les procédés proprement littéraires et stylistiques mis en oeuvre par l'écrivain dans son texte. La seconde consiste en la rédaction d'un commentaire composé de ce même texte. Les questions Celles-ci permettent d'interroger les connaissances littéraires du candidat plus que sa sensibilité. Elles portent en effet sur des

(Franck Cobby) - TABLE DES MATIERES La notion de Discours ........................................................................................................ 1 Le discours politique .......................................................................................................... 2 L’implicitation .................................................................................................................... 2 L’analyse de discours ..............................................

intéresserons au double destinataire de ce récit, Clytemnestre et le public et aux effets que produit l’asymétrie d’information entre les personnages et le public. Ce récit, assez classiquement, est empreint du registre épique. Il emploie nombre de ses procédés parmi lesquels l’hypotypose. Ceci est particulièrement sensible dans la narration de la course de char et de la mort d’Oreste qui s’en suit qui occupe les vers 696 à 760. On peut remarquer en premier lieu l’emploi d’images précises telles «son

negrillon » qui grandira dans cette île. Tout au long du livre, plus qu’un simple récit intime apparait sous nos yeux une poésie prenante dans un français détourné ré utilisé pour donner de l’énergie au discours. L’écriture de chamoiseau ne sert pas seulement une simple narration, elle tient un discours sur elle-même, elle est réflexive, elle cherche à comprendre les mécanismes qui la fonde et qui lui permet de partir à la recherche de souvenirs enfouit. Chamoiseau multiplie les interrogations et les

Bossuet a été son directeur de conscience, il prononce l'oraison funèbre le 21 août 1670 à Saint Denis. Oraison funèbre d'Henriette d'Angleterre Discours directe ( Condition humaine ) Comment Bossuet fait pour rendre son auditoire attentif ? I) Un discours qui s'empare de l'auditoire L'auditoire est explicitement associer au discours par le biais de: - Verbes à l’impératif ( l.1:''considérez''; l.4:''murmurez'' ) - D'adresses ( ''Chrétiens'' ) d'apostrophes et par le biais du pronom

: ments prosodiques - Les présentatifs, les déictiques, les anaphoriques appropriés (élo- La forme emphatique / Les éléments prosodiques cution, débit, - Le système phonologique du français intonation…) - L’interrogation directe et indirecte / Le discours rapporté - Les registres de langue (courant et familier) 5. correction lin Vocabulaire relatif à la communication orale guistique et - l’expression de l’opinion et la modalisation (verbes, substantifs, phonétique adverbes modalisateurs…) – –

soulève plusieurs problèmes où la discussion semble nécessaire : Qui sont les grands artistes ? Que cherchent-ils véritablement ? Leurs écrits sont-ils véritablement dénués de toute subjectivité ou opinion émanant de l’auteur lui-même ? Par quels procédés parviennent-ils à reproduire inexactement le réel ? L’illusion complète du vrai n’entraine t’elle pas des soucis d’ordre éthique ? Quel fut le rapport de ces auteurs aux critiques ? Quel est l’intérêt de représenter fidèlement le réel vis-à-vis de

sectaire, intolérant et même fanatique parce qu’il semble souhaiter la mort de quiconque ne partage pas sa foi. « Je me sentais une horreur inexprimable pour ce Joad », écrivit-il, après avoir assisté à une représentation de la pièce. Il tint le discours du pontife tout au long de l’œuvre comme mensonger, violent et indigne d’un religieux. Cette condamnation a pour corollaire la défense d’Athalie pour laquelle Voltaire éprouve de la pitié. Racine a d’ailleurs anticipé ces critiques et se justifie