Propriété privée

A. QU'EST-CE QUE LA CONTREFAÇON? La contrefaçon est un acte qui porte atteinte aux droits découlant d’un titre de propriété intellectuelle (marque, brevet, droit d’auteur). La contrefaçon est aussi le terme généralement utilisé pour désigner un produit contrefaisant. Les marques et les produits qui font l’objet d’une contrefaçon sont dits «contrefaits ». On conçoit traditionnellement deux types de contrefaçon ; la contrefaçon par reproduction et la contrefaçon par imitation. En pratique, les actes

Droit de la propriété intellectuelle La propriété est un droit accordé à une personne sur une chose. Par exemple, tout ce qui est ordinateur relève de la propriété intellectuelle, que ce soit le design de l’écran, les puces électroniques ou les logiciels. Il y a bien entendu des questions juridiques et sociales fondamentales concernant les rapports entre les propriétaires de ces biens particuliers, de ces biens intellectuels, et des usagers qui s’en servent. Celui qui a écrit un livre, composé

PROPOSITION DE PARTENARIAT présentée par LEXPIA, association des étudiants du Master II Professionnel Droit de la Propriété intellectuelle appliquée, Université Paris XII. [pic] 2008-2009 | | Sommaire : Avant-propos : lettre de présentation du projet p.2 I. Présentation du Master

la propriété publique, le lien de droit entre l'admi et les biens. – 1ère partie : Comment ses biens se répartissent entre domaine privé et domaine public. Ces biens sont affectés à des utilités différentes dans le temps. Ces régimes d'affectation emporte avec eux l'application des régime fonctionnel. – 2nd partie : mode forcé d'acquisition des biens. – 3ème partie : travaux public, procédé utiliser pour réaliser ces biens. CHAPITRE PRÉLIMINAIRE : LA THÉORIE GÉNÉRALE DE LA PROPRIÉTÉ PUBLIQUE

publique et de la propriété des personnes publiques). Introduction générale au droit administratif des biens : L'exemple de la domanialité publique : certaines règles définissent le domaine public, tandis que d'autres concernent le domaine privé. Une personne publique dispose d'un domaine public mais peut également bénéficier d'un domaine privé (il est ensuite nécessaire de distinguer les meubles, et les immeubles qui ne sont pas soumis au même type de règles). Une personne privée dispose quant

le cadre de ce travail, nous nous en tiendrons à trois principaux. * La propriété privée (N°48-57) La question de la propriété privée est examinée dans les numéros 48 à 57 de la présente Encyclique. Avant tout, elle rappelle que si le sujet fait l’objet d’un intérêt avéré de la part de l’Eglise, ceci est dû à ce que l’ordre économique dépend d’une certaine manière de l’ordre moral. Sans doute, la propriété privée – mais aussi les autres thèmes que nous aborderons plus loin – relève du domaine

qui permet le fonctionnement des personnes publiques. Les personnels des personnes publiques sont soumis à une variété de régimes juridiques. La première grande distinction au sein des personnels et celle des agents publics et des agents de droit privé. Mais une deuxième distinction doit être faite au sein des agents publics entre ceux qui ont la qualité de fonctionnaire et les autres dont les agents contractuels. Le programme comporte essentiellement l’étude de la fonction publique au sens précis

1e Thème PRÉSENTATION DE LA PROPRIÉTÉ Biens et choses. Il faut tout d'abord distinguer les biens et les choses. Le bien est une valeur morale, une valeur au sens de l'éthique, de la morale ; Au sens juridique le bien est une valeur d'échange, tout ce qui peut s'échanger est un bien. Par exemple : créance. → une valeur économique Ce qui est un bien est ce qui a une valeur. Nous nous allons nous intéresser aux choses. Le terme bien est trop large et à la fois trop étroit.Le terme

cette catégorie de biens, les juristes ont trouvé une solution. Ils prennent la nature des objets auxquels ils s'appliquent. Si ce bien n'a pas d'existence concrète, on va le qualifier en fonction de ce à quoi il s'applique. Exemple : Le droit de propriété qu'une personne a sur un terrain est lui même un droit immeuble. Deuxième exception : Certains meubles par nature, biens susceptibles d'un déplacement neutre sur leur situation, mais qui sont situés par simple présence physique (unité de lieu)

activité, peuvent prétendre à des droits vis à vis des prétentions des autres personnes publiques, et notamment de l'Etat. Ainsi l'Etat peut utiliser pour ses propres services des biens qui appartiennent à d'autres personnes publiques = certes la propriété devrait rendre ces personnes souveraines sur leurs biens, mais d'un autre côté les coll territoriales doivent assurer l'unité de l'Etat puisque tenant leur statut de l'Etat (→ Etat unitaire) * Enfin les établissements publics (ceux n'étant pas des