Progression Argumentative

l’article. Tout le reste doit y être subordonné. On s’interdira donc les digressions, ie les considérations hors sujet ainsi que les développements argumentés sur des problématiques induites par le sujet comme dans une dissertation ; - Une progression : on n’attend pas dans un article le plan traditionnel de l’argumentation. L’article de presse obéit à un mode d’organisation spécifique : le premier § doit fournir l’essentiel de l’information. La suite le développe par ordre d’importance décroissante

humanistes. Nous tenterons de voir quelle est la vision de Montaigne sur l’éducation et comment il l’impose à son lecteur. Nous verrons tout d’abord la démarche argumentative qui lui permet d’imposer sa vision de l’éducation puis nous étudierons dans un second temps les idées de l’auteur au sujet de l’éducation. I. Une démarche argumentative A. La présence de l’auteur dans le texte. « je », pronom personnel de la 1ere personne est utilisé plusieurs fois ( l1 ; l3 ; l6….) Pronoms possessifs

le libellé du sujet vous serez invité à utiliser les formes suivantes : l’article, la lettre, le monologue délibératif, le dialogue argumentatif ou délibératif (y compris le dialogue théâtral), le discours devant une assemblée, le récit à visée argumentative sous forme de fable ou d’apologue... ; - vous devez réutiliser les connaissances que vous avez acquises dans l’année et réinvestir vos lectures ; - vous devez réutiliser le corpus et les idées qu’il peut développer. 1) Les

textes, - la forme des textes (analyse du style...), - etc. * Repérez les points communs entre les textes, les liens qui en font un corpus cohérent (mouvement littéraire ou culturel, thème, situation, place dans une œuvre, personnages, visée argumentative...) * Notez toutes vos idées au brouillon puis organisez-les de façon logique * Votre réponse comportera : - une introduction (généralement d'une phrase), - un développement, - une conclusion. * Désigner les textes par leur titre

Monde : Cette séquence a pour objet la découverte et l’analyse de l’ambivalence de la figure du sauvage dans les représentations européennes, discursives ou picturales, ce qui permet d’introduire la question de l’argumentation et la fonction argumentative de l’éloge et du blâme. Il s’agit de comprendre, reconnaître, analyser et pratiquer le discours argumentatif dans sa double dimension, rationnelle et affective. Mais il s’agit aussi de donner aux élèves des connaissances précises sur le débat d’idées

les types de textes : L'énonciation Le narrateur et la focalisation : externe, interne, zéro. Étude des pronoms et de leurs valeurs. Le temps et l'espace, progression du récit Repérage du cadre spatio-temporel. Pause, sommaire, scène, ellipse. La structure du passage Effet de contraste, de mise en valeur ; la progression argumentative. La valeur des temps verbaux Notamment le présent de l'indicatif, les temps du récit. Le lexique, les champs lexicaux Évaluation du registre de langue (familier

admettre à un lecteur ou à un auditoire, • ébranler des contradicteurs, faire douter un adversaire, faire basculer les indécis, • contredire une thèse opposée, critiquer une position contraire ou éloignée, • démontrer avec rigueur, ordre et progression, • se mettre en valeur, • servir une cause, un parti, une foi… • marquer les esprits par des effets de logique, de présentation, de mise en perspective, des procédés oratoires… 2. La structure de l’argumentation. Argumenter, c’est donc

les événements mentionnés. Il s’agit d’élucider les allusions. Au cours de la lecture, relever les formules clés qui donnent son sens au texte. → Mettre en évidence le sens général du texte, ainsi que les principaux thèmes ou articulations argumentatives. Tout au long du commentaire, se poser les questions : « Pourquoi ce document ? », « Quel but explicite/implicite ? » II. La rédaction La rédaction d’un commentaire de document demande de maîtriser les codes de l’introduction et de la

culturelles partagées (zoomorphisme, mythes)… Ces arguments sont présentés de manière ordonnée dans le cadre d’un raisonnement (inductif, déductif, critique, dialectique, concessif, par analogie, par l’absurde…) sous forme de plan et d’une progression argumentative (le plus souvent selon la loi d’intérêt : du moins important au plus important) où ils sont souvent reliés entre eux par des connecteurs logiques qui jouent le rôle de balises ou de poteaux indicateurs. Les connecteurs les plus importants

efficace de convaincre et de persuader ? » I/ inefficaces II/ efficaces (Pour les arguments que nous avions mis en place, reportez-vous à vos cours de module.) Exemple d’introduction (notez l’amorce large qui se concentre au fur et à mesure de la progression sur le sujet jusqu’à l’insertion exacte de la question qui vous est posée) Dans une société où l’apparence, par l’intermédiaire des médias, a autant d’importance, il est essentiel de s’interroger sur les modalités, le sens ou la portée de ce qui